Les Misérables Injustice

exacerbée des sentiments. Il évoque des situations douloureuses, des malheurs. Il cherchera à susciter l’émotion chez le lecteur. Cette émotion peut être une fin en soi. Il peu aussi avoir une autre fonction, amener le lecteur à réagir, face à une injustice par exemple. Procédés Une énonciation caractérisée par l’emploi du « JE » pour exprimer la souffrance, Point de vue interne => identification du lecteur au personnage. Les interjections, les exclamations et les interrogations qui témoignent

alcoolique et un tyran, Mr Jones ( allusion au tsar Nicolas II de la Russie de 1917). Les animaux ( le peuple russe) assistent en pleine nuit à un discours révolutionnaire de Sage l'Ancien, le cochon ( alias Lénine). Il dénonce les conditions de vie misérables du peuple de la ferme; Comment la parole révolutionnaire est-elle mise en scène ? Un discours révolutionnaire inspiré de l'éloquence classique 1) l'exorde ( l'amorce d'un discours) L'objectif est d'inciter les animaux à la mobilisation, révolte

de tous les maux (2ème huitain)III. Comparaison du poète au soleil (quatrain final)Conclusion :- soleil = inspiration poète puis métaphore pouvoirs poésie- poème = représentation ambivalente poète -> §1: en quête d'inspiration dans les rues misérables -> dernière § : divinisé, pouvoirs surnaturels, // soleil- poète = alchimiste des mots- boue langage => or poétique 4- Le Crapaud, Amours jaunes , Tristan Corbière Problématique : Comment Tristan

force dans ses différents contextes : Prenons, en premier lieu, la force physique. La Loi de la Jungle, au sens propre, nous la présente parfaitement. Nous parlons donc du Roi des Animaux, celui que j’aimais nul ne vaincu au cours de sa brève et misérable existence : le lion. Inspirant la crainte et le respect, quiconque se mesurerait à lui serait expédié au loin d’un simple coup de griffes. Nous avons, en deuxième lieu, la force mentale que l’on peut également nommer autorité, puissance. Un exemple

de l’autre » « Les cris du pauvre damné » Sont des métonymies qui désignent Dreyfus. Mirbeau fait une analogie entre la condition de Dreyfus et celle des prolétaires. Il décide de montrer leur similitude en les qualifiant toutes les deux de « misérables ». Tandis que Guesde appuie justement sur le contraste qui les différencies. En effet ils ne sont pas de la même classe sociale. Dreyfus est issu de la bourgeoisie et les prolétaires d’un milieu populaire. Guesde suscite l’égoïsme et l’indifférence

le titre fait référence à la cathédrale de Paris, Notre-Dame, qui est un lieux principaux de l’intrigue du roman. (1831) · Les Misérables : décrit la vie des miséreux dans Paris et la France provinciale du XIXe siècle, l’auteur s’attache plus particulièrement au destin du bagnard Jean Valjean

* La création d’allocations pour les femmes se retrouvant seule avec leurs enfants. Le courage humain et politique de cette femme est à mesurer à l’aune de toutes les injustices entre les droits des hommes et l’absence de droits des femmes. Le courage de cette femme et l’indignation qui en découle face à ces profondes injustices est visible dans l’extrait de sa Déclaration : Argumentation directe sous forme de propositions de textes de lois : * destinataires clairement identifiés : les députés

l’emprisonnement pendant la IIe guerre mondiale en se récitant les vers d’Holderlin appris par coeur. I-Gardiens de la mémoire -Hugo, les misérables : Gavroche dénonce les idéaux trahis des penseurs des lumières. -Jean Cassou se nourrit du temps des cerises de J-B Clément. Utilise le poème de Clément en deux sens : nostalgie des amours passées et indignation contre les injustices subies par les Communards. -Le temps des cerises : chansons mélancoliques. En 1871, prend une portée révolutionnaire où le rouge

doit s’exiler après le coup d’état de Napoléon Bonaparte en 1851. Hugo reste à Guernesey pendant 20 ans où il écrit des recueils de poésie tel Les contemplations (1856), et Les Châtiments (1853). Son roman le plus célèbre, Les Misérables écrit en 1862 dénonce les injustices sociales. En 1870, il fait un retour triomphal et siège comme sénateur. A sa mort, ses obsèques nationales rassemblent deux millions de personnes. Il repose désormais au Panthéon. III) Une œuvre monumentale : L'ensemble des

c’est d’éviter ce que tu crains. Celui qui n’obtient pas ce qu’il désire est malheureux, et celui qui tombe dans ce qu’il craint est misérable. Si tu n’as donc de l’aversion que pour ce qui est contraire à ton véritable bien, et qui dépend de toi, tu ne tomberas jamais dans ce que tu crains. Mais si tu crains la mort, la maladie ou la pauvreté, tu seras misérable. Transporte donc tes craintes, et fais-les tomber des choses qui ne dépendent point de nous, sur celles qui en dépendent ; et, pour tes