Les Pensées Fragment 41 Imagination

Methuen, 2001 Sources secondaires Oeuvres sur Sarah Kane Saunders, Graham. Love me or Kill me: Sarah Kane and the Theatre of Extremes. Manchester: University Press, 2002 Articles sur Sarah Kane Quotidiens Churchill, Caryl. « A Bold Imagination for Action ». Guardian 25 janvier 1995 Hattenstone, Simon. « A Sad Hurrah ». Guardian Weekend 1 Juillet 2000 Miller, Jonathan. « You Pays your Money and they Eats their Eyes ». Sunday Times 22 janvier 1995 Salino, Brigitte. « Isabelle Huppert

d’un culte baudelairien et idéaliste et par l’utilisation du vers libre, l’imitation du réel est bannie pour laisser place à l’évocation d’un monde supérieur, accessible par le langage. Dans Hérodiade, drame lyrique finalement resté à l’état de fragments, Mallarmé tente d’atteindre cet Absolu. Sous la forme d’une pièce de théâtre poétique il retrace l’histoire d’Hérodiade, princesse juive née dans les deux premières décennies avant notre ère. Dans cette scène, un dialogue en alexandrins se déroule

1 Lire les Pensées de Pascal Le statut d’une œuvre Question qui nous guidera : en quoi les Pensées constituent-elles une œuvre littéraire ? Remarques préliminaires : Le projet est peut-être né pendant l’année 1656, lorsque la guérison miraculeuse de la nièce de Pascal, grâce à la Sainte-Epine, l’amena à réfléchir sur la nature des miracles. D’autres passages des Pensées, nettement adressés à un public de libertins, sont peutêtre inspirés par les relations que Pascal entretenait avec certains

mieux compris de l’intérieur l’esprit germanique le plus subtil et le 1. « Ce qu’on aime, on le trouve partout et l’on voit partout des ressemblances », Novalis, Foi et Amour, Préface, 4, in Semences, traduit de l’allemand, annoté et précédé de Fragments et totalité, par Olivier Schefer, Paris, Allia, 2004, p. 97. 2. Charles-Augustin de Sainte-Beuve : « Lettre à M. William Reymond sur le caractère de l’École romantique française » [datée du 2 novembre 1863] in Nouveaux lundis, t. IV, Paris, Michel

et surtout par EMPÉDOCLE (vers 490-435 av JC) pour la philia (amitié). Ce faisant, ils remodelaient des schèmes mythiques en cristallisant en quelque sorte sur ces schèmes des notions universelles... "... l'essentiel est sans doute là : ce qui est pensé à travers éros et philotès (amitié), c'est une force d'union et d'harmonie, qui donne sa consistance et sa tenue au monde. L'amour rassemble ce qui est épars, disjoint et l'unifie, il donne forme à ce qui est en manque, et de surcroit il transmet sa

directement responsable (texte 2, d’Alain). Il faut donc se demander pourquoi l’imagination fait l’objet d’interprétations à ce point antithétiques. Il apparaît que cette contradiction procède de la nature ambiguë de cette faculté. Le terme « imagination » vient du latin « imago », de « imitari », imiter. Suivant cette étymologie, comme pour le sens commun, l’imagination serait donc la faculté « d’imiter par des images ». Cependant cette approche suscite deux objections majeures. Tout d’abord, le

auteur-narrateur-personnage. Je pense qu’être objectif en relatant les souvenirs de sa propre vie n’exige pas forcément décentralisation du personnage en dehors de triangle mais de gérer tout comme une unité dont les éléments sont intrinsèques et complémentaires. L’objectivité et la subjectivité de raconter les événements authentiquement sont là en tant que la réalité et l’imagination sont là aussi. Raconter sa vie est une réalité mais s’en rappeler les fragments de l’enfance est une imagination. Etre un homme

semence : ainsi en est-il des esprits. Si on ne les occupe à certain sujet, qui les bride et 1 contraigne, ils se jettent dereiglez, par-cy par-là, dans le vague champ des imaginations »** « [b] J’aymes ces mots, qui amollissent et moderent la temerité de nos propositions : A l’avanture, Aucunement, Quelque, On dict, Je pense, et semblables. Et si j’eusse eu à dresser des enfans, je leur eusse tant mis en la bouche cette façon de respondre, [c] enquesteuse, non resolutive : [b] « Qu’est ce à dire

trois parties : imagination (frontale) ; entendement (centrale) ; mémoire (derrière la tête). Il réfléchit sur l’importance de ces trois fonctions mentales > pas assez d’équilibre chez les humanistes. Humanistes : citation 4 : empêche de bien comprendre le monde dans lequel ils vivent. Attaque contre les humanistes = centrale. Montaigne : pas catalogable, ni philosophe ni humaniste. Homme savant mais rapport complexe aux humanistes > savoir qui doit permettre l’action bien pensée. Faculté de jugement

La nouvelle Jerusalem entre imagination et imaginaire : Ricoeur avec Lacan ?LA NOUVELLE JÉRUSALEM ENTRE IMAGINATION ET IMAGINAIRE : RICŒUR AVEC LACAN ? Guilhen Antier Institut protestant de théologie | « Études théologiques et religieuses » 2017/2 Tome 92 | pages 461 à 475 ISSN 0014-2239 DOI 10.3917/etr.0922.0461 Article disponible en ligne à l'adresse : -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- https://www.cairn.info/revue-etudes-theologiques-et-