Les Personnages Dans Les Fourberies De Scapin

quiproquos, comique de répétition, déguisements) → effets de mise en scène Ce qui le prouve en premier lieu, ce sont  tout d’abord les différents comiques de gestes, de paroles, et les quiproquos présents dans les comédies. Ex : Les Fourberies de Scapin, l’utilisation d’un bâton pour frapper quelqu’un relève du comique de gestes, de la farce grossière qui faisait sourire à l’époque des spectateurs peu cultivés. Ex : Le quiproquo provoque lui aussi le rire dans L’Ecole des femmes, avec Horace

piéce ou un personnage de figaroréputés pour leur drolerie. Mais la comédie se reduit-elle a un seul aspect. Nous verrons que si la comédie s'emploie pas susciter le rire , elle vise aussi d'autres buts. En effet, la comédie joue sur different procédés , le comique de situation ( qui est bassé sur un quiproquo), comique de geste , de mots, et de caractére. La volonté d'amuser est alors particulierement traduite dans les geste et le langage employés. Les coups de bâton données par scapin à son maitre

Les Fourberies de Scapin est une pièce de théâtre en 3 actes écrite par Molière, un auteur dramatique français du XVII ème siècle. Elle a été en partie inspirée de la Comédia del arte. Acte I La scène se passe à Naples, dans la scène I, Octave récapitule les informations que lui a données Silvestre : son père rentre dans la résolution de le marier avec une fille de Géronte et Octave se lamente. Dans la deuxième scène, Scapin arrive et Octave apprend le retour et les projets de son père. Scapin

Les Fourberies de Scapin, III, 2 Dans cette comédie, représentée en 1671, Molière s’inspire de l’intrigue de nombreuses comédies antiques. Deux jeunes gens amoureux, Octave et Léandre, que leurs pères, Argante et Géronte, veulent marier contre leur gré, vont être aidés par le valet Scapin. Ce personnage emprunte beaucoup de ses traits aux valets des comédies antiques, mais aussi au « zanni » de la commédia dell’arte qui veut régler ses comptes avec son maître. Ainsi dans cette scène, Scapin a fait

Comparaison personnages d’ « Andromaque », de Racine, et de « Les fourberies de Scapin », de Molière. - La séduction dans « Don Juan » de Molière en opposition avec l’amour dans « Horace » de Corneille. 3. Une visée opposée : Entre le rire et les pleurs (farces, vaudeville, commedia dell’arte…) II / De la tragédie à la comédie, il n’y a qu’un changement de registre 1. La tragédie et la comédie répondent tous deux de la catharsis, « castigat ridendo mores » : - Le personnage hypocrite de

d’expositions qui a pour fonction d’informer et de retenir le lecteur. Le corpus présenté met donc en perspective un extrait de la pièce de Racine, à savoir la confidence du chagrin d’Agrippine à Albine. Un passage de la comédie de Molière, Les Fourberies de Scapin, qui met en scène le conflit entre un jeune homme et son père au sujet d’un mariage ; enfin, un troisième texte théâtral, extrait de la comédie de Molière ; Les femmes Savantes : il s’agit là encore de la mise en scène d’un mariage dont deux

dramatique, complication qui se traduit dans la position occupée par les personnages, dans leurs propos ou dans leurs relations. Cette complication donne au public un rôle privilégié. Le double jeu Britannicus de Racine, les extraits des Fourberies de Scapin de Molière et On ne badine pas avec l’amour de Musset offrent au spectateur des situations théâtrales complexes. En effet, dans chacune de ces scènes, l’un des personnages joue un double jeu, c’est-à-dire qu’il a une identité différente ou

Acte I. Scène 2 : Octave raconte à Scapin qu'en l'absence de son père, il s'est marié à Hyacinte, et que son ami Léandre, fils de Géronte, est tombé amoureux d'une jeune Egyptienne. Acte II. Scène 3 : Léandre insistant pour qu'il avoue son crime, Scapin avoue trois crimes, mais se déclare innocent de celui dont on l'accuse. Les techniques du comique Les accessoires utilisé pour faire rire sont simples : une bourse, un sac, un bâton. 1. Le comique de situation : Le « tour du sac »

l’aide de situations triviales de la vie de tout les jours (notamment). Au XVIIème siècle (époque de Molière),la farce fait son apparition et met en scène des valets intelligents avec des maîtres cupides comme par exemple « les fourberies de Scapin » de Molière ou le valet –Scapin- utilise une ruse afin de pouvoir donner des coups de bâtons à son maître, Léandre. Apparait ensuite, au XIXème siècle les « Vaudevilles » (comédies sans intention morales ou psychologiques) avec des auteurs comme Courteline

réagit contre cette mode où domine le faux, l’ampoulé, l’affecté le burlesque, le fade . En effet, grand admiratif des Anciens, il déteste le burlesque poussé à l’exagération. C’est d’ailleurs ce qu’il reproche à Molière lorsqu’il se réfère aux Fourberies de Scapin, écrites trois ans plus tôt (1671). IV. Le Chant III Ce poème est composé de huitante quatre couplets de cinq alexandrins chacun. L’auteur n’utilise absolument que des rimes plates, ce qui accentue cet effet de régularité, de métronome