Les Petits Mouchoirs

Sur le vide papier que la blancheur défend Et ni la jeune femme allaitant son enfant. Je partirai ! Steamer balançant ta mâture, Lève l’ancre pour une exotique nature ! Un Ennui, désolé par les cruels espoirs, Croit encore à l’adieu suprême des mouchoirs ! Et, peut-être, les mâts, invitant les orages, Sont-ils de ceux qu’un vent penche sur les naufrages Perdus, sans mâts, sans mâts, ni fertiles îlots … Mais, ô mon coeur, entends le chant des matelots ! Stéphane Mallarmé, Vers et Prose, 1893 Une

soigneusement le mouchoir et le met délicatement dans la poche » (p.14). En clair, ces didascalies précisant les gestes constituent globalement de petits mimodrames – des mimes à valeur dramatique – qui ouvrent, développent, et ferment la pièce. D'ailleurs, au début de la pièce, on voit sous nos yeux Nagg et Nell qui « avancent péniblement l'un vers l'autre, n'arrivent pas à se toucher, s'écartent » (p. 27). Puis ce sont les allées et venues de Clov qui rythment la pièce et la découpent en petites séquences

lecteur les sensations d’Emma : à la l. 33, le verbe « aperçut » indique ce que le personnage voit ; à la l. 25, l’expression « elle entendait une conversation… » marque ce qu’elle entend ; à la ligne 13, l’adjectif « suave » qualifie l’odeur des mouchoirs ; à la l. 46, le goût est évoqué par le verbe « mangeait », et à la ligne 47, c’est le toucher qui nous est présenté par le verbe « tenait ». On constate que tous les sens sont représentés dans cet extrait. C’est qu’Emma est entrée pour la première

Le chapitre commence avec le fait que le camp attend la cérémonie du changement de linge depuis 70 jours, celle-ci tardant à arriver, ce qui pouvait représenter un symbole et un espoir pour les prisonniers car cela signifiait que leur libération était proche, ou bien, que la liquidation du camp était proche. Cependant, il ne s'agissait que de rumeurs puisque la cérémonie du changement de linge est finalement arrivé mais à l'improviste et dans toutes les baraques en même temps. C'est ici que nous

l’entrée, en face du coin vente, à coté de la vitrine. Espace lumineux, couleurs mères : beige-rose pastel, vert et brun. 2 chaises en osier avec coussin rose, un tableau bambou au dessus. Sur 1 table basse à gauche (avec poster d’angle au dessus) une petite fontaine, plante verte, prospectus et un poster de bambou et verdure qui cache l’angle. A droite une grosse lampe en bois design, 1 meuble avec les nouveautés et coffrets. L’accueil-caisse est au début du couloir, après l’espace vente, sous forme

de sa tête.) Mesdames, Messieurs, l’arme du crime. Regardez ce que j’en fais. (Il le jette devant l’avant-scène, juste aux pieds d’Eléna.) À la plus belle. Cet oreiller, c’est mon cœur ; mon cœur de lâche tout blanc : pour qu’elle pose dessus ses petits pieds. (À Anna.) Va chercher Cassio, ton amant : il pourra désormais te cajoler sous mes yeux1. (Se frappant la poitrine.) Cet homme n’est pas dangereux. C’est à tort qu’on prenait Othello pour un grand cocu royal. Je suis un co… co… un… co… co…mique

indiqués. -les choses (tableau, poubelles, escabeau, draps, mouchoir, voiture à roulettes), les personnages (deux pour l’instant); - on doit même compter les pas de Clov (6 pas+ 3+ un pas + le cube de la cuisine p14). Dimension maniaque bien connue chez SB (que certains croient devoir interpréter de façon ésotérique). La qualification tient aussi une place intéressante et c’est elle qui attire l’attention: grisâtre, petites fenêtres, vieux (draps), très rouge, raide et vacillante etc

d’affamer s’il ne lui obéit pas. Le temps est lent à s’égrener, Hamm tyrannise Clov, l’insulte, semble se réjouir à l’énoncé des misères physiques de Clov. Décor La longue didascalie initiale plante un décor immédiatement parlant ! Deux « petites » fenêtres (symétriques, à gauche et à droite), rideaux : difficiles d’accéder au paysage extérieur, d’où l’emploi de l’escabeau et de la lunette Tableau (retourné au début de la pièce) : aucune ouverture sur quoi que ce soit, pas de perspective

et Nell (les parents) vivent sur leurs moignons, ne peuvent ni s’embrasser, ni se gratter, ni manger facilement (cf. dent perdue) ; ils se voient mal et ils s’entendent mal. - Hamm est paralysé, aveugle ainsi que d’autres maux sans doute (le mouchoir tâché de sang, le fait de saigner) ; il a besoin de calmants et de remontants. - Clov est le seul valide qui peut encore « marcher » mais il ne peut pas s’asseoir, ses yeux vont mal et il a des visions. - Ce corps qui va mal rend la réflexion

heures ayant subi une anésthesie génerale agé de 87 ans fumeur et très encombré.nos actions vont etre de le mettre en position demi assise dans son lit pour permettre de ne pas etre trop encombre ,mettre un crachoir jetable ainsi qu'une boite de mouchoir a disposition .on pourra egalement verifier les extremites de doigts et des levres pour vrifier si le patient n'est pas syanoser.transmission ecrite et orales.enfinje collabore avec l'infirmiere pour l'oxygenatherapie et laerosoltherapie je suis