Les Poetes Surrealistes

HISTOIRE DES ARTS : La métamorphose de narcisse. Je vais vous présenter la métamorphose de narcisse, un tableau de Salvador Dali, Peintre espagnol surréaliste (né en mai 1904-mort en janvier 1989). Ce tableau est une huile sur toile commencée en Espagne en 1936 et terminée en 1937, elle mesure 51.1 centimètres de haut sur 78.1 centimètres de large, est conservée au Royaume-Unis, à Londres, à la Galerie Tate Modern. Cette toile peut être coupée en deux pour l’analyse je vais donc faire trois

du vide et joue avec les sonorités de manière à ce qu'elles s'annulent entre elles. Mais la poésie est un également un art qui peut se révéler opaque, amenant parfois le lecteur à rejeter ce qu'il ne comprend pas. C'est notamment le cas des poètes surréalistes, qui tiennent parfois des propos quelque peu déconcertant. Paul Eluard écrit, dans "Les dessous d'une vie" : "Mais je ne trouve qu’un bar qui est à la fois bar, boulangerie et pharmacie. Cet endroit est complètement désert. Je dépose G… sur

Paul Eluard, capitale de la douleur, « Le sourd et l’aveugle » Plan 1-Une critique de Gala et des surréalistes 2-La fin de l'aventure surréaliste Introduction "Le sourd et l'aveugle" est le 5ème poème de la seconde section "Mourir de ne pas mourir" du recueil "Capitale de la douleur", section qui trouve son origine dans un poème inspiré à Sainte Thérèse d'Avila vers 1580 où Thérèse nous écrit son calvaire, sa vie sans vivre, sa douleur et qui se termine par "que je meurs de ne pas mourir"

voulons êtres les poètes de notre vie, et d'abord dans les choses les plus modestes et les plus quotidiennes ». La thèse nietzschéenne est claire : il s'agit de renouveler la vie, dans son quotidien et sa trivialité, en tant que moteur de la création. A cela s'oppose donc les prétentions romantiques ou lyriques, célébrant un au-delà aux idéaux absolus, éternels, mais donc immobiles, et ainsi, morts, selon Nietzsche. La poésie du modeste et du quotidien se veut le contrepied des grands poètes du prétentieux

relation ce qui se joue dans notre psychisme lors du rêve et la réalité concrète du rêveur, sa vie. Enfin, si la psychanalyse a donné des clés pour résoudre ce mystère de l’inconscience et du rêve, elle semble être en rapport avec le mouvement surréaliste qui naît peu après les théories Freudiennes. De cette manière, nous pouvons essayer de trouver un lien entre les découvertes rationnelles de la science et ses répercussions sur l’art. Une nouvelle frontière apparaît : celle entre science et art

de siècle est à une poésie moins passionnée[172]. La phrase d'André Gide, « Victor Hugo hélas », en réponse à la question « Quel est votre poète ? » à un questionnaire sur « les poètes et leur poète »[173], montre la double attitude des poètes du XXe siècle, reconnaissant à Victor Hugo une place prééminente parmi les poètes mais exaspérés parfois aussi par ses excès[174]. Charles Péguy, dans Notre patrie publié en 1905, n'est pas tendre envers le grand homme[175], l'accusant d'être un « hypocrite pacifiste

Le Club des Poètes fête son cinquantième anniversaire. Du 19 au 21 décembre, rendez vous au Club des Poètes, 30 rue de Bourgogne à Paris, pour fêter un demi-siècle de poésie, en écoutant les poètes de tous les temps et de tous les pays. 19 décembre 1961 : Jean-Pierre Rosnay, poète, animateur d'émissions de poésie à la télévision et sur France Inter, inaugure au cœur de Paris, à deux pas de l'Assemblée nationale, le Club des Poètes. Il s'agit de « rendre la poésie contagieuse et inévitable ». Depuis

Autodidacte et rêvant de poésie, Robert Desnos est introduit vers 1920 dans les milieux littéraires modernistes et rejoint en 1922 le mouvement surréaliste. Il participe alors aux expériences de sommeils hypnotiques et publie avec Rose Sélavy (pseudonyme de Marcel Duchamp) ses premiers textes. Dans les années 1924-1929, Desnos est rédacteur de « La Révolution surréaliste » mais rompt avec le mouvement quand André Breton veut l’orienter vers le Communisme. Il travaille alors dans le journalisme et, grand amateur

du poète et chef de file va entraîner la fin du surréalisme, mais « l'idée » surréaliste perdure aujourd'hui encore. L'écriture automatique est un mode d'écriture cherchant à échapper aux contraintes de la logique, elle laisse s'exprimer la voix intérieure inconsciente, dévie l'inconscient de la pensée. Il s'agit d'écrire ce qui vient à l'esprit, sans se préoccuper du sens. Par l'écriture automatique, les surréalistes ont voulu donner une voix aux désirs profonds, refoulés par la société. C’est

poèmes engages sur trois différents thèmes, pour les dénoncer : nous avons « Qu’est ce que…. » d’Arthur Rimbaud, « barbare » d’Aime Césaire et enfin « éloge des larmes » de Jean-Pierre Siméon. Les poètes prennent position et mettent leur poème au service d’une cause politique, sociale et morale. Ces poètes sont engagés ils dénoncent dans le but d’éveiller la conscience du lecteur et de le pousser a la révolte. Pour cela ils emploient comme mode d’interpellation la persuasion. Il s’agirait de