Les Personnages De Lorenzo Et Du Duc

Le personnage de Lorenzaccio nous a principalement été présenté au cours de la scène 4 de ce même acte comme inoffensif et même lâche pour certains (le duc y compris) mais aussi comme étant une menace à craindre réellement pour le règne et pour le duc lui même selon le Cardinal. Dans cette scène, la présentation de Lorenzo est finalisée; par une discussion entre Catherine, sa tante et Marie, sa mère. Ainsi, nous verrons comment et pourquoi pouvons nous dire que Lorenzaccio est un personnage double

Lorenzaccio, Musset nous présente de nombreux types de personnages, étant chacun représentatif d’un type social et moral. Parmi ceux-ci, nous oconstatons que les personnages féminins sont très présents et détiennent une place particulière dans l’intrigue, plus que de simples figurantes, elles font donc ainsi évoluer la pièce et lui donnent une nouvelle dimension. Ainsi, nous sommes menés à nous interroger : Quels rôles tiennent les personnages féminins dans Lorenzaccio ? Pour répondre à cette problématique

Aroulnadane Tess TL Réécriture de Krejca Otomar Krejca a mis en scène Lorenzaccio de Musset en 1979. Pour jouer Lorenzo il a choisi Philippe Caubère, celui-ci a fait une interview où il évoque cette expérience. Ainsi, nous nous demanderons suite à cet entretien si cette nouvelle mise en scène est plutôt un représentation, un re-création ou une « trahison ». Premièrement, nous allons aborder l'aspect de représentation. En effet, Krejca a respecté plusieurs choses que Musset avait mis

Scène 11 : La chambre de Lorenzo. Entrent LE DUC et LORENO. LE DUC. Je suis transi, – il fait vraiment froid. (Il ôte son épée.) Eh bien, mignon, qu’est-ce que tu fais donc ? LORENZO. Je roule votre baudrier autour de votre épée, et je la mets sous votre chevet. Il est bon d’avoir toujours une arme sous la main. (Il entortille le baudrier de manière à empêcher l’épée de sortir du fourreau.) LE DUC. Tu sais que je n’aime pas les bavardes, et il m’est revenu que la Catherine était une belle parleuse

III. Lorenzo, un héros romantique et un double de Musset * Le personnage de Lorenzo respecte certaines caractéristiques du héros de la tragédie classique. Il a un destin, celui de tuer le Duc. Quelque effort qu'il fasse il sait qu'il est condamné à provoquer la mort d'Alexandre. Malgré cela c'est un destin qu'il s'est lui-même imposé

scène est souvent éliminée. A votre avis, est-elle utile ou inutile ? » Complexe à mettre en scène par de nombreux aspects, la pièce de Musset, Lorenzaccio, est longtemps restée dans les tiroirs avant d’être enfin adaptée au théâtre. Ses personnages multiples, ses nombreux lieux et sa longueur inhabituelle sont, entre-autre, trois des principaux facteurs qui rendent cette pièce particulièrement difficile à jouer. C’est ainsi que pour ces précédentes raisons, les metteurs en scène ayant fait

ans cette première scène, Musset nous décrit la ville de Florence comme une ville décadente dans laquelle Lorenzo espère assassiner Alexandre de Médicis en jouant la carte de la débauche. LECTURE METHODIQUE PAR AXES : I. L’action II. Le personnage de Lorenzaccio I. L’action. · Florence: une ville de décadence: C’est le monde de la prostitution. La femme importe peu ("elle" l.1,4,6) pourvu que l'homme ait du plaisir. Peu importe le vin pourvu que l’on ait l’ivresse... C'est également

du pape, a placé le duc Alexandre de Médicis au pouvoir, issu d'une des vieilles familles de la cité. Le duc est jeune et mène une vie débauche. Il règne sur la ville par la terreur, ne tenant compte ni du peuple, ni des autres grandes familles de Florence. On le déteste, mais pas autant que son cousin, son âme damnée : Lorenzo de Médicis, méchamment surnommé Lorenzaccio. ACTE 1 : Scène 1 : Florence est en plein carnaval. La scène se passe dans un jardin où le duc Alexandre de Médicis

Ces deux extraits de pièce de théâtre rendent compte d'un fait historique. La mort du duc de Florence. Les deux scènes cherchent à reproduire une réalité plus ou moins proche. Musset et Georges Sand s'attachent à évoquer ce fait historique avec précision. Cependant la version de Georges Sand du meurtre nous semble plus précise et donc plus réaliste tandis que la version de Musset nous semble plutôt résumé. En effet, chez Sand, on retrouve un côté plutôt naturaliste. Les didascalies sont beaucoup

ressemble comme un frère. A travers lui, Musset exprime sa vision du monde. Comme son personnage, Musset est conscient de l'inutilité de l'action qui, par ailleurs, ne peut que conduire à la compromission et ternir l'idéal : Philippe, le penseur, a les "mains pures" parce qu'il n'agit pas, tandis que Lorenzo a goûté à cette "vilaine cuisine" de l'engagement.( III, 3 ). Cette identification de Musset à son personnage influe sur le style qu'il lui prête : en effet, alors que l'écriture théâtrale est