Les Nécessités Politiques Et Les Exigences Morales Se Contredisent Elles

By NESTOR JAMIL MULTISERVICE Chap1 Chap2 Chap3 Chap4 / Chap5 Chap6 / Chap7 / Chap8 / Chap9 Chap10 Chap11/ Chap12 / ETAT ET POUVOIR POLITIQUE Chap13 / LA PROBLEMATIQUE DE L’ART Chap14 / L’ÉPISTÉMOLOGIE OU LA PROBLÉMATIQUE DE LA SCIENCE JAMIL MULTISERVICE Chap1 / ORIGINES ET DEFINITIONS DE LA PHILOSOPHIE Chap2 / LA SPECIFITE DE LA REFLEXION PHILOSOPHIQUE Chap3 / LES GRANDSES INTERROGATIONS PHILOSOPHIQUE Chap4 / ENJEUX, FINALITE ET PERSPECTIVES DE LA PHILOSOPHIE Chap5 / LA PROBLEMATIQUE

 La science politique Vieille de près de vingt-cinq siècles, la science politique devrait offrir aujourd'hui des traits propres, aisément discernables et définissables, faciles à présenter en termes clairs et précis. Or, il n'en est rien. Si l'introduction, il y a vingt-cinq ans, de la science politique dans l'enseignement universitaire de la plupart des pays d'Europe a marqué « la fin d'une extraordinaire carence », elle n'a pas été, comme on aurait pu le penser, la fin des controverses. Déclarée

philosophiquement, la politique, l’existence et le temps, la matière et l’esprit, la raison et le réel (la connaissance dans l’ordre de la raison théorique, mais également la dimension pratique de la raison, qui peut être 1 interrogée de manière critique), la démonstration, l’interprétation (les Pensées proposent une multiplicité de points de vue), etc. Pourtant, une objection survient immanquablement : les Pensées en général, ou cette liasse en particulier, rendent-elles véritablement possible

programme : Le sujet. La conscience. La perception. L’inconscient. Autrui. La culture. Le langage. La technique. La religion. La raison et le réel. Théorie et expérience. La démonstration. La matière et l’esprit. La politique. La société. La justice et le droit. La morale. La liberté. La morale. Le bonheur. Repères : absolu/relatif ; en acte/en puissance ; contingent/nécessaire/possible ; croire/savoir ; en fait/en droit ; légal/ légitime ; objectif/subjectif ; obligation/contrainte ; origine/fondement

semblent meilleurs, moralement ou épistémologiquement. La critique interne consiste à évaluer la clarté et la cohérence, la pertinence, la force ou la faiblesse des conclusions et des arguments, de distinguer les concepts entre eux, les formes entre elles, etc... La valeur des arguments ne nous intéresse donc pas en terme de leur vérité intrinsèque, mais uniquement dans le rapport de cohérence qu’ils entretiennent avec la question et la réponse qu’ils doivent appuyer. Quand bien même a réponse sera

orientés par une recherche plus systématique d’« efficacité », une logique « instrumentale » qui subordonne toute action à des objectifs, des buts. Cette rationalité « instrumentale », technique et économique, prend le pas sur les considérations politiques, morales, culturelle, et guide le processus d’organisation de la vie sociale, du travail productif jusqu’à la vie quotidienne. Ainsi, pour Max Weber, l’idéal de rationalité instrumentale est au fondement des organisations modernes. Cet idéal de rationalité

FREINET C., Oeuvres pédagogiques, Tome 1 et 2, Seuil, Lonrai, 1994. VASQUEZ A., OURY F., De la classe coopérative à la pédagogie institutionnelle, Maspéro, 1971. SUR LE DISCOURS PÉDAGOGIQUE M-C. Blais, M. Gauchet, D. Ottavi, Pour une philosophie politique de l’éducation, Bayard, 2002. N. Charbonnel, Pour une critique de la raison éducative, Peter Lang, 1988. A-M. Drouin-Hans (dir.), La philosophie saisie par l’éducation, CRDP Bourgogne, 2005. C. Gautier, Pour une théorie de la pédagogie, De Boeck

des théories des relations internationales. A QUOI RENVOIE LE CONCEPT INTERNATIONAL ? Sur le plan historique : le mot international est la création de Jeremy BENTHAM. Ce mot apparaît dans l’ouvrage intitulé « Introduction to the Principles of Moral and Legislation ». Le mot est introduit en France en 1801. Le concept international est une innovation linguistique dans un contexte où le monde est dynamique et où il ya des règles qui prescrivent les relations entre États souverains et où le

mise en garde médicale contre le surpoids est de plus en plus présente au cours du XXe. – Lignes 12 à 27. Cette seconde moitié du second paragraphe est la seule à poser quelques problèmes. En effet, Fischler montre que les sociétés occidentales (elles sont, au cours du XXe siècle, les seules concernées par l’obésité) s’emparent de cette mise en garde pour aller bien au-delà d’une préoccupation sanitaire. Alors que les médecins prônent un poids raisonnable (qui n’est pas synonyme de minceur),

une différence par rapport aux paysans et aux nobles, ils vont chercher à s’émanciper. Cela commence en Italie à la fin du 11ème puisque les villes portuaires veulent développer leur activité et acquérir une indépendance : Florence, Vienne, Venise… Elles vont alors développer des institutions commerciales. Cela s’est également passé en Allemagne (Freibourg) et dans les villes franches en France. Ces villes ont donc obtenu des droits des seigneurs pour commercer « librement ». A cette époque va également