Les Nourritures Terrestres Gide

de Simone ce Beauvoir, mais un passage d'une œuvre d'André Gide (Les Nourritures Terrestres) ! Il convient d'ailleurs de donner la citation complète, bien plus intéressante : "Familles, je vous hais ! Foyers clos; portes refermées; possession jalouse du bonheur." Gide reconnaît cependant que la famille permet une « socialisation

Pyrénées Magazine, 1989) par le professeur 2. Identification en classe entière : auteur, titre, date et lieu de publication, type de document, thème du document, but de la production du message 3. Lecture du doc.2 p.5 (extrait des Nourritures terrestres de Gide) par un élève volontaire 4. Identification individuelle puis mise en commun (un élève au tableau) 5. Lecture et identification des docs.3 (poème de Baudelaire) et 4 (affiche publicitaire) p.5-6 § Travail individuel puis mise en commun

dans "Villes" ne recourt au "je" qu'à la fin du poème. Gide dans l'extrait des Nourritures terrestres proposé l'utilise également très peu, lui préférant le "on" impersonnel. Queneau ne l'utilise, lui, absolument pas. Ces poèmes-là ne seraient-ils pas l'expression d'une subjectivité ? Ils le sont bien évidemment tout autant que les autres. En effet, ces poètes, malgré leur apparent effacement, laissent toujours transparaître leur état d'âme. Gide révèle par exemple combien il est hanté par le désir

André Gide à la recherche de la Fleur Rouge Présentation Choisir d'évoquer l'engagement d'André Gide en faveur de l'U.R.S.S. durant la première partie des années trente, c'est avant tout se faire l'écho de l'engagement politique particulier de ces hommes et de ces femmes, des intellectuels pour la plupart qu'Arthur Koestler appelait des "non-aryens"1, qui mirent tout leur talent et tout leur art au profit d'une cause, celle du soutien à la révolution soviétique, et que l'on surnommait volontiers

responsabilité par rapport aux jeunes générat° 5) « Familles, je vs hais » ou conflit de générat° ! A. GIDE / « les nourritures terrestres » Les anciennes générat° se sentent « poussées » par les nvelles générat° I – La famille sécrète et fige une générat° C’est antithétique = 1paradoxe / 1 ambivalence L’éducat° = transmiss° de valeurs et mise en place d’1 « clôture domestique » A. Gide ou « prison dorée » T. Despueyroux de F. Maurillac → ex de « clôture domestique » ds laquelle 1femme

ne sait être heureux lui-même. » André Gide, Les Nouvelles nourritures. 25. « J’ai besoin du bonheur de tous pour être heureux » André Gide. 26. « Rien n’empêche le bonheur comme le souvenir du bonheur. » André Gide, L’immoraliste. 27. « Le bonheur de l’homme ce n’est pas la liberté, c’est l’acceptation du devoir". André Gide. 28. « Ne distingue pas Dieu du bonheur et place tout ton bonheur dans l’instant. » André Gide, Les Nourritures terrestres. 29. « Le bonheur n’est pas quelque

prose (1869) œuvre, tant dans la prose que dans les thèmes, d’avant-garde, provocante et condamnée tout comme les Fleurs du mal (1857) et, entre tant d’autres, sa description de la « charogne » putréfiée. À la fin du siècle (1897) Les Nourritures terrestres d’André Gide, manifeste vitale, ôde au plaisir et à l’unique constant, est préfacé : « Que mon livre t’enseigne à t’intéresser plus à toi qu’à lui même, - puis à tout le reste plus qu’à toi ». On peut y lire : « je ne crois plus au péché ». Auteur

d'aujourd'hui fatigués de la littérature, pour leur prouver qu'écrire un roman peut être aussi un acte. " Blaise CENDRARS (XX°) (dédicace d'un de ses romans) " Ecrire, c’est donner. " J.P. SARTRE " Belle fonction à assurer, celle d'inquiéteur. " André GIDE (XX°)    III) Le livre et sa fonction  1. Evasion ou consolation de la vie " Il n'est pas de chagrin dont une heure de lecture ne m'ait consolé. " MONTESQUIEU (XVIII°) " Un livre est une fenêtre par laquelle on s'évade. " Julien GREEN (XX°) " Les

pour la somme de 28 000 francs, sur les coteaux de la Garonne proches de Verdelais, la propriété de Malagar (encore orthographiée « Malagarre » qui veut dire « mauvaise garenne »). 1868 Nais. de Paul Claudel et de Francis Jammes. 1869 Nais. d’André Gide. 1883 Nais. d’André Lafon. 1884 Nais. de Jean de la Ville de Mirmont. 1885 11 octobre. François Mauriac naît à Bordeaux, rue du PasSaint-Georges. Il est le cinquième et dernier enfant de JeanPaul Mauriac (d’une famille de vignerons du Langonnais et

atteint la vie paysanne dans sa substance. Dans les pays riches, elle a quasiment disparu. La culture de la terre était le fait d'un genre de vie de tout un peuple, elle est devenue le fait de quelques entrepreneurs extrayant la matière première de la nourriture d'une société urbanisée. Les blés ne reçoivent plus le regard amoureux. Les bêtes n'ont plus de mère nourricière, n'ont plus de nom, n'ont plus de voix qui les interpelles dans leur tonalité. Où sont les Marguerite et les Noiraude qui broutaient