Les Mouches Acte 2 Scène 3 Et 4

Explication de texte : Les Fables, livre I, 1, « La Cigale et la fourmi ». Cette fable est héritée d’Esope, reprise par M. de France puis J-A de Baïf. C’est un acte capital que d’avoir mis cette fable dans le livre I en première position, avec l’occurrence unique et première des fourmis et des cigales, ainsi que l’absence de morale apparente. Elle s’inscrit dans une série de fables très courtes, à peine plus étendues que le canevas d’Esope, allant jusqu’à la suppression du sens moral du récit

creuset". (Acte IV, scène 3, p.66) "Je n'ose pas remuer. Au premier mouvement, tout cet édifice que je porte encore en moi s'en ira en poussière... Lever la tête? Pour que je voie, sur ces murs, tous ces héros et tous ces paysages devenir soudain pour moi étrangers et ennemis! Songez, Geneviève, à ce que doit ressentir un enfant de sept ans quand les grands hommes, les villes, les fleuves de sa petite histoire lui tournent soudain le dos. Regardez-les. Ils me renient". (Acte III, scène 4, p. 51)

comme gardien de but. Mais cette ascension fut stoppée après lui être diagnostiqué une tuberculose en 1930. Grace a son oncle, il trouva une chambre pour vivre et fit la connaissance de plusieurs personnes. Il s’est marié en 1930 avec Simone Hié. 2. Littérature et politiques En 1937, le livre L’envers et L’endroit est publié chez Max-Pol Fouchet. Il fonde le Théâtre du Travail à Alger, plus tard remplacé par le Théâtre de l’Équipe. Il commence à travailler au Journal Alger Républicain, interdit

SOMMAIRE INTRODUCTION p.4 PREMIERE PARTIE : L’Engagement intellectuel et les figures de Sartre et Camus au lendemain de la seconde guerre mondiale. p.8 1. Définition de l’engagement intellectuel p.8 2. Camus et Sartre : Modèles de l’engagement p.12 DEUXIEME PARTIE : Deux hommes de gauche au service du théâtre. 1. 2. p.25 Sartre et le Théâtre de Situation p.25 Camus : le Théâtre de l’absurde, de la justice et de l’antip.39 terrorisme 2 TROISIEME PARTIE :

présente ‘’La seconde surprise de l’amour’’ (1727) comédie en trois actes et en prose de MARIVAUX pour laquelle on trouve un résumé puis une analyse où sont examinés : - l’intérêt de l’action (page 3) - l’intérêt littéraire (page 4) - l’intérêt psychologique (page 4) - l’intérêt philosophique (page 5) - la destinée de l’œuvre (page 6) Bonne lecture ! Résumé La pièce s’ouvre par les soupirs d’une dame affligée. La Marquise a perdu son époux tendrement

vie 2 Séquence 2 : Réflexion sur les droits de la femme Objet d’étude n°2: La littérature d’idées du XVIème au XVIIIème siècle Problématique : Comment la littérature d’idées des siècles passés (XVIe, XVIIe ou XVIIIe siècle) peut-elle éveiller l’esprit critique du lecteur d’aujourd’hui ? A- Lectures analytiques : Œuvre intégrale : Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, Olympe de Gouges, 1791 • Extrait 1 « L’écriture en articles »………………………………………………………………..8 • Extrait 2 « Femme

« Sur Démocrite et Héraclite » Intro Montaigne Montaigne cite ces 2 philosophes présocratiques : 1. Démocrite représente l’optimisme 2. Héraclite représente le pessimisme. Montaigne se présente comme un penseur détaché de l’autorité de l’église qui a été dominante au Moyen-âge pour ce placer sous celle des philosophes de l’antiquité gréco-latine. 3. Du IV siècle au XVI siècle c’est le Théocentrisme 4. A partir du XVI siècle c’est l’Anthropocentrisme Ce qui fait l’humain

Cataphore : « Vague »→ Impression de mouvement de va-et-vient comme s’il y avait une vie débordante dans ce cadavre.II - Le but de Baudelaire est de faire œuvre d’art quelque chose pas traditionnel. Discerner unesymphonie dans ce vaste bourdonnement de mouches.7ème et 8ème quatrain :- Métaphore de la peinture : « s’effaçaient », « ébauche », « toile », « artiste »→ Esthétique picturale inspirée par cette vision sinistre.9ème quatrain :- Diérèse : « épiant le moment de reprendre au squelette »→ Un animal

Dossier Histoire des Arts, La première guerre mondiale mise en scène par les écrivains et les dessinateurs. Texte 1 : extrait de Le feu, journal d'une escouade, Henri Barbusse « Plus jamais ça », une dénonciation de la guerre. La visée (=le but) de ce texte est bien entendu la dénonciation de la guerre. Pour cela, il utilise différents champs lexicaux : celui de l'audition : « détonations épouvantables, monstrueusement retentissante, strident fracas, averses de tonnerre, effroyable rideau

les passions de l’âme pouvant se décrire comme une déficience de la volonté) mais encore, à l’égard de la raison elle-même ? Absolument parlant en effet, notre volonté, pour être libre, ne doit recevoir aucune détermination, fut-elle rationnelle. 2. Cette liberté de la volonté elle-même, qui «se connaît sans preuve », n’est-elle pas illusoire ? Ne peut-on pas soupçonner, par exemple, que nous sommes déterminés à agir par des causes dont nous n’avons pas nécessairement conscience ? 1) La liberté