Les Misérables Injustice

d'ailleurs un portrait satirique. Victor Hugo quand à lui, utilise un point de vue personnel, il raconte un fait qu'il a vu et vécu. Celui d'une femme de la noblesse (elle circule dans « une berline armoriée ») qui ne voit même pas le pauvre et misérable voleur qui est "blond, pâle, maigre, hagard" et qui a volé un pain alors que lui est digne et fasciné par cette femme. (« Cette femme ne voyait pas l'homme terrible qui la regardait »). Jacques Prévert quant à lui, décrit les tentations que peut

compte d'une injustice et dans la façon dont la famille traite Grégor et on en oubli la transformation, on ne voit plus que le comportement de la famille , c'est a dire un abandon pure et simple. Les parents sont dégoûtés de leur (ex)fils. Pas de pitié. Pas de compassion. Gregor est mis à l'écart par sa famille qui le contraint à rester caché dans sa chambre, tellement sa métamorphose est insupportable à la vue de tous. Malgré ses efforts Gregor est perçu comme un misérable insecte : agressif

Le discours de Jean Valjean proposé est extrait du chapitre 7 du tome 1 des Misérables, roman romantique écrit en 1862 par Victor Hugo. Ce roman d'apprentissage est à la fois réaliste, par la peinture précise de la classe ouvrière, social car il engage une réflexion sur la justice ainsi qu'épique par la description des combats de chacun des personnages. Le romantisme exprime les tourments du coeur et de l'âme. Victor Hugo a marqué la littérature française avec ses luttes présentées aussi bien dans

La réalité nous apparaît comme injuste, implacable et inévitable. Nous retrouvons fréquemment cette injuste étouffante et quotidienne dans les romans réalistes tel que dans les romans de Zola, de Victor Hugo ou Balzac. Nous pouvons penser aux Misérables de Victor Hugo, l'auteur met en évidence par une technique littéraire, effet de précision, de rapidité et de densité. Des faits ; l'injustice sociale. Jean Val jean, un protagoniste de ce livre ; vit dans une extrême pauvreté. Il est aussi contraint

marquis de Froidfond affichent clairement leur amour pour l’argent, Félix Grandet détient la palme d’or de l’avarice ; pas uniquement à cause de sa méchanceté envers son neveu qu’il refuse d’ailleurs de « secourir » (p.158) mais aussi de par son injustice envers son épouse et sa fille à qui il fait mener une vie pauvre alors qu’il est assis sur une fortune colossale. Le père Grandet est en plus calculateur. En effet, Félix Grandet, d’habitude froid et distant avec sa fille, la cajole et lui donne

avant que n'éclate la Deuxième Guerre mondiale). Certains romans ont une portée sociale (Germinal de Zola). Le recours à une histoire permet de varier les types de personnages : les bons et les méchants s'opposent (Jean Valjean et Javert dans Les Misérables), l'auteur peut choisir des personnages proches de la réalité ou fantaisistes (comme les animaux dans les fables). L'auteur d'une histoire peut aussi varier les registres : dans le corpus, le dessin de Plantu est humoristique ; le discours d'Hector

littéraires les plus utilisés pour cet usage de la littérature. Certains auteur tel que Emile Zola dépeignent les injustices de la société, les problemes sociaux et politiques. Dans son œuvre Les Rougon-Macquart , Zola étudie l'influence du milieu sur l'homme et les tares héréditaires d'une famille, originaire de Plassans, sur cinq générations. Son but est de montrer les « misérables tels que notre société les fait, et soulever une telle pitié, un tel cri de justice, que la France cesse enfin de

son amant Lantier à Paris. Mais il la quitte, elle devient blanchisseuse et se remarie avec Coupeau. Elle finit par sombrer dans l'alcool, avec son mari). Dans cet extrait, le narrateur raconte le mal-être de la jeune femme, par rapport à sa vie misérable, et sa fureur envers les gens aisés de la ville, qui ne remarque pas sa présence et qui ne viendront pas l'aider alors qu'elle est en train de mourir de faim. Les thèmes sont : les ravages dus à la misère, la faim et l'alcoolisme. L' Assommoir a

Trois d'entre eux, ignorant combien coûtera un jour à leur repos et à leur bonheur la connaissance des corruptions de deçà, et que de ce commerce naîtra leur ruine, comme je présuppose qu'elle soit déjà avancée, bien misérables de s'être laissé piper au désir de la nouvelleté, et avoir quitté la douceur de leur ciel pour venir voir le nôtre, furent à Rouen, du temps que leur feu roi Charles neuvième y était. Le Roi parla à eux longtemps ; on leur fit voir notre façon, notre pompe, la forme d'une

sans domicile fixe qui a des manière dignes d'un gentleman,muni d'une canne en bambou,coiffé d'un chapeau melon,vêtu d'une veste étriquée et d'un pantalon qui tombe sur des chaussures trop grandes. Cette allure lui vaut la réputation de «vagabond» misérable et roué, asocial et obstiné,révolté et sentimental. «Les temps modernes» est un film en noir et blanc,«partiellement» muet. Les personnages parlent uniquement à travers des machines. Cela accentut leur rôle. Il est sortit en 1936. L'accueil au