Les Ratios Prudentiels

comptable. 8.) Le risque de liquidité : Le risque de liquidité c’est le risque de ne pas pouvoir vendre un actif dans de bonnes conditions qui peuvent être liées à la taille du marché, aux nombres d’intervenants, au contexte économique ou au ratio de gestion ou ratio d’emprise (désigne le pourcentage que l’on détient de l’encours total d’un OPCVM). Le risque de liquidité c’est le risque de ne pas pouvoir vendre à son prix un titre financier. Il peut se traduire, soit par une impossibilité effective de

toute sorte de menace. I -Les raisons de la réforme, de Cook à Ball II : Avant 1988, la réglementation du capital bancaire dans de nombreux pays consistait à mettre en place un niveau minimum du ratio de fonds propres sur le total des actifs. Cependant, les définitions des fonds propres et des ratios étaient différentes d’un pays à l’autre. Par, ailleurs, la réglementation était plus ou moins laxiste selon les pays18. Les banques étaient en concurrence globale à travers le monde, un établissement

| |Section 1 : Le Ratio européen de solvabilité.................................................32 | |1.1. Définition du ratio de solvabilité. .....................................................32 | |1.2. Les objectifs du ratio..................................................................... 33

4 : Le cadre réglementaire. Section 1 : Le Ratio européen de solvabilité.................................................32 1.1. Définition du ratio de solvabilité. .....................................................32 1.2. Les objectifs du ratio..................................................................... 33 Section 2 : La réforme du comité de Bâle II.................................................. 34 2.1. La remise en cause du ratio de solvabilité.............................

valeur intrinsèque est définie comme « potentiellement génératrices de revenus ». Cette baisse de valeur injustifiée a entraîné une baisse correspondante du cours des actions. Suite à quoi, les banques ont été contraintes, afin de maintenir leur ratio de solvabilité, d’accroître leur capital en dépit des actionnaires existants, ou de diminuer leurs prêts au risque d’engendrer un effet dépressif sur l’économie. 2) la pro-cyclicité L’évaluation des actifs financiers étant réalisée à partir

Couppey-Soubeyran La crise financière amorcée à l’été 2007 et qui, à l’automne 2008, a pris une tournure historique a révélé la défaillance de l’ensemble des modes de régulation à l’œuvre dans la sphère bancaire et financière : la réglementation prudentielle qui n’a pas suffi à prévenir la crise ; la discipline de marché qui n’a guère envoyé de signaux d’alerte ; le contrôle interne dont la faiblesse a été démontrée par quelques « affaire » (Société générale), « incident » (Caisses d’épargne) ou escroquerie

établissement Celle ci conduit à une contraction immédiate des crédits et une entrée en crise économique du pays faute de financements. C'est pourquoi elles sont contraintes de respecter des ratios financiers comme le célèbre ratio d'adéquation des fonds propres; le ratio Mac Donought (anciennement ratio Cooke) issu des directives Bâle II et qui va encore évoluer suite aux recommandation issues de Bâle III . Certains pays ont organisé des fonds interbancaires de garantie, permettant de rembourser

SOMMAIRE Introduction I.- Réglementation bancaire 1.1.- Fondements de la réglementation bancaire 1.2.- Harmonisation internationale de la réglementation : normes internationales 1.3.- Objectifs de la réglementation bancaire 1.4.- Réglementation prudentielle II.- Contrôle interne bancaire 2.1.- Caractéristiques du contrôle interne bancaire 2.2.- Architecture et organisation du contrôle interne 2.3.- Types de contrôle 2.4.- Acteurs du contrôle III.- Les grands risques bancaires 3.1.- Le risque de crédit

éco et social. Elles se font sous l’œil attentif des marchés, du grand public et des régulateurs dont l’influence augmente. De la même façon, les banques sont contraintes d’adapter sans cesse leur fonctionnement aux changements des astreintes prudentielles auxquelles elles sont confrontées. En Fr, il s’agit notamment des ajustements en matière de contrôle interne (CRBF 97-02), de sécurité financière, de conformité (lutte contre le blanchiment par ex) et surtout, des conséquences de Bâle II. Il est

financiers avérés ou potentiels et une dégradation de l'image de l'ets financier. Ils nécessitent donc la mise en place d'outils d'analyse et de pilotage spécifiques afin d'éviter un risque systémique : dispositions réglementaires ( ratios prudentiels = ratio de solva, ratio de liquidité, pilier 1/2/3 de Bâle) et des dispositions mises en place par chaque éts ( contrôle interne de conformité, formation du personnel et mise en place d'un PCA).