Les Mércantilistes

numéro 1 : voir feuille CHAPITRE 2 : LES THEORIES DU COMMERCE INTERNATIONAL Introduction : aspects de l’histoire de la pensée économique Les mercantilistes et les physiocrates sont les précurseurs de l’économie moderne. Il est courant de… cependant plusieurs auteurs plus anciens méritent d’être cités et notamment ceux appartenant aux écoles mercantilistes et physiocrates. A) L’évolution historique du développement du commerce international. 1) Transformation du milieu économique et social.

origines de la pensée économique. I. Les mercantilistes. ------------------------------------------------- II. Le libéralisme de BOISGUILBERT. a) Le rôle de la demande intérieure. Pierre Le Pesant, à la fin du 17ème siècle, seigneur de Boisguilbert publie Le détail de la France en 1697. Il dit que c'est la consommation qui est à la source du développement de la richesse. Il dit qu'il faut supprimer les impôts et, à la différence des mercantilistes, il pense qu'il faut d'abord assurer la demande

dans la microéconomie qui travaille principalement sur les comportements individuels. C’est à partir de 1500 que le terme de science économique fut son apparition, deux grandes périodes sont à l’origine de ce phénomène. Tout d’abord il y a eu le mercantiliste, les personnes n’utilisaient aucune théorie pour parler d’économie alors que le savoir et la théorie sont les deux grands atouts d’un bon économiste. Par exemple lors de ce premier mouvement l’Espagne s’est forgé une grande richesse avec une accumulation

3.3.1 Auteurs de la Renaissance et de la Réforme * 3.3.1.1 La Réforme protestante * 3.3.1.2 École de Salamanque * 3.3.2 Autres Réformateurs précurseurs de l'économie moderne * 3.3.3 Les doctrines mercantilistes (1450-1750) * 4 L'Économie de Liberté : Le Libéralisme * 4.1 Prémices philosophiques * 4.1.1 Bernard de Mandeville (1670-1733) * 4.1.2 Influence des philosophes des Lumières * 4.2 Les Fondateurs du Libéralisme

science éco 1°- Les précurseurs a- Les mercantilistes Dès le 15e s, en Europe, se généralise l’économie des foires et marchés, qui tissent des réseaux d’échanges dans un monde encore médiéval (du 15e au 18e s). C'est ce que l'on a pu appeler l'ère mercantiliste. Ce mot désigne la doctrine qui exalte le devant des marchés, des marchands et du commerce. Les auteurs précédents traitaient les échanges sous l’angle de la morale divine. Les mercantilistes abandonnent ce point de vue, où la justice

d'exportations des marchandises. Les conséquences de cette politique sont l’inflation et la pénurie. • Inflation : l’abondance de l'or engendre une hausse des prix. Ce mécanisme n’est pas encore compris et ne le sera que progressivement par des auteurs mercantilistes 30 comme Jean BODIN (1530-1596), Richard CANTILLON (1680-1734), puis par DAVID HUME (1711-1776) qui l’intégrera dans une théorie de l’équilibre de la balance des paiements. La difficulté de se procurer des denrées ne fait qu’amplifier l’inflation

A) Les précurseurs : Mercantilistes et physiocrates. Le développement des Etats forts à partir du 17eme siècle conduit les penseurs à s’intéresser aux facteurs qui favorisent la puissance du souverain. Les écrits de Machiavel en font un exemple dans la science. L’équivalent économique sont les écrits mercantilistes avec Montchrestien et Petty. Le but de ces auteurs cherche à trouver des stratégies afin que la France et l’Angleterre s’enrichissent. Pour les mercantilistes l’Etat accroit ses puissances

de France et d'Espagne se développe le courant mercantiliste, qui dominera la pensée économique européenne entre le XVIe siècle et le milieu du XVIIIe siècle. Au cours de cette période, une littérature éclatée apparaît, pendant laquelle les hypothèses ont évolué, rendant l'idée d'un courant unique assez vague. Il se répandra dans la plupart des nations européennes en s'adaptant aux spécificités nationales. On distingue parmi les écoles mercantilistes: le bullionisme (ou « mercantilisme espagnol »)

et de droits de douane par l'État afin d'aboutir à la meilleure situation économique possible. Dans cette perspective, l'échange serait mutuellement avantageux. Ce ne serait pas un jeu à somme nulle. Les libéraux s'opposent donc aux thèses mercantilistes (du 17e siècle), pour qui le commerce c'est la guerre, c'est-à-dire qu'il y a un gagnant et un perdant. [pic] Adam Smith dans son ouvrage « Recherches sur la nature et les causes de la richesse des Nations, 1776 » explique l’échange entre

le XVIIème siècle. Le courant mercantiliste, représenté par G. Botero, J. Bodin, J.-B. Colbert, T. Gresham, T. Mun. Ce courant naît de la pratique, tant des marchands et des banquiers que des ministres des finances des rois d’Europe. Alors que pendant longtemps, les théologiens, les juristes et les philosophes ont tenté de rendre compatible les pratiques économiques avec les valeurs chrétiennes, quitte à en prohiber certaines tel le prêt à intérêt, les mercantilistes mettent de côté les préoccupations