Les Roseaux sauvages

de la bouche à la bouche La perle impérissable où dort le Souvenir. Pierre Louýs *** L'aube de la Lune Regarde la naissance ardente de la lune, Ô Stulcas! c'est un coeur qui répand sur les eaux Le sang d'une aube horrible au sommet des roseaux Où Syrinx va gémir à sa triste fortune Les ombres des palmiers s'éveillent,et chacune Traîne deux fils de flamme à ses obscurs fuseaux, Et les crins du centaure et l'aile des oiseaux Se haussent, alourdis d'une pourpre importune. Le bruit

L'amour de la mer Joseph Bironneau O mer, je ne connais plus délicat plaisir que celui de fouler de mes pieds ton rivage aux endroits tourmentés de la côte sauvage, Pour peu que le labeur m'en laisse le loisir. Rien ne m'est agréable autant que de choisir Parmi tous ces galets, fruits d'un ancien clivage, Et qu'en expert polit l'incessant avivage La merveille qui sait répondre à mon désir. Puis je reprends ma course un moment suspendue, Le regard fasciné par l'immense étendue

dépendance, stockage, écurie, agrément avec jardin… -les parcs à gibier, les garennes Élevages d’animaux sauvages, liés à l’élite, aux aristocrates. Ex : Vincennes Pour la chasse par exemple et entrainement à la guerre dans le maniement de l’épée, du cheval et de la lance. Pour les messieurs, les dames se contentent des garennes, pour leur plaisir, c’est l’élevage d’un animal sauvage : le lapin. Animal chassé par les dames. HABITAT URBAN -évolution d’une ville ou d’un village Ex : Compiègne

que toutes les personnes qui ont fait l’apologie de la religion chrétienne, il les discrédite car il dit qu’il n’y a que Jésus-Christ qui peut parler de la religion, car c’est la seule référence. « C’est vouloir -> roseaux » Pascal dit que c’est plus avantageux d’être un roseaux qu’un arbre. Tandis que Voltaire dit que c’est mieux d’être un arbre. Voltaire contredis tout ce que dit Pascal, Voltaire n’a aucune nuance. Dans la dernière partie, Voltaire n’arrive pas à prouver que la raison est meilleure

fait le tour de mon cœur, Un rond de danse et de douceur, Auréole du temps, berceau nocturne et sûr, Et si je ne sais plus tout ce que j'ai vécu C'est que tes yeux ne m'ont pas toujours vu. Feuilles de jour et mousse de rosée, Roseaux du vent, sourires parfumés, Ailes couvrant le monde de lumière, Bateaux chargés du ciel et de la mer, Chasseurs des bruits et sources des couleurs, Parfums éclos d'une couvée d'aurores Qui gît toujours sur la paille des astres, Comme le

hiverne au sud du Sahara.  L'automne s'annonçant, la Bergeronnette printanière nous quitte dès la fin du mois d'Août ou au début du mois de Septembre. On la voit alors en grandes bandes, jointes à des bergeronnettes grises, qui passent la nuit dans les roseaux. Les Bergeronnettes européennes hivernent dans les pays méditerranéens, jusqu'en Afrique centrale. Les bergeronnettes asiatiques passent l'hiver en Asie du sud et en Inde. La bergeronnette printanière a un vol léger, plus rapide que celui des autres

visages gracieux [...] Ils ne portent pas d'armes et ne les connaissent d'ailleurs pas, car lorsque je leur ai montré une épée, ils la prirent par la lame et se coupèrent, par ignorance. Ils ne connaissent pas le fer. Leurs javelots sont faits de roseaux. Ils feraient de bons serviteurs. Avec cinquante hommes, on pourrait les asservir tous et leur faire faire tout ce que l'on veut. » Il est sous le charme de la beauté de cette terre et de la gentillesse de ses habitants. Mais plus que la beauté végétale

sa douce folie Murmure sa romance à la brise du soir. Le vent baise ses seins et déploie en corolle Ses grands voiles bercés mollement par les eaux; Les saules frissonnants pleurent sur son épaule, Sur son grand front rêveur s'inclinent les roseaux. Les nénuphars froissés soupirent autour d'elle; Elle éveille parfois, dans un aune qui dort, Quelque nid, d'où s'échappe un petit frisson d'aile : – Un chant mystérieux tombe des astres d'or. II Ô pâle Ophélia ! belle comme la neige ! Oui

Julia " Je te connais déjà", chaque soir j'attends de t'entendre chanter. Julia est un peu surprise et elle lui répond qu'elle a une voix rauque...donc pas très beau! Jan est un peu embarrassée et lui dit: " Non, ta voix est comme celle d'un pigeon sauvage" pour lui c'est un compliment. Page 24 Puis Julia demande à Jan pourquoi il est en habit de prisonnier? Jan répond qu'il est Juif et polonais, quand il a dit sa on sentait les larmes coincées dans sa gorge. En lui apportant à manger elle lui

vers 2 par l’emploi de l’expression « pieds nus » et sera reprise à la fin du texte par « ses cheveux dans les yeux » - la jeune fille est caractérisée par des termes soulignant la fantaisie, l’indépendance, la liberté : « folâtre », « effarée et sauvage » ➜ ces expressions traduisent le charme de la jeune fille dont la beauté est soulignée trois fois : « la beauté » v.6, « la belle folâtre » v. 11 et « la belle fille » v. 15 c) intégration dans une nature simple - la jeune fille est perçue comme