Les Mots De Champ Lexical Les Derniers Vers

la partie 2 de ce plan de commentaire littéraire. Vous devrez rédiger ces deux parties ENTIÈREMENT , en veillant à respecter les étapes (idée générale, mot(s)-clé(s), exemple(s), analyse/interprétation). S'il y a plusieurs mots-clés dans une sous-partie, à chaque mot clé vous mettrez son exemple et son analyse ; pour ensuite mettre le deuxième mot-clé, son exemple et analyse, et ainsi de suite (voir le paragraphe 1.2.). Cet exercice sera individuel,

alexandrine. Une stichomythie IE répliques courtes Le barbon IE vieux amoureux du jeune ; est ridicule à la base. Etre prédestiné comme être cocu. Amour malséant IE va à l’encontre des bienséances. Tonalité tragique avec vers emphatique ou lyrique (isolexisme) – (début de vers) qui donne une tournure pathétique au personnage mais aussi comique entre le registre employée et la situation qui est là. Echo au comique de situation car Arnolphe responsable du mal dont il souffre. Insistance mise en place

auteur utilise des indicateurs de temps pour insister sur la lenteur du travaille, exprimé au vers 5 « l aube au soir », « éternellement » cela montre que le travaille est interminable pour les enfants. De plus une allitération en « L » est visible au vers 5 avec les mots « éternellement » et « l aube » ce qui intensifie l idée que les journées ne s arrêtent jamais. A cela vient ce joindre la même idée au vers 13 « il fait a peine jour » les enfants ne voient jamais l’éclat du soleil. Ils fournissent

du recueil. En effet, on trouve les chants lexicaux de la danse et de la fête avec les termes « masques» (vers 2), «dansant » (vers 3) et les expressions « bergamasques » (vers 2), « Jouant du luth » (vers 3) appartiennent au champ lexical de la musique. Les différents champs lexicaux du poème traduisent la joie et l’insouciance de la fête. De plus, les assonances en /a/ et les allitérations en /an/ « Que vont charmant masques et bergamasques » (vers 2) traduisent la musique et les allitérations

partager le discours éloquent de la femme. Premièrement, grâce aux mots « étouffe » (v12) et « morsures » (v13), nous voyons que la femme se décrit comme dangereuse, l'auteur utilise le thème de l'amour comme une infernale passion, la femme domine et l'homme qui est ici Charles Baudelaire est censé appréhender le fait que celle-ci le prenne dans ses bras. L'amour prend la forme d'un sacrifice où les rôles s'échangent d'un vers à l'autre, où la tendresse est remplacée par la violence. Le parallélisme

Saturniens, les autres des Fêtes Galantes. a) Mon rêve familier : évocation de la femme aimée, vénérée, et dont la voix revient comme un écho dans les derniers vers : lointaine, et calme et grave. (Voix d’or vivant, douce et sonore dans Nevermore.). Ici, c’est son nom qui est « doux et sonore » ! Cet amour est lointain (« que la vie exila » , rêvé (vers 1) b) La célèbre Chanson d’automne (citée par Serge Gainsbourg dans Je suis venu te dire que je m’en vais) utilise et abuse du thème de la mélancolie

l’avez-vous éprouvé ? ». Il est aussi exprimé par l’utilisation du champ lexical du désespoir avec des mots tels que « pleurai, désespoir, malheurs, affreux, horrible, terrible », par les interjections « Oh ! », « Hélas ! » et par l’hyperbole « souffert ma souffrance ». Victor Hugo exprime également sa souffrance à travers plusieurs champs lexicaux : celui de la souffrance, celui de l’horreur, celui de la révolte et du refus. Le champ lexical de la souffrance est exprimé par le verbe « souffrir », le verbe

Hugo Cinquième et dernière partie de Lux, qui est lui-même le dernier poème de Les Châtiments, de Victor Hugo. C’est une conclusion. C’est un hymne lumineux et un hymne à la liberté. La confiance de ce poème contraste avec le recueil plutôt sombre. Partie V : paroxysme de cet enthousiasme. Dans le premier poème du livre VII, Victor Hugo se fait prophète. Lux est l’énonciation de cette prophétie et proclame le bonheur. Le premier vers est une reprise et un bilan de cette attente qu’avaient les proscrits

utilise un champ lexical qui se rapporte à la pensée de l'Homme qui, lui, les détestent donc l'auteur va employer une sorte de dégout par rapport à celui-ci ; « Maudites, Chétives »(v5) « Victimes »(v.15), « Plante obscure, Au pauvre animal »(v17-18) . La présence des points d'exclamations va permettre de confirmés les affirmations. Victor Hugo s’oppose aux idées de la société envers ces bêtes. De plus, l’auteur fait passer un message moral et philosophique. Malgré le fait de l'emploie du champ lexical

Commentaire composé – Chanson d’automne Paul Verlaine Paul Verlaine est l’une des grandes figures de la poésie du XIXeme siècle. Dès son adolescence il est guidé vers la littérature et influencé par son entourage pour travailler dur et rédiger des œuvres purement réfléchies. Après avoir fréquenté cafés et cercles littéraires et étant un grand admirateur de Baudelaire, il publie son premier recueil, Poèmes saturniens, en 1866, à 22 ans. Ce nom est dû à l’influence de Saturne sur ceux qui sont