Les Mots et les Choses

conscience qui est le droit accordé à une personne d'avoir ses propres valeurs, principes, opinions, religions et croyances.. Ainsi à la question peut-on tout dire, le choix le plus démocratique et naturel serait de dire « oui ». Cependant, les choses ne sont pas si simples. En effet n’imposer aucune limite à la liberté d’expression reviendrait à accepter les idées les plus intolérantes et donc de pouvoir mettre en danger certains individus. C’est donc la loi qui permet d'assurer la paix entre

3e Les Figures de Style I. Observons Réponds aux questions du tableau ton teint de rose Parle-t-on d’une fleur ou d’une femme ? Que vient-on de lire ? Association de deux choses ayant un point commun sans mot-outil Désignation d’un objet par une partie ou un élément associé Rapprochement de deux mots de sens opposé Exemples La Justice portant une balance « Là est tout le bien que mon esprit [désire, Là est le repos où tout le monde [aspire Là est l’amour, là le plaisir encore. »

Cependant tous les mots ne se déclinent pas sur la même déclinaison, il y a 5 déclinaisons différentes dans la langue latine, nous en verrons 2 au cours du 1er semestre. Nous allons voir aujourd’hui la première déclinaison. Qu’est-ce qui permet de voir à quelle déclinaison appartient un mot ? La désinence (la terminaison) du génitif singulier. C’est cette désinence qui permet de regrouper tous les mots d’une même déclinaison. Lorsque l’on apprend un mot latin, on apprend trois choses : son nominatif

par l'humanité, tels que le sens de la vie et de la mort ou encore la puissance du temps. D'autres auteurs, comme Francis Ponge, se rapprochent du réel en décrivant des objets issus de la vie quotidienne, par exemple du pain, dans Le Parti pris des Choses. Il nous amène  ainsi à modifier notre perception d'un objet en apparence trivial que nous ne voyons plus, en nous le présentant de manière inattendue. La poésie peut également être une fin en soi, et posséder ainsi une fonction purement esthétique

citations sur les mots? Les citations sont proposées par les visiteurs du Garde-mots. Elles doivent comporter le terme mot (au singulier ou au pluriel), être remarquables par leur profondeur, leur poésie ou leur humour, et réjouir le gardien. Elles sont acceptées après vérification (les références précises sont les bienvenues) et reportées dans ce billet. Elles peuvent être tirées d'autres sites Internet. Celles qui ne sont pas retenues restent affichées dans les Commentaires. Les mots servent à exprimer

Quel1 est notre rapport au monde, tant extérieur, les choses, qu’intérieur, nos propres états d’âme ? Dans quel monde vivons nous ? À ces questions, Bergson répond, contre notre certitude immédiate : « nous ne voyons pas les choses mêmes (...) », puis plus douloureusement : « ce sont aussi nos propres états d’âme qui se dérobent à nous ». Pourquoi cette séparation entre soi et les choses et soi et soi-même ? Tel est l’objet de cet extrait du Rire. Une unique réponse : parce que nous appréhen- dons

transmettre l’invisible en lui , ce qu’il ne peut plus montrer d’un geste, alors selon Rousseau, il invente le langage comme outil d’information d’autrui, de ses pensées abstraites et de ses sentiments. Cet outil peut évoquer les choses par les mots, c’est-à-dire sans les choses elles-mêmes : raconter, expliquer. Or cela peut laisser la place au mensonge, à la fiction, à la manipulation…Notre univers médiatique n’utilise-t-il pas, n’abuse-t-il pas de cette possibilité, en monopolisant l’information, par

l'auteur à diminuer ce qu'il écrit : « Toute cette fricassée que je barbouille ici n'est qu'un registre des essais de ma vie3. » Toutes les choses de la vie, même les plus humbles, sont dignes d'intérêt à ses yeux ; son plaisir est de mettre au jour une humanité nue et crue en scrutant son propre être intérieur, son « arrière-boutique » selon ses propres mots. Les Essais sont cependant devenus un livre universel, « le seul livre au monde de son espèce », un livre unique qui met sous les yeux du lecteur

au service de la conscience par la médiation de la substitution des signes aux choses, du sens aux signes, du symbole au sens. Le substitut est ce qui tient lieu d’autre chose ; il est ce qui lui est substitué. Ainsi en va-t-il par exemple des signes et, plus généralement, des idées qui se substituent à des choses pour les représenter. Il semble ainsi que, grâce à ce phénomène mental qu’est la substitution, les choses les plus éloignées de nous, voire les plus inaccessibles à notre expérience, nous

poète s'efforce de rendre la réalité dans toute sa plénitude : les poètes peignent les choses de la vie même. Après le surréalisme qui dédaigne le réel dans sa forme immédiate, Ponge revient dans Le Parti pris des choses aux réalités les plus usuelles : le pain, le cageot... Cadou consacre un poème à « La maison du poète... », remplissant ainsi le rôle que Reverdy assigne au poète : « Considérer toutes choses comme inconnues et [...] se promener ou [...] s'étendre sous les bois ou sur l'herbe, et