Les Précieuses Ridicules Scène 11

(vers 12) soulignant leur aspect protecteur et les esclaves nus (vers 11), symbole par excellence de l'exotisme Si on se focalise sur ces derniers, l'adjectif « nu » attire toute notre attention. Le fait d'être dévêtu est un acte très courageux voire audacieux étant donné que l'être humain s'expose ainsi au regard des autres individus. Le poète a bien choisi cet adjectif afin de souligner le caractère pure et innocent de la scène. Un lieu où l'homme n'a pas besoin de se cacher derrière une façade

chagrin. La p. de C. culpabilise et après le deuil, le duc de N. la demande en mariage mais celle-ci refuse par vertu et par peur puis entre dans une maison religieuse. Le personnage du 17ème | A l’origine, le roman, notamment l’épopée, met en scène des héros supérieurs par leur appartenance social, leurs qualités physiques et morales. Des personnages comme Ulysse dans L’Odyssée d’Omer ou Gargantua chez Rabelais étonnent aujourd’hui encore. Le personnage de roman se doit donc, par tradition, d’apparaître

mari. p.108 : « Non seulement il n’aimait pas la vie de famille, mais la famille, et surtout le mari, représentaient dans le milieu des célibataires où il vivait, un élément étranger, hostile, et par-dessus tout… ridicule. », le langage de Vronski rappelle un lexique théâtral (rôle, ridicule…). Il constitue alors le personnage de vaudeville par excellence. p.192 : à l’opéra. Humour de Tolstoï souligné par la reprise de références théâtrales afin de les dénoncer. D’où une hypocrisie sociale. Mari/amant

CLASSIQUES GALANTS MCMIX Presented ta the LIBRARY oj the UNIVERSITY OF TORONTO by A. F. B. Clark L'ŒUVRE DU MARQUIS DE SADE // a été tiré de cet ouvrai^c 10 exemplaires sur Japon Impérial ^- (1 à 10) 25exemplaircssur papier d'Arches (11 à 35) " Droits pour Suède, de tous la reproduction pays, Norvège y réserves compris et le la Danemark PL. Qui j-iTi^ ^frappa ifi la Jariïqus'le. Ciel' lunts de, ,ye,f coups, phw^rtfnd- maOurnr f/Hi<- u him-ptfu/' FRONTISPICE

mes pieds ; je ne sais ce qui me prit, mais je la ramassai sans que mes camarades s’en aperçussent et je la mis précieusement dans ma veste. Première sottise ! Prosper Mérimée, Carmen, 1845. Texte 2 Au début de la nouvelle, le narrateur met en scène Robert de Tressignies, un aristocrate libertin et quelque peu blasé. Intrigué et fasciné par la beauté et le comportement provocant d’une prostituée, il se met à la suivre dans les rues de Paris. ½¼ ½ Tressignies se disait confusément tout

l’intérêt philosophique (page 49) la destinée de l’œuvre (page 53) Bonne lecture ! ACTE I Scène 1 : À Florence, à minuit, à la fin décembre 1536, dans un jardin, le duc Alexandre de Médicis, accompagné de son écuyer, Giomo, et de son favori et entremetteur, Lorenzo, enlève Gabrielle, une jeune fille, dont le frère, Maffio, est brutalement désarmé. Scène 2 : Le lendemain matin, dans une rue, des bourgeois constatent les débordements auxquels se livrent les nobles à la sortie

je ne sais ce qui me prit, mais je la ramassai sans que mes camarades s’en aperçussent et je la mis précieusement dans ma veste. Première sottise ! Prosper Mérimée, Carmen, 1845. ¾ ¿¼ Texte 2 Au début de la nouvelle, le narrateur met en scène Robert de Tressignies, un aristocrate libertin et quelque peu blasé. Intrigué et fasciné par la beauté et le comportement provocant d’une prostituée, il se met à la suivre dans les rues de Paris. Tressignies se disait confusément tout cela en mettant

entre mes pieds ; je ne sais ce qui me prit, mais je la ramassai sans que mes camarades s’en aperçussent et je la mis précieusement dans ma veste. Première sottise ! Prosper Mérimée, Carmen, 1845. Texte 2 Au début de la nouvelle, le narrateur met en scène Robert de Tressignies, un aristocrate libertin et quelque peu blasé. Intrigué et fasciné par la beauté et le comportement provocant d’une prostituée, il se met à la suivre dans les rues de Paris. ½¼ ½ Tressignies se disait confusément tout cela

JEU DE L'AMOUR ET DU HASARD COMÉDIE en trois actes, en prose. par M. de M...[arivaux] M. DCC. XXX. - 3 -ACTEURS MONSIEUR ORGON. MARIO. SILVIA. DORANTE. LISETTE, femme de chambre de Silvia. ARLEQUIN, valet de Dorante. UN LAQUAIS. La scène est à Paris. - 4 -ACTE I SCÈNE PREMIÈRE. Silvia, Lisette. SILVIA. Mais encore une fois, de quoi vous mêlez-vous, pourquoi répondre de mes sentiments ? LISETTE. C'est que j'ai cru que, dans cette occasion-ci, vos sentiments ressembleraient à ceux de tout le monde

intéressantes et neuves dont les auteurs sont à la fois de profonds penseurs et de brillants prosateurs. Ainsi Jean Bodin, auteur d’un traité politique célèbre intitulé ‘‘La République’’, Saint François de Sales, grand écrivain catholique ; Pg No.10 Pg No.11 Calvin et Théodore de Bèze, théologiens protestants. Et l’on pourrait en citer bien d’autres. Deux écrivains, toutefois, se distinguent par leur génie et leur renommée : Rabelais et Montaigne. RABELAIS (1495-1553) On ne connaît pas entièrement la