Les Personnages Dans Iphigénie

champ/contrechamp Exercice à partir du générique : repérer les changements de plan et compter les plans par taille  pour chaque personnage. Résultats de l’observation : Beaucoup de très gros plans, parties du corps tronquées. Jeux de symétrie. L’alternance des plans en parallèle se termine sur un faux champ/contrechamp : doubles et rivaux, les deux personnages se trouvent alternativement face à la caméra, qu’ils fixent comme leur reflet dans le miroir, comme leur adversaire avant le combat

scènes: Les actes sont à leur tour divisés en scènes. Il y a changement de scène chaque fois qu'entre ou sort un personnage. Leur nombre est variable et renseigne sur le rythme de l'action. Si les scènes sont nombreuses, c'est que les mouvements des personnages sont fréquents et leurs apparitions assez courtes. Si, au contraire, elles sont peu nombreuses, les mouvements des personnages sont lents. Mais elles doivent aussi être liées entre elles, sans quoi la pièce serait incompréhensible. Pour

9 tragédies profanes : la thébaïde ou les frères ennemis ( 20 juin 1664 ) ;Alexandre le Grand (4 décembre 1665 ) ; Andromaque( 17 novembre 1667) ; Britannicus (13 décembre 1669 ) ; Bérénice (novembre 1670 ) ; Bajazet (1672) ; Mithridate (1673) ; Iphigénie (août 1674) ; Phèdre (1er janvier 1677). * 2 tragédies sacrées : Esther en 1689 ; Athalie en 1691. Des poèmes latins et français, des traductions, ainsi que des ouvrages polémiques et historiques. Phèdre au temps du roi soleil : En

l'œuvre. Sartre critique la tyrannie et le fait qu'elle prive le peuple de libertés, tout en mettant en évidence le rôle du peuple lui-même qui contribue à cette dépossession. C'est parce que la liberté a un coût : c'est elle qui fait d'Oreste un personnage totalement isolé, abandonné tour à tour par son précepteur, par Jupiter, par sa sœur et par son peuple. Mais Oreste est libéré et peut se gouverner lui-même. Il n'a plus de dieux au-dessus de sa tête. Sartre invite ici le lecteur à l'introspection

L’important succès d’Andromaque assure sa réputation, après une unique comédie : Les plaideurs, en 1668, Racine revient définitivement à la Tragédie et donne successivement Britannicus (1969), Bérénice (1970), Bajazet (1972), Mithridate (1973), Iphigénie (1974) et pour terminer Phèdre en 1677. Racine renonce au théâtre après de nombreuses critiques. Membre de L’Académie Française depuis 1673, Racine est anobli en 1690. Il est également trésorier de France ce qui lui assure un revenu. Il épouse

sont le tragique et le pathétique. La gravité et la tension n'empêchent pas l'ironie tragique. Racine : (1639-1699) est un grand dramaturge et histographe du XVIIe siècle. Il rencontre un grand succès avec Andromaque (1667), Bérénice (1670) et Iphigénie (1674). Présentation de l’extrait : Phèdre est une tragédie en V actes, en Alexandrins. Phèdre inspire la crainte et la pitié. Racine n’a pas inventé le sujet c’est une référence mythologique (Phèdre est la sœur d’Ariane et Catrée, et la fille de

Mithridate en 1673 et Iphigénie en 1674. Il est reçu à l'Académie française en 1673. En 1677, alors qu'il n'a que 37 ans, Jean Racine rompt avec le monde théâtral et devient avec Boileau, un historiographe du roi Louis XIV. Après plus de 10 ans d'absence, et sur la demande de Madame de Maintenon, il revient avec des tragédies bibliques : Esther en 1689 et Athalie en 1691. Jean Racine meurt à Paris le 21 avril 1699. III. Résumé de l’intrigue : IV. Analyse du personnage titre : • Britannicus

doit rien représenter de choquant pour le spectateur sur scène : pas de mort, pas de scène intime, pas de langage vulgaire, pas de blasphème (insulte envers la religion). Les batailles et les morts se déroulent hors scène et sont racontées par un personnage après coup. Règle de vraisemblance : On ne représente sur scène que des éléments crédibles. Le spectateur doit croire ce qu’il voit, afin de pouvoir en tirer une leçon. La mort d’Hippolyte : Théramène fait le récit de la mort d’Hippolyte à Thésée

une vie libertine et un enseignement janséniste à Port-Royal. Son premier grand succès est Andromaque (1667), suivi d’une comédie Les Plaideurs. Viennent ensuite les multiples tragédies classiques qui feront sa renommée : Britannicus, Bérénice, Iphigénie, Phèdre, Esther et Atalie.( Notez que la plupart des sujets traités concernent l’Antiquité grecque ou romaine, à laquelle vous devez vous référer pour comprendre les thèmes des pièces...) Racine aime les actions simples (cf règle des trois unités)

I. La troisième différence consiste dans la manière d'imiter chacun de ces êtres. En effet, il est possible d'imiter le même objet, dans les mêmes circonstances, tantôt sous forme de récit et en produisant quelque autre personnage, comme le fait Homère, ou bien le personnage restant le même, sans qu'on le fasse changer, ou encore de telle façon que les sujets d'imitation soient présentés agissant et accomplissant tout par eux-mêmes. L'imitation comporte donc les trois différences que voici, comme