Les Paradigmes Des Sciences Sociales

La personne et le changement MNG-6042-Module 1 Les paradigmes et moi Travail présenté à Monsieur Jocelyn Benoit Programme de deuxième cycle en développement des organisations Université Laval (Automne 2011) Une organisation est composée, au même titre qu’une société, d’un ensemble d’individus en interaction. Une multitude de visions, de théories et d’hypothèses peuvent donc émerger face à la résolution d’un problème. Dans

contemporain auteur : weber qu’est ce que la sociologie ? rupture de la sociologie avec la philosophie social ==> conserve des passerelles mais la sociologie se distingue par la nécessité d’appuyer sur la théorie sur des recherches empiriques ( statistiques, enquêtes qualitatives) la socio se distance de la philo, Marx a montrer une approche nouvelle, la philo était trop détaché de la réalité social, une nouvelle forme de pensé, faire un lien entre une réalité matériel et la penser. ==> la sociologie

Histoire des sciences Cours de 7 séances. David AUBIN. L’histoire des sciences. L’épistémologie (science de la connaissance) et la philosophie des sciences sont des domaines assez proches. La sociologie des sciences est un autre domaine mais il y a de nombreux ponts entre la sociologie des sciences et l’histoire des sciences. Ce qui est important est d’aborder les sciences sous tous ses aspects. Il faut intégrer les aspects philosophiques et sociologiques. 3 grands objectifs : comprendre les

INTRODUCTION Les chocs que la science a imprimé au sens commun ont fortement influencé la philosophie des sciences, l’obligeant à reformuler des questions classiques, dont l'opposition entre idéalisme et réalisme. Il existe depuis toujours deux visions antinomiques de la connaissance : le réalisme et l’idéalisme. Alors, dans ce dossier, on pose les questions sur l’opposition entre ces deux courants d’idée philosophique. - Quelle est l’opposition entre le réalisme et l’idéalisme depuis toujours

satisfaire (au mieux) leurs besoins Les agents tours les opportunités permettant d’améliorer leur situation : ils sont rationnels => saisir toute les opportunités d’améliorer notre situation Définition 3 : Lionel Robbins (1898-1984) « L’économie est la science qui étudie le comportement humain en tant que relation entre des fins et des moyens rares à usages alternatifs » En effet, le coût d’une chose est ce à quoi on renonce pour obtenir qqch, cad la valeur des alternatives sacrifiées… C’est le coût d’opportunité

1. Présentation Il est né en 1947. Il sera professeur de science politique, mais il va s'intéresser dans une premier temps à la théologie puis à la sociologie et à l'anthropologie. Il va faire son service militaire. Il va se retrouver en Afrique où il va faire un terrain d'enquête. Puis, il continuera sa recherche dans un labo aux USA, il va s'intéresser à l'élaboration technique, etc. Il va bcp travailler sur les questions de sciences. De retour en France, il va s'intéresser aux techniques avec

Le paradigme de complexité rédigé par Edgar Morin est un chapitre extrait d’un livre intitulé « introduction à la pensée complexe », Paris, Edition de seuil, 2005.Ce texte présente la question de la complexité qui est parfois présente dans la vie quotidienne. Alors qu’au début du XX siècle la science délimite l’individuel du singulier, le roman présente les êtres singuliers dans leur contexte et dans leur temps. C’est ainsi que la vie quotidienne présente les rôles sociaux des individus tout en

est un fervent admirateur de Galilée. En effet depuis toujours, Campanella cherche à promouvoir une sorte de remise à jour de la philosophie catholique, c’est à dire un mariage entre théologie, philosophie platonicienne et science contemporaine. Il est conscient que la science à la manière d’Aristote a fait son temps, et qu’il faut partir vers d’autres horizons scientifiques. Depuis 1608, il est en correspondance avec Galilée. Lorsque, en 1616, les enquêtes de l’Inquisition commencent contre Galilée

: Le terme de déterministe a été introduit dans la première moitié du XIXe siècle, mais le concept s’élabore tout au long de la période classique. C’est le physicien Pierre-Simon de Laplace (1749-1827) qui en donne une formulation dans les sciences de la nature : « Nous devons envisager que l’état présent de l’univers comme l’effet de son état antérieur et la cause de celui qui va suivre. Une intelligence qui […] connaîtrait toujours les forces dont la nature est animée et la situation respective

PREAMBULE : PEUT-ON THÉORISER SUR LES ORGANISATIONS ? En science, dans une discipline donnée, les théories sont soumises à la recherche empirique qui, soit les confirme – les théories rejoignent alors le savoir codifié qui fonde la discipline -, soit les rejette, jusqu’à ce qu’elles trouvent d’autres formulations. Se construit ainsi un « PARADIGME DOMINANT »(1), qui pourra se voir remplacé au fur et à mesure de l’avancée de la science par une nouvelle théorie. Le problème de la connaissance