Les Portes de la mort

1-Présentation : Britannicus paru en 1670, œuvre de Jean RACINE né en décembre 1639, mort en 1699. -Orphelin , recueilli pas sa grand-mère paternelle, il est élevé dans une famille janséniste et prend parti contre les jésuites. Il étudie à l’école des Granges de Port-Royal et il s’essaie à la poésie religieuse, cette formation aura sur l’enfant une influence déterminante. -Ses débuts poétiques : Après Port-Royal, il va étudier au collège d’Harcourt. Il fréquente les comédiens du Marais et

après sa mort. Avec Les Fleurs du Mal, il est considéré comme le précurseur de la poésie moderne. · Quand Baudelaire a écrit les poèmes en prose, il se trouve à Bruxelles où, usé par la drogue et par l'alcool, il voit encore devant lui se fermer toutes les portes. · Fatigué de lutter pour une vie qu'il n'aime pas, il trouve dans ce poème, grâce à une prose poétique et à la définition d'un paysage, le pouvoir d'analyser ses états d'âme. Lecture LE PORT Un port est un

faciliter le deuil de la famille. Si aucune des deux conditions n’est remplie, une circulaire de 2001 avait exigé pour l’acte d’enfant sans vie que l’enfant soit né vivant mais non viable ou lorsque l’enfant est mort-né après 22 semaines ou 500gr donc qu’il était viable. Au sein des enfants mort-né il y avait ceux qui pouvait bénéficier du statut d’enfant sans vie et ceux qui ne pouvait en bénéficier car il n’était pas viable. La cour de cassation a refusé d’appliquer la circulaire de 2001 dans plusieurs

criant de douleur, cheval terrorisé, soldat mort…), et accentuées par la déformation de l’ensemble des personnages.Au deuxième plan : Des architectures intérieures alternent avec des vues extérieures, des portes, des fenêtres, des flammes, des toits, un dallage, une colombe). La visée est horizontale. La lumière : Dénotation : Il y a plusieurs sources lumineuses : la lampe du plafond, la lampe à pétrole, les ouvertures vers l’extérieur (portes et fenêtres). La lumière divise la scène

caractère de sa Phèdre, puisque par ce caractère il nous donne cette grande leçon, que lorsqu'en punition de fautes précédentes, Dieu nous abandonne à nous-mêmes, et à la perversité de notre coeur, ii n'est point d'excès où nous ne puissions nous porter, même en les détestant. Mais pourquoi a-t-il fait Hippolyte amoureux ? Louis Racine, 1747 Il y a Là-dedans un mélange du sens et de l'âme, de désespoir et de fureur amoureuse, qui passe toute expression. Cette femme, qui se consolerait d'une éternité

masques déguisés, dont la troupe folâtre S'amuse à caresser je ne sais quels donneurs De fumées de Cour, et ces entrepreneurs De vaincre encor le Ciel qu'ils ne peuvent combattre ? Qui sont ces louvoyeurs qui s'éloignent du Port ? Hommagers à la Vie, et félons à la Mort, Dont l'étoile est leur Bien, le Vent leur fantaisie ? Je vogue en même mer, et craindrais de périr Si ce n'est que je sais que cette même vie N'est rien que le fanal qui me guide au mourir ». Dans ce sonnet parfaitement

fiche de lecture meurtre sur lagoraMEURTRES SUR L'AGORA: -Claude Mosse COURTE BIOGRAPHIE DE L'AUTEUR: Claude Mossé est une historienne française qui se spécialise dans l'histoire de la Grèce antique. Elle est née en le 24 décembre 1924 à Paris et décédé en 2018. Elle découvre la Grèce Antique en 1941 en lisant pour la première fois un texte de Démosthène défendant la liberté et la démocratie. Ce texte est une révélation pour elle (surtout durant les moments difficiles quelle vie dans une famille

VOLONTAIRE = fait de donner volontairemt mort à autrui -> art. 221-1CP. Aff. Monnier 1901 -> abstent° de porter secours (pas crime) MS depuis 1994, crime et condamné. 2 élémt -> matériel (= acte déterminé sur pers. d’autrui) + psychologiq 1/ L’élément matériel du meurtre Depuis 1994, meurtre impossible n’existe plus. Erreur sur la pers. inopérante. Meurtre dirigé c/ autrui -> impunité du suicide MS délit de provocat° ou d’aide au suicide, omission de porter secours. 2/ L’élément psychologique

lecture… Jean-Philippe Marin jpmarin@videotron.ca Visitez le site Internet associé www.iliadeodyssee.com 3 Prélude – Scène 1 : L'aède et son public Un jour, il y a près de trois mille ans, un navire peint de brillantes couleurs entrait dans un port du pays qui s'appelle encore la Grèce. Sur le pont du navire se trouvait un homme enveloppé d'un grossier manteau de poil de chèvre. Sous son manteau, il tenait une lyre finement ouvragée. C'était la chose la plus précieuse que possédât cet homme,

physique élogieuse mais sans être précise, intime. Son physique confirme bien le fait qu'il soit roi. Il a de la prestance. « sa taille, son port, les grâces, la beauté, et la grand-mine qui succéda à la beauté, jusqu'au son de sa voix (..) l'adresse et la grâce naturelle et majestueuse de toute sa personne » L'auteur fait une énumération avec « sa taille, son port, les grâces, le beauté » pour décrire le roi sans approfondir. Il n'y a aucuns détails. Il compare le roi à la reine des abeilles « comme