Les Nuées

lexical : « le soleil »v1, « les nuées »v1, « l’orage »v2, « des mers »v6, « des monts » v6, « des forets »v7, « des eaux »v9 « des montages »v9, « des bois »v10…En effet le lexique de la nature est très marqué, de plus la polysyndète en « et » du troisième quatrain permet d’insister sur l’accumulation des termes qui se réfèrent a la nature. Ensuite, on peut retrouvé les 4 éléments de la nature : l’eau, le feu représenté par le soleil, l’air représenté par les vapeurs et les nuées et enfin la terre représentée

qu’évoluent les albatros décrits par Baudelaire. Ces derniers sont désignés par des périphrases qui soulignent leur grandeur et leur majesté : « vastes oiseaux des mers » (v.2), « compagnons de voyage » (v.3), « rois de l’azur » (v.6), « prince des nuées » (v.13). On observe que ces périphrases soulignent la symbiose entre l’albatros et son milieu : « azur », « vaste » – ces adjectifs qui qualifient les albatros pourraient tout aussi bien s’appliquer aux paysages marins dans lesquels ils évoluent. 

forme d’alternance. Par exemple, dans une strophe de quatre vers, le premier vers rime avec le troisième et le deuxième rime avec le quatrième. Pour ce qui est de la richesse des rimes, quelques-unes sont suffisantes telles que : • « … dans les nuées. » • « … de vapeurs obstruées » Pour qualifier une rime de suffisante, elle doit comporter deux éléments communs. Dans le cas de ces deux vers, on peut entendre le son «u» et le son «é». De plus, elles sont de genre masculin. Il y a aussi des

l'azur », « maladroits et honteux »; (v.7) « leurs grandes ailes blanches »; (v.9) « Ce voyageur ailé », « il est gauche et veule »; (v.10) « Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid ! »; (v.12) « l'infirme qui volait ! »; (v.13) « au prince des nuées »; (v.15) « Exilé »; (v.16) « géant ». En ce qui concerne l'action, elle est dramatisé. On passe du premier quatrain, où les oiseaux sont dans leur élément, le rythme met en valeur leur vol harmonieux. Cet effet de fluidité est d'abord accentuer par

strophe explicite le symbole en faisant du poète, par une comparaison et une métaphore hyperbolique, un " prince des nuées " (vers 13) aux " ailes de géant " (vers 16). Exilé parmi les hommes, la vie de l'albatros apparaît donc comme une parabole qui définit l'existence du poète. Le poète et l'albatros sont associés dans la dernière strophe, « Le Poète est semblable au prince des nuées ». Finalement le seul texte qui représente un animal plus faible et las ; est un « autoportrait » composé par Tristan

et le bétail. - Des nuées ardentes dévalent les pentes du volcan. - Des lahars (fleuves de boue et cendres) détruisent tout sur leur passage. Types d’éruptions Il existe deux grands types d’éruptions volcaniques : - les volcans rouges ou effusifs avec des coulées de lave (magma fluide) - les volcans gris ou explosifs avec des projections de nuées ardentes (magma visqueux voire solide qui bouche le cratère. Le bouchon de lave est expulsé par un dégazage brutal du magma = nuées ardentes) Dans les

quatrain Beaudelaire crée un rapprochement entre l’albatros et le poète. « le poète est semblable au prince des nuées » (v.13). L’albatros est personnifié car le poète est comparé à l’oiseau. Les trois premières strophes comparent l’albatros à un roi déchu « roi » (v.6), à un voyageur tombé du ciel. La quatrième strophe explique le symbole en faisant du poète par une métaphore, un « prince des nuées » (v.13) aux « ailes de géant » (V.16) qui empêchent le poète de marcher, le poète ayant alors toutes les

les trois premières strophes comparent l'albatros à un roi déchu (" roi " vers 6), à un voyageur ailé tombé du ciel. La quatrième strophe explicite le symbole en faisant du poète, par une comparaison et une métaphore hyperbolique, un " prince des nuées " (vers 13) aux " ailes de géant " (vers 16). Exilé parmi les hommes, la vie de l'albatros apparaît donc comme une parabole qui définit l'existence du poète. Le poète et l'albatros sont associés dans la dernière strophe et cette association oblige

[…] Il y a la nef silencieuse de vos mains (vers 10)»,les éléments mystiques sont nombreux, un univers juste, celui de l’espoir et de la liberté s’oppose, à l’oppression des tyrans sur terre. Les forces mystiques sont plus puissantes « L’ordre des nuées et des cieux vastes (vers 12) » domine « l’ordre dérisoire des tyrans (vers 11) d’où la répétition de « Par-dessus (vers 9 et 11). Ce sont donc deux univers radicalement différents qui s’opposent, deux conceptions idéologiques inconciliables en regard

Chapitre I, de « A ce moment, les nuées au fond » (p35) à « les applaudissements devinrent furieux. » (p36) Dans ce « poème des désirs du mâle » publié en 1880, Zola reprend la figure de la prostituée, déjà présent dans La Confession de Claude, son premier roman, publié en 1865. Zola décide d’étudier plus précisément, à travers le personnage éponyme de son roman, non une simple prostituée mais « une biche de haute volée », une « cocotte » entretenue. Le passage est capital puisque c’est à