Les Principes Fondamentaux Du Système Capitaliste

effet il serait utilisé au détriment des hommes. Ainsi dès 1847 dans « Misère de la philosophie », Marx prévenait du danger de la technique en disant qu’elle permettait l’aliénation d’un certain nombre d’hommes que constitue le prolétariat aux capitalistes qui possèdent la technique. Heidegger dans « Essais et conférences »  en 1957 considérait lui que la technique moderne menaçait d’échapper au contrôle de l’homme à cause de sa propre essence qu’il appelle l’arraisonnement (gestell). La question

suffrage universel est un principe d’expression de la volonté populaire. Il fonde la souveraineté du peuple dans un régime politique démocratique dans lequel le pouvoir est détenu et contrôlé par ce dernier. Le droit de vote permet aux citoyens d’un Etat d’exprimer leur volonté à l’occasion d’un scrutin afin d’élire leur représentant et leur gouvernement, de répondre à la question posée par un plébiscite ou un référendum. Le suffrage universel étant un des principes fondamentaux de la démocratie donne

VOCABULAIRE Changement social : Transformation durable, + ou – rapide, d’une partie ou de l’ensemble d’un système social au niveau de son fonctionnement (modes d’organisation), de sa structure (stratification, rapports sociaux…) ou de ses modèles culturels (comportements, normes, systèmes de valeurs). Croissance économique : Augmentation soutenue, pendant une période longue, de la production d’un pays. Facteur de la santé économique et du dvpt d’un pays, on retient le PIB à prix constants

ou emprunter sur le marché aux français qui ont de l’argent). D’un côté il y a les pessimistes, de l’autres les optimistes avec Robert SOLO. Qu’est-ce que la croissance économique ? Tout ce qui croit, change. La croissance débouche en principe sur le développement économique. Selon François PERROUX, le développement économique permet d’assurer une croissance irréversible. Ils considèrent que les pays développés ne reviennent pas à la situation en arrière, où la croissance était relativement

autrement dit, il se réalise en tant qu'homme (Le Capital). Néanmoins, il oppose deux notions du travail, le travail qui est l'essence de l'homme et la réalité du travail qui vise à aliéner le travailleur. De plus, Nietzsche s'oppose à la société capitaliste et donc industrielle du XVIII ème siècle et XIX ème siècle qui font du travail une valeur centrale. Par exemple, Nietzsche se place dans la vision d'Hegel, qui selon lui, par le travail, l'homme détruit le naturel: " travailler signifie anéantir

modèle capitaliste américain. On retrouve les premières traces de communisme avec Platon qui établit déjà une théorie à ce sujet, bien que ce soit Karl Marx au XIX ème qui développa concrètement cette idéologie. Celle-ci est basée sur le fait d’avoir une société sans classe, ou la propriété privée disparait pour laisser place à la possession commune des moyens de production. Ce mouvement est définissable par l’adage « de chacun selon ses moyens, à chacun selon ses besoins », le principe d’échange

pas sans incohérence du point de vue des prémisses mêmes du système néoclassique, dans la mesure où cette représentation introduit subrepticement une composante holiste dans un système qui se veut purement individualiste. Ainsi, la théorie néoclassique standard traite comme agent individuel ce qui est clairement une entité collective, en lui prêtant de plus un principe de comportement, la maximisation du profit, qui est hétérogène au principe d’utilité censé fonder l’ensemble des comportements individuels

alors le rendement (productivité) baisse. Ce processus a permis aux pays émergents de refaire leur retard sur les pays les plus avancés en puissance de productivité (les USA rattrapés au début du XXe). Ces pays ont eu recours à l’imitation des principes de Taylor et Ford (diviser le travail avec des tâches précises ; l’automatisation des chaînes de montage). Aujourd’hui, certains pays émergents (Chine, Taïwan) copient les technologies occidentales (vol de brevets technologiques, contrefaçon)

Le système capitalisme apparaît au cours du XIXème siècle avec la Révolution Industrielle qui naît en Europe occidentale. Il est fondé sur des grands principes économiques : la propriété privée des moyens de production (gestion des biens par les propriétaires qui en perçoivent les revenus), l'accumulation du capital grâce aux profits réalisés et la spéculation (une partie des profits est épargnée pour être ensuite utilisée afin d'augmenter le niveau de production d'une entreprise en modernisant son

celle-ci constitue un principe d’ajustement entre des comportements rivaux qui peut prévaloir hors du capitalisme et même hors de la sphère de l’économie. La formulation du sujet est binaire (deux termes reliés par un « et ») et, afin de ne pas risquer un devoir incomplet, on s’en remettra à un plan en deux parties du type « influence de A sur B/influence de B sur A ». La distinction entre ces deux « influences » repose sur la différence de nature entre la concurrence, qui est un principe d’ajustement, et