Les Roseaux sauvages

de pronoms : deux premiers : « elle »(1/2) et « je » (3/4) > rapprochement dans le 4ème : « je lui » et « veux-tu ». Rapidité de l’action, prise de parole donne de la vivacité. Le paysage est fondamentale : complice de l’invitation à l’amour. Sauvage comme la jeune fille : « jonc penchants »(2), « champs »(4), « arbres »(8). La jeune fille s’insère parfaitement dans la nature : pas civilisée > 4ème élément de la nature. Les trois autres strophes évoquent l’acceptation progressive de la jeune

poète, Que ta voix ici-bas doive rester muette. Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots. Lorsque le pélican, lassé d'un long voyage, Dans les brouillards du soir retourne à ses roseaux, Ses petits affamés courent sur le rivage En le voyant au loin s'abattre sur les eaux. Déjà, croyant saisir et partager leur proie, Ils courent à leur père avec des cris de joie En secouant leurs becs sur leurs goitres hideux. Lui, gagnant à

particulièrement sur le fait qu’elle soit naturelle, voire négligée : « ses cheveux dans les yeux », « les pieds nus ». Sa seule description est focalisée sur son aspect nonchalant et naturel. En effet, elle est caractérisée de « folâtre », « d’effarée et sauvage »… De nombreux qualificatifs insistant sur l’insouciance et le bonheur. On peut également remarquer que cette fille est à l’aise, voire insolente et audacieuse vis-à-vis de l’auteur : l’adjectif « suprême » nous indique un sentiment de contrôle

datent du XVIIe siècle, sous l’ordre des marquis de Goulaine. Notamment la canalisation de la Goulaine jusqu’à la Loire, pour accélérer l’écoulement de l’eau et permettre l’exploitation agricole des terres. Ces travaux ont très peu modifié la nature sauvage du marais. En 1825, un four à chaux est construit près du port du Montru, sur la commune de La Chapelle-Heulin. Le calcaire est extrait à Liré (Maine-et-Loire), puis acheminé par barque sur la Loire et les canaux du marais. La chaux permet

Cette paisible blancheur m’évoque calme et volupté, comme si la neige semblait m’apaiser. Dehors, clairsemant ces lieux autrefois si verts, des roseaux prennent leur habit d’hiver, baignés par la rivière englacée. Neige, matière

poète, Que ta voix ici-bas doive rester muette. Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots. Lorsque le pélican, lassé d'un long voyage, Dans les brouillards du soir retourne à ses roseaux, Ses petits affamés courent sur le rivage En le voyant au loin s'abattre sur les eaux. Déjà, croyant saisir et partager leur proie, Ils courent à leur père avec des cris de joie En secouant leurs becs sur leurs goitres hideux. Lui, gagnant

dévorer. Puis, brusquement, ils rompaient le combat, se défiant à distance. Ils grattaient le sol furieusement et soudain s’attaquaient. La poussière volait dans le ciel, les mâchoires claquaient, les sabots frappaient le sol, et les hennissements sauvages retentissaient. On aurait dit deux lions qui se battaient. Mais peu à peu le jeune cheval faiblit, et Crin-Blanc prouva qu’il était bien resté le plus fort. Crin-Blanc était blessé. Son sang coulait le long de sa jambe. Il se léchait, mais le

Vendredi ou la vie sauvage CORRIGÉS de Michel Tournier Fiche pédagogique FICHE 1 Découvrir le livre I – Le titre 1. Le titre est composé d’un nom relié par une conjonction de coordination à un GN (article défini + nom commun + adjectif qualificatif). Le titre seul ne permet pas de préciser la nature grammaticale exacte du nom Vendredi. La position du mot dans le titre impose la majuscule à l’initiale ; il pourrait donc s’agir du nom commun. Si l’on ne connaît pas l’histoire de Robinson, il faut

romantique Conclusion Extrait du poème analysé: Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots. Lorsque le pélican, lassé d'un long voyage, Dans les brouillards du soir retourne à ses roseaux, Ses petits affamés courent sur le rivage En le voyant au loin s'abattre sur les eaux. Déjà, croyant saisir et partager leur proie, Ils courent à leur père avec des cris de joie En secouant leurs becs sur leurs goitres hideux. Lui, gagnant à

noie, des serpents parmi les roseaux et des Bohémiens sur les rives. Le petit garçon va sentir en lui l'appel irrésistible de ce cours d'eau fabuleux qui le fait rêver, nuit et jour, à l'image de Bargabot, l'étrange braconnier qui en connaît chaque méandre et vient parfois lui rendre visite. Bravant un jour l'interdiction de sa famille, il succombe à la tentation et rejoint la rivière. Mais la barque qui le mène part soudain à la dérive, l'entraînant sur une île sauvage. Il y fait alors la rencontre