Les Plaisirs et les Jours

soit pour se nourrir, s'habiller, pratiquer un loisir,… L'argent est partout. Mais suffit-il au bonheur, apporte-il du plaisir? Si l'argent faisait le bonheur, alors les personnes possédant un minimum d'argent pourrait, juste par le fait de posséder ce bien matériel, connaitre ce bonheur tant recherché, au détriment des pauvres qui ne pourraient que connaitre certains moments de plaisir tout au plus. Ce qui nous amène à la question suivante: si la présence d'argent ne fait pas le bonheur, est-ce que

ELOGE GOURMANDISE N’en déplaise à la croyance populaire, non, la gourmandise n’est ni un pêché, ni un vilain défaut mais elle est synonyme de bien-être, de plaisir et de partage. Comme l’a dit Guy de Maupassant, « De toutes les passions, la seule vraiment respectable me paraît être la gourmandise ». La gourmandise est salutaire. « La gourmandise est ennemie des excès » (Brillat Savarin). On se nourrit pour vivre et la recherche de mets savoureux constitue le meilleur rempart contre la dérive de l’alimentation

Lecture-plaisir A la fin de cette séquence, je me suis demandé : pour moi, qu'est-ce que la « lecture-plaisir » ? Après réflexion, je pense qu'elle s'exprime de plusieurs façons chez moi : Tout d'abord, ce peut être le plaisir de lire comme tout le monde. Par exemple, l'an dernier la foudre de Twilight s'est abattue sur moi. Toute mes amies lisaient cette quadrologie, je me suis donc sentie obligée de les lire sous peine de ne rien comprendre à leurs discussions. Donc, finalement, j'ai

hasard, qu’en contact de souris dans une cage, de nombreux rats tuaient les souris dites « intruses ». Cependant, quand l’animal tue, c’est nécessairement pour se nourrir et donc survivre, mais rares sont les espèces qui tuent uniquement pour le plaisir. Aussi, dans la nature, il arrive que des animaux de même espèce combattent pour de la nourriture, pour une femelle ou pour simplement s’affirmer. Mais ces combats n’aboutissent jamais à la mort. Toutefois, les rats tueurs n’avaient pas faim et

Thème 2 : la froideur (pleurs, mal inconnu, dangereuse, l’hiver, glace, neige, blanc, tiède) 1- Métaphore : Dans la deuxième strophe, Baudelaire établi une liaison entre la femme et la nature. « tu rappelles ces jours blancs, tièdes et voilés ». On peut constater que l’auteur veut créer une sensation d’atténuent. Par exemple un jour blanc n’est jamais amusant car, le blanc représente le vide. Le mot tiède montre qu’il ne se sent pas confortable, ne se sent pas bien. Pour finir Baudelaire utilise

pas réellement, comme un idée qui n'a d'existence que dans notre esprit, qui est conçu par l'esprit et qui existe seulement en tant que conception de la pensée et non dans le réel. Le bonheur lui est un état de complète satisfaction, un joie, un plaisir lié à une circonstance. La négation présente dans le sujet donne, quant à elle, un idée d'exception selon laquelle le bonheur ne pourrait avoir qu'un unique sens : celui d'un idéal. Le bonheur ne serait alors donc qu'une pensée imaginaire inaccessible

de rêveries, son attrait envers le lieu tant convoité est évoqué: « Elle souhaitait à la fois mourir et habiter à Paris. » (l.73) On constate, à l’aide de ses pensées, qu’elle souhaite ardemment, un jour, habiter à Paris et y passer le reste de ses jours. Par ailleurs, dans le poème « Moesta et errabunda », le personnage évoque un ailleurs où la nature règne. Tout au long de son dialogue, il emploie des termes qui font référence à la nature tels que « paradis parfumé » (v.16 et 20), « sous un clair

dépendants à l'alcool ou à des drogues,... sont plus susceptibles de développer une dépression. |La dépression est difficile à reconnaître, car elle peut se confondre avec une déprime passagère, cette dernière dure en général | |quelques jours seulement. | |Une dépression s'inscrit souvent dans la durée (plusieurs semaines) et est en général associée à de l'anxiété. De plus le sommeil est

avec « L’Hiver » de Theodore de Banville. Nous avons choisi cet ordre car il suit le cycle saisonnier de la réalité : printemps, été, automne, hiver… Nous conclurons avec un sonnet du XVIème siècle, écrit par Pierre de Ronsard : « Je mourrais de plaisir », car comme le premier poème il rassemble nature et amour. Chaque texte sera suivi d’une courte biographie sur l’auteur, et d’une analyse. Nous avons choisi ces 10 poèmes, car tous traitent des saisons, mais nous y trouvons des oppositions. Nous

l’utilitarisme. Celui-ci a comme principe que l’être humain cherche, à travers toutes actions, à obtenir le maximum de plaisir (bien) et le minimum de douleur (mal).  Posons d’abord cette définition à la situation de l’euthanasie active volontaire et par la suite, faisons le calcul utilitariste du bonheur. Dans l’acte qu’est l’euthanasie active volontaire, l’individu décide de mettre fin à ses jours. Cette même personne qui peut avoir recours à l’euthanasie doit être atteinte d’une maladie incurable qui lui