Les Pensées De Pascal Métaphore

dessine en filigrane le modèle du souverain idéal. 2) Esquisse d'un idéal monarchique a) Condamnation de l'orgueil (« la fausse gloire ») qui détourne de la vertu Contextualiser cette idée : le classicisme au XVIIe condamne l'amour-propre Cf. Pascal « Le moi est haïssable » Cf. La Rochefoucauld « L'amour excessif de soi conduit presque toujours au mépris des autres » Nécessité pour un roi d’être modeste Cf. Double exclamation de Télémaque « Ȏ insensé celui qui cherche à régner ! Heureux celui

celles-ci la même rigueur et, par suite, le même degré de certitude. C'est pourquoi Spinoza dans l'Ethique, ou Descartes dans les Réponses aux Secondes Objections, procèdent more geometrico, «à la manière des géomètres ». Pourtant la cohérence de la pensée avec ses propres principes n'est pas le seul critère de la vérité d'une proposition. Encore faut-il partir de prémisses en accord avec la réalité, c'est à dire vraies matériellement, pour que la conclusion soit également en accord avec la réalité

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 47 Le Problème du mal au regard de la foi et de la raison Antoine Cavalié . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 50 La folie en Dieu de la petite Thérèse Pascale Ratovonony . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 57 Chercher Dieu en Vérité 63 « Quaerere Deum » David Perrin . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 63 Le Langage de la parabole

LA FORCE DU DROIT En tant qu’idéal moral, le droit est une métaphore géométrique : droit s’oppose à courbe, et cette notion de droit n’est soumise à aucune relativité. Autrement dit, ce qui est droit ou juste c’est ce qui se base sur une loi universelle dotée de la nécessité rationnelle. En ce sens, cette forme de droit rejoint l’idée du droit naturel, pleinement légitime et qui se distingue du droit positif, simplement caractérisé par la légalité. Ainsi, c’est au nom du droit naturel qu’Antigone

Les strophes sont des sizains. Ils comportent des alexandrins et des octosyllabes. Les alexandrins sont toujours situés au même endroit : au 5ème vers. Dans le baroque, on retrouve une certaine symétrie dans l’irrégularité des vers. Il y a des métaphores, et plus particulièrement une personnification du ruisseau, grâce à la majuscule et à l’apostrophe : le ruisseau a son propre mouvement. « ruisseau qui court après toi-même » = thème de la fuite, du temps qui passe Jeu sur la rime « à la mer,

l’estime pour lui, ne le méprise pas. Il continue à vanter ses mérites : « lorsqu’il devina par la force de son esprit, plus de cinquante propositions d’Euclide », il montre le gout que notre héros à pour les sciences, il le dit même meilleur que Blaise Pascal, qu’il qualifie sans le cacher et avec ironie d’ « un géomètre assez médiocre et un fort mauvais métaphysicien ». Micromégas est donc d’une intelligence exceptionnelle si l’on en croit Voltaire. Mais il a encore fait bien des choses : « il disséqua

ème Le 16 siècle La renaissance : redécouverte de l’art antique, avec une nouvelle architecture, un pouvoir de réflexion, du pacifisme et on pense qu’il faut un monarque éclairé. On a un mouvement, l’encyclopédisme, qui est basé sur l’envie de tout savoir. On recherche la tolérance et la justice. L’humanisme : mouvement intellectuel qui consiste d’abord à traduire les textes antiques et religieux. • culture linguistique avec le grec, le latin et l’hébreu • Lefèvre d’ Etaples traduit la bible en français

 FILLE,  11  février     Ê Plainte  à  cause  de  la  lettre  manquante.  Eloge  du  style  de  MdG.  Douleur  de  la  séparation.   Ê (le  soir)  Arrivée  de  la  lettre  =  rire.  Ne  pense  qu’à  elle.  Mention  de  sa  petite-­‐fille,  Marie-­‐Blanche.     14.  SA  FILLE,  12-­‐13  février     Ê Exceptionnellement  un  jeudi  car  «  lettre-­‐journal  »  =  annonce  de  la  mort

des phrases souligne ce bonheur : rythme binaire l.10 (« l’eau et le soleil », « les pierres chaudes et la mer ») qui renforce l’effet d’équilibre et d’harmonie, puis rythme ternaire l.13-14 qui donne de l’ampleur et de l’emphase, renforcé par la métaphore finale qui personnifie une terre accueillante pour les vivants ; à cela s’ajoute la mention de « l’ombre infernale », qui oppose négativement le monde des morts aux « joies » de la vie sur terre, ainsi mises en valeur. On peut évoquer des scènes

INTERROGATION DE PHILOSOPHIE ÉPREUVE COMMUNE : ORAL Jean-Pascal Anfray, Dimitri El-Murr, Frédéric Fruteau de Laclos, Laurent Jaffro, Max Marcuzzi, Gabrielle Radica Coefficient de l’épreuve : 2. Durée de préparation : 1 heure. Durée de passage devant le jury : 30 minutes, dont 20 minutes au plus d’exposé et 10 minutes de questions. Types de sujets proposés : Question, une ou plusieurs notions. Modalités de tirage du sujet : Tirage au sort d’un ticket comportant deux sujets au choix que le candidat