Les Munitionnettes

celles de la campagne. Elles doivent remplacer les hommes et les bêtes réquisitionnées. En ville, les journées de travail sont très longues et très dures (12/13 heures par jour) à l’usine où elles sont moins payées que les hommes 1918 : 400 000 munitionnettes. Au début guerre de mouvement, mais pendant l’hiver 1914, les troupes s’enterrent et se figent, c’est la guerre des tranchées. Les erreurs de commandement : Mai 1915 : la division marocaine perce le front allemand mais lorsqu’ils redescendent

surpris) ; * Utilisation de la propagande (affiches, filmes, etc.) ; * Guerre chimique : nouvelle arme, le gaz ; * Guerre économique : * Guerre industrielle : pour maintenir la production, les femmes doivent travailler (« Munitionnettes ») ; * Le gouvernement incite la population à donner de l’argent + emprunt aux USA ; * Guerre inhumaine : * Nouvelles armes, donc beaucoup de victimes (morts, blessés, mais aussi familles,…) ; * Résistance sévèrement

elles étaient le plus souvent cantonnées dans des tâches considérées comme secondaires.   Ce qui était nouveau et frappa les esprits, ce fut leur embauche dans les usines d'armement, dont les ouvrières furent bientôt désignées sous le nom de « munitionnettes ». Durant toute la seconde guerre, une cinquantaine de millions d’Américains et une trentaine de millions d’Allemands travaillent pour les besoins de la guerre. L’Allemagne utilise de plus en plus de main d’œuvre étrangère dans ses usines. Celle-ci

ont toujours été considéré comme le sexe faible et pourtant en 1938 elles rentrent dans l'armée, corps militaires réservés exclusivement aux hommes. Due a leur nombreux sacrifices et services rendu à l'armée française en tant qu'infirmières et munitionnettes durant la première guerre mondiale alors que les hommes, partis aux combats, avaient déserté les villes et usines laissant la France sans ouvriers. Grace à leur efforts elles se sont imposées en tant que militaire à part en tiers et correspond

la guerre, les femmes vont travailler dans les usines d’armement, fabriquer des armes, des munitions. C’est ainsi qu’elles auront le surnom de « munitionnettes ». Ce qui était nouveau et frappa les esprits, ce fut leur embauche dans les usines d'armement, dont les ouvrières furent bientôt désignées sous le nom de « munitionnettes ». Les « munitionnettes » donnèrent lieu dans la presse à des dessins jetant un regard nouveau non dépourvu d'humour, sur le travail féminin et le statut de la femme au

mobilisés. Certes, on fait revenir les ouvriers qualifiés dans les usines d'armement mais l'industrie a aussi recours à une nouvelle main d'œuvre : ce sont les femmes qui remplissent par exemple les obus de poudre, d'où leur surnom de canari ou de munitionnette ; ce sont aussi les hommes des colonies qui sont sollicités, envoyés en métropole pour fabriquer des armes. Cet effort industriel accroît fortement la production : 260.000 obus sortent des usines chaque mois en 1918 ! B) L'effort industriel

tous au front, les femmes doivent donc les remplacer. Les femmes travaillent dans les usines et dans les champs pour pouvoir nourrir leur famille. L'effectif des femmes dans les usines d'armement est souvent démultiplié. On les appelait les « munitionnettes ». Elles vivent dans la peur de perdre un mari, leur fils, un parent ou un ami, certaines doivent aussi assumer la charge d'un proche, blessé ou invalide. Elles joueront un rôle très important dans la guerre, aussi bien dans la fabrication d'armes

totale car elle mobilise à la fois les esprits et les ressources matérielles et financières du pays. Une économie de guerre est mise en place : toutes les activités économiques sont orientées vers les besoins de la guerre (travail féminin (munitionnettes), productions industrielles de type militaire (Renault par exemple... ). L'effort financier est important : les gouvernements doivent recourir à l'emprunt auprès des populations civiles, pour financer la guerre. L'arrière est touché par les

spectaculaire de l’implication féminine dans la guerre. Elles y fabriquent des engins nécessaires au combat, tels que des obus avec un simple chalumeau et une bouteille de gaz, ou encore des cartouches pour les armes. Ces travailleuses, surnommées les « Munitionnettes », constituent plus d’un quart de la part de femmes mobilisées pour l’effort de guerre. La presse incite même les petites et jeunes filles à vouloir participer à cet effort de guerre à l’avenir, comme le montre un dessin de Paillard, où une petite

pour cela que l’on dit de la première guerre mondiale qu’elle est une « guerre totale » Les femmes remplacent les hommes partis à la guerre dans les champs et les usines, notamment pour fabriquer des munitions (on les surnomme dans ce cas les munitionnettes). De plus, les civils souffrent du manque de nourriture et de nombreuses privations.   L'économie française est entièrement consacrée à la guerre et notamment à la fabrication des armes. Par exemple, les usines Renault fabriquent beaucoup plus