Les Misérables La Petite Fille

gendarmes. L’évêque décide de plaider en sa faveur malgré le vol, et ce faisant, le sauve d’un emprisonnement. Cet acte de bonté décille enfin les yeux de Valjean, qui décide de devenir un homme de bien. Fantine est une jeune mère misérable. Elle doit élever seule sa fille Cosette. Une dispute lui vaut d’être arrêtée et interrogée très désagréablement par le commissaire Javert. Elle est cependant relâchée sous l’ordre de Monsieur Madeleine, maire de la ville. Javert est dès lors convaincu que ses doutes

nombre d'Achéens mais expire finalement sous les coups d'Achille, le héros grec. Par la suite, alors qu'il a contribué à faire tomber Troie, Ulysse ne parvient pas à rentrer chez lui (L'Odyssée d'Homère). Énée quant à lui, fuit Troie à la tête d'une petite flotte et cherche dans le pourtour méditerranéen un refuge pour fonder une nouvelle cité ( L'Énéide du poète romain Virgile) 2. Au XIIème siècle, dans les premières formes du « roman » – avant tout un récit composé en langue romane –, le héros

avec la mort du protagoniste, qui donne son sens à l’œuvre : par exemple, Manon Lescaut à la fin du roman de l’abbé Prévost. [Présentation du texte] Au xixe siècle, Victor Hugo clôt Les Misérables par le récit de l’agonie de l’ancien forçat racheté, Jean Valjean, qui adresse ses dernières paroles à Cosette, sa fille adoptive, et à son mari. [Annonce des axes] Cette scène d’adieu est chargée d’émotions et de grandeur [I]. Derrière le portrait de son héros mourant, véritable modèle d’humanité, Hugo transmet

définitivement à la notoriété et les droits qu’il perçoit lui permettent de s’offrir la propriété de Médan Gervaise, la fille d'Antoine Macquart, a, à vingt-deux ans, fui Plassans avec son amant, Auguste Lantier, un ouvrier chapelier, et leurs deux enfants, Claude, le futur peintre de “L’oeuvre”, et Étienne le futur héros de “Germinal”. À Paris, ils habitent un hôtel meublé misérable dans le quartier populaire de la Goutte-d’Or. Lantier abandonne vite la jeune femme, emportant tout ce qui reste de leurs

plus vulnérable, mon père, un jour, m’a donné un conseil que je n’ai cessé de retourner dans ma tête. » (1ère phrase du livre) « Et j’espère qu’elle sera idiote... Une ravissante petite idiote... On ne peut pas souhaiter plus beau destin pour une fille ici bas. » (Daisy, à propos de sa fille, qui est en réalité la fille de Gatsby) Chapitre 2: Nick accompagne Tom en train pour aller à New York. En chemin, ils s’arrêtent au garage de George Wilson, le mari de l’amante de Tom. Myrtle Wilson se présente

politique a évolué vers le républicanisme. Son pied droit repose également sur le « théâtre français » et son pied gauche repose sur « L’Académie française ». Il s’adosse également sur « Notre-Dame de Paris ». Il est comparé à Gulliver et on voit de petites personnes l’escalader, comme des lilliputiens. On trouve différents monuments autour de lui. Tous ces éléments ont un rapport avec un épisode de la vie d’Hugo : * Le Théâtre Français : Le 25 février 1830 à lieu la bataille d’Hernani entre les

en fait son protégé et le recueille. René le suit lorsqu'il est nommé proviseur à Cusset et il devient pensionnaire. Le baccalauréat qu’il réussit en 1929 clôt ses études qu’il ne peut poursuivre, faute de moyens financiers. Il entame une série de petits métiers, (surveillant de collège, professeur d'anglais, employé de banque...). À dix-huit ans, il est embauché au quotidien Le Progrès de l'Allier et commence sa carrière de journaliste. Il rencontre l'éditeur Robert Denoël au cours d’une interview

Hugo le rappellera dans le livre VII de la quatrième partie des Misérables, il est le premier à introduire l'argot dans un roman ; il ajoute que les réactions furent horrifiées. Pourtant, dans l'article assez perfide que Charles Nodier écrit sur Le Dernier Jour d'un condamné ( Journal des Débats du 26 février 1829) , celui-ci fait silence sur ce recours à l'argot, sujet qui par ailleurs l'intéresse1. Il dit, qualifiant le style de Hugo : « Sa prose, riche et pittoresque comme ses vers, a pourtant

Analyse thématique Dans ce roman, Emile Zola dépeint la vie misérable des ouvriers et des classes populaires à Paris au XIXe siècle, en mettant en lumière les thèmes de l'alcoolisme et de la pauvreté. À travers ces thèmes, il met en lumière les injustices sociales et la dure réalité de la vie. Ces deux thèmes que sont l’alcoolisme et la pauvreté sont d’ailleurs étroitement liés puisque l’apparition de l’un peut avoir pour conséquence l’apparition de l’autre. Ce roman a nécessité une grande documentation

quartier de Paris, ce qu’elle ne se pardonne pas car, après avoir occupé le plus bel appartement de sa pension, le vieillard de soixante-neuf ans, taciturne et à l’aspect imbécile, vrai souffre-douleur de la pension, habite à présent une méchante petite chambre au troisième étage et semble avoir dilapidé sa fortune de manière incompréhensible. Rien ne l’enthousiasme plus, si ce n’est la visite, de loin en loin, de deux jeunes femmes richement vêtues et roulant carrosse en qui tous les gens de la