Les Officiers Royaux

Le mouvement de 1314-1315 Forte réaction nobiliaire face à la politique centralisatrice de PIV. * Campagne de Flandres 1314-1315= malgré la fin de la campagne, les agents royaux continuent de percevoir les taxes= absence de fondement. Les nobles sont soutenus par le clergé et par le commun. * Les barons du nord comme ceux du sud font pression sur le roi pour qu’il se débarrasse de ses mauvais conseillers. * 1314 : le roi demande la fin de la levée des taxes : trop tard. Forte réaction

pouvoirs anciens, on parle de pouvoir absolue à cette époque, l’absolutisme n’est pas un système, il vient du latin absolutus ( délier). I. L’autorité royale : les théories : 1. Définition du pouvoir royale : Depuis Hugues capet, énorme débat politique. Aux 16 ème siècles durant les guerres de religion, car il faut préciser le pouvoir royale, c’est le moment ou les juristes définissent les pouvoirs et devoirs du roi, théorie des deux corps du roi (physique et royauté). A cette époque la 2ème

pour le dire des Parlements (8 expressions) ; « maximes sacrées et immuables » (lignes 54) ; « ma bonté veut bien encore leur rappeler » (lignes 78-79) ; « principes consignés dans cette réponse » (lignes 87-88), voilà pour le dire de l'autorité royale (3 expressions). Reste à examiner la matérialité textuelle de cet autoritarisme, c'est-à-dire de cette manifestation d'autorité, ordonnée en un discours en trois parties assez classique : 1 — un rappel de la situation : lignes 1 à 20 => « trône

Les grandes tendances § 1. La conjoncture § 2. L’agriculture § 3. L’industrie § 4. Les communications § 5. La démographie Section II. Les principales doctrines économiques § 1. Le mercantilisme § 2. La physiocratie TITRE II : LE GOUVERNEMENT ROYAL Chapitre Ier : La monarchie souveraine Section I. La succession au trône et les lois fondamentales § 1. La dévolution de la couronne A. Le principe de masculinité 1. L’exclusion des femmes : 1316 a. Arguments de droit b. Arguments de fait 2. L’exclusion

L’affirmation de l’Etat dans le royaume de France Les XVI et XVII siècles constituent un moment crucial de l’histoire de France. Le lent renforcement de l’autorité royale, entamé dès le XIII siècle, s’accélère à partir de François Ier. La construction d’un appareil administratif, relai de l’autorité royale auprès des Français, assure la naissance d’une unité nationale, et permet au pays de prendre sa place de grande puissance européenne. Mais l’affirmation de l’Etat ne convient pas à tous,

le vestiaire royal. Entre drap de Sedan et fleurs artificielles, les Menus Plaisirs et le vêtement à la cour de France du XVIIIe siècle Pauline Lemaigre-Gaffier Édition électronique URL : https://journals.openedition.org/apparences/1167 DOI : 10.4000/apparences.1167 ISBN : 978-2-8218-1174-4 ISSN : 1954-3778 Éditeur IRHiS-UMR 8529 Ce document vous est offert par Université de Genève / Bibliothèque de Genève Référence électronique Pauline Lemaigre-Gaffier, « Administrer le vestiaire royal. Entre drap

Mais à partir des années 850, cette dynastie s’essouffle et doit faire face à des pouvoirs concurrents. C'est dans cette réalité que va apparaître la dynastie capétienne. Cette royauté va dominer la France jusqu’en 987. Le redressement du pouvoir royal ne débute qu’à partir du XIIIe siècle, à partir du règne du roi reconstructeur, Philippe Auguste. A partir du XIII siècle, les progrès de la monarchie vont être continus jusqu’au XVe siècle parce qu’on a un coup d’arrêt incarné par la Guerre de Cent

La monarchie absolue …. Les limites de l'absolutisme royal Les lois fondamentales:le monarque doit respecter les lois fondamentales du royaume: -la loi salique, le roi ne peut designer librement son successeur, ce doit être son fils aîné (primogéniture masculine) -l'inaliénabilité du royaume, le royaume ne peut être vendu par le monarque -le roi doit être catholique Les parlements:qui sont des cours de justice, ont le droit de présenter des «remontrances», cad des critiques au roi à propos

Sujet : Le pouvoir royal au XVIème siècle Dépositaire de la souveraineté, le prince exerce le plus haut degré de puissance publique, il dispose des attributs de cette souveraineté, ou pour reprendre les termes de Bodin et de Loyseau, de ses « marques » Bodin dégage cinq marques de souveraineté, englobant l’ensemble des prérogatives régaliennes. Loyseau s’inscrit dans la même ligne, usant de formules plus percurtantes. Pour l’un et l’autre, la principale marque de souveraineté consiste dans le

eu un certain succès amenant à une réflexion politique. D’autres sont fidèles à ce régime mixte. La monarchie doit être combinée à des conceptions aristocratiques, des éléments démocratiques, avec des freins à la conception royale. La préoccupation de limiter le pouvoir royal se trouvait même chez les protestants, même chez les catholiques. Autres protestants : un juriste, François Hotman a une vision historique, avec Théodore de Blèze, successeur de Calvin. Il a une conception théologique, roi lieutenant