Les Promenades De Richelieu

s’occupant à tracer des principes politiques pour gouverner des événements toujours imprévus. Il n’y a que 7 des niais qui puissent aimer à parler des acteurs et à répéter leurs mots ; à faire tous les jours, mais sur un plus grand espace, la promenade que fait un animal dans sa loge ; à s’habiller pour les autres, à manger pour les autres ; à se glorifier d’un cheval ou d’une voiture que le voisin ne peut avoir que trois jours après eux. N’est-ce pas la vie de vos Parisiens traduite en quelques

XIII et Richelieu (Cardinal et principal confident du roi) gouvernent la France, par le système de ministériat (1610 - 1643). Le pouvoir politique a bien compris le rôle des médias pour assurer son pouvoir. Richelieu tente de renforcer la monarchie ayant déjà vécue une longue période de crise pendant les guerres de religions. On se trouve dans une situation de guerre constante, donc imposition de taxes pour les financer. La population se révolte, et la répression ne suffit plus. Richelieu crée des

culturelle est étroitement liée au contexte historique. Retenez donc les aspects marquants du XVIIe siècle exposés dans le tableau ci-après. 8 Séquence 5 – FR20 © Cned – Académie en ligne 1610/17-1643 Règne de Louis XIII avec le cardinal Richelieu : période de troubles. Hostilités d’une bonne partie de la famille royale et de la grande aristocratie française, d’où de nombreuses manœuvres politiques pour affaiblir les aristocrates au profit du pouvoir royal. Longues guerres contre l’Espagne

étroitement liée au contexte historique. Retenez donc les aspects marquants du XVIIe siècle exposés dans le tableau ci-après. 8 Séquence 5 – FR20 © Cned – Académie en ligne Politique 1610/17-1643 Règne de Louis XIII avec le cardinal Richelieu : période de troubles. 1644-1661 Régence d’Anne d’Autriche avec le cardinal Mazarin. 1661-1685 « Le siècle de Louis le Grand », phase prospère du règne de Louis XIV. Hostilités d’une bonne partie de la famille royale et de la grande

culturelle est étroitement liée au contexte historique. Retenez donc les aspects marquants du XVIIe siècle exposés dans le tableau ci-après. B © Cned – Académie en ligneSéquence 5 – FR20 9 1610/17-1643 Règne de Louis XIII avec le cardinal Richelieu : période de troubles. 1644-1661 Régence d’Anne d’Autriche avec le cardinal Mazarin. 1661-1685 « Le siècle de Louis le Grand », phase prospère du règne de Louis XIV. 1685-1715 Période moins brillante du règne de Louis XIV. Politique

sexualité, etc.) – Pas d’allusion aux choses matérielles (nourriture, argent, etc.) 142 CNED SECONDE – FRANÇAIS SÉQUENCE 4 Ce souci d’ordre moral correspond à l’évolution de la société. Sous le règne de Louis XIII, le cardinal de Richelieu impose une autorité politique forte : celle-ci doit aussi s’exercer dans le monde des lettres (cf. la création de l’Académie française en 1635). Par ailleurs, les bienséances correspondent aussi à la recherche du raffinement dans les spectacles

étroitement liée au contexte historique. Retenez donc les aspects marquants du XVIIe siècle exposés dans le tableau ci-après. 8 Séquence 5 – FR20 © Cned – Académie en ligne Politique 1610/17-1643 Règne de Louis XIII avec le cardinal Richelieu : période de troubles. 1644-1661 Régence d’Anne d’Autriche avec le cardinal Mazarin. 1661-1685 « Le siècle de Louis le Grand », phase prospère du règne de Louis XIV. Hostilités d’une bonne partie de la famille royale et de la grande

voyage, on peut surtout conseiller ses Promenades dans Rome; c'est exactement la conversation d'un cicerone, homme d'esprit et de vrai goût, qui vous indique en toute occasion le beau, assez pour que vous le sentiez ensuite de vous-même si vous en êtes digne; qui mêle à ce qu'il voit ses souvenirs, ses anecdotes, fait au besoin une digression, mais courte, instruit et n'ennuie jamais. En face de cette nature "où le climat est le plus grand des artistes", ses Promenades ont le mérite de donner la note vive

propres yeux. Je connais G…, le préfet de police, et nous obtiendrons sans peine l’autorisation nécessaire. » L’autorisation fut accordée, et nous allâmes tout droit à la rue Morgue. C’est un de ces misérables passages qui relient la rue Richelieu à la rue Saint-Roch. C’était dans l’après-midi, et il était déjà tard quand nous y arrivâmes, car ce quartier est situé à une grande distance de celui que nous habitions. Nous trouvâmes bien vite la maison, car il y avait une multitude de gens qui

jadis surprise, disait-on, entre les bras d’un carabinier ; d’autres, d’autres encore, Spontini, le pion féroce, avec son couteau corse qu’il montrait rouillé du sang de trois cousins, le petit Chantecaille, si bon enfant, qu’il laissait fumer en promenade ; jusqu’à un marmiton de la cuisine et à la laveuse d’assiettes, deux monstres, qu’on avait surnommés Paraboulomenos et Paralleluca, et qu’on accusait d’une idylle dans les épluchures. Ensuite arrivaient les farces, les soudaines évocations des bonnes