Les Rousses

image onirique et le mot « sommeil » (ligne 3). Née de leurs rêves, cette femme est forcément lointaine, flou et inaccessible. Les phrases interrogatives chez Paul Verlaine traduisent cecaractère étrange de la femme aimée : « Est-elle brune, blonde ou rousse ? » (vers 9). Chez les autres, le lexique traduit ce paradoxe d'une femme à la fois familière et lointaine : « presqueétrangers l'un à l'autre » (ligne 11) dit Eluard ; « ombre » (ligne 4), « apparence réelle » (ligne 6) et « fantôme » (ligne 3) reprend

ville-fourmilière appelée Bel-o-kan. 327e, une fourmi mâle, avertit la reine que son groupe a été décimé par une force mystérieuse. Il rencontre 103 683e, une fourmi asexuée. RésuméPersonnages principaux Côté fourmi 103 683e : une fourmi rousse de la caste des soldates. 327e : une fourmi mâle qui cherche à faire entendre son histoire. 56e : une fourmi femelle qui accepte d'aider 327e dans son enquête. Belo-kiu-kiuni : la reine de Bel-o-Kan. Côté humain Jonathan Wells

son habitabilité, sujet bien plus intéressant car il regroupe différentes disciplines où nous trouvions tous nos comptes, Adrien principal intéressé en physique et moi en sociologie tout du moins l’envisagement que l’humanité déménage sur la planète rousse, étant persuadé que les hommes ne sont pas prêt à un tel changement. Les premières étapes de notre travail furent d’élaborer le plan et de décider sur quelles axes nous allions nous orienter et celles que nous allions délaissés car nous trouvions

l'arbre, placé au centre de la composition, ce qui divise le tableaux en deux parties. Par cet élément, le peintre donne plus d'importance à la jeune femme rousse évoluant en arrière plan, près d'un massif de roses. Sachant que Camille son épouse a posé pour les trois femmes de gauche, Il a en effet préféré mettre en valeur la jeune fille rousse. Peut être pour équilibrer l'importance des femmes sur le tableau, en positionnant trois femmes ensemble, pour les mettre en valeur par la quantité, et

Quignard  Lire est le seul moyen de vivre plusieurs fois. Pierre Dumayet  Des yeux d’enfants penchés sur un livre, cela n’est pas qu’une image douce de l’album de famille, un cliché attendri par nos chères têtes blondes (et brunes et rousses). Quitte à radoter, on ne se lassera pas de prouver par A plus B que la lecture reste le medium majeur de l’épanouissement culturel de l’homme. Et qu’est-ce qu’un homme, sinon un ancien enfant ? Ne craignons pas non plus de seriner cette lapalissade

puissance érotique,|Tableaux : Lanfranco Giovanni « Le suicide de |- Cléopatre est représentée comme étant | |citée une seule fois ce qui créé une sorte de |c’est une actrice mythique qui incarne un |Cléopatre » (Serpent Ver de terre, rousse et dénudée, |exigeante, colérique, susceptible, on | |mystère. Horace était romain = Cléopatre pire |personnage mythique (mythe démultiplié). A la |allongée sur draps rouges soyeux et éclatants). |insiste sur son nez

SEANCE 5 Objectif général de la séquence : lire intégralement une œuvre poétique. Objectifs opérationnels de la séance :  Etudier un poème. Date : 20/10/2008 Durée : 30 minutes. Matériel à prévoir :  Polycopié avec le questionnaire sur « la jolie rousse ».  Livre 128 poèmes… (au moins un pour deux). Phases Durée Objectifs de la phase Activités de l’élève Mise en projet 5’ Associer les élèves au Se référer au projet projet d’apprentissage. d’apprentissage. Formuler l’objectif du jour. Situation problème

éléments identique opposés se qui déroute le lecteur -on parle de femme mais cela s'oppose à "pleurant" qui est un tempérament mélancolique à l'image du poète -caractéristique physique par une contruction terneire: V9 "Est-elle brune, blonde ou rousse?" -femme qu'on ne peut qualifier se qui rend le poème spirituel et immortel -référence à une autre personne se qui rend encore plus flou l'image de la femme : V11"Comme ceux des aimés que la vie exila"

fond de teint. Neyma a 19 ans, c’est la plus jeune de la maison, qui comporte en tout 34 filles. Zeor a 24 ans et Ezma 29. Cette dernière arrivait presque à sa date d’échéance, comme un putain de yaourt qu’on aurait oublié dans un frigo. Elle était rousse, les épaules un peu larges et de grande taille, le tout couronné d’une beauté qui avait bien prit le temps de faner durant les dix dernières années. Maintenant elle n’était que banal, une putain comme une autre. Quand elle regarde Neyma, elle se

m’aime et me comprend. Car elle me comprend, et mon cœur transparent Pour elle seule, hélas! Cesse d’être un problème Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême, Elle seule les sait rafraîchir, en pleurant. Est-elle brune, blonde ou rousse? Je l’ignore. Son nom? Je me souviens qu’il est doux et sonore, Comme ceux des aimés que la vie exila. Son regard est pareil au regard des statues, Et, pour sa voix, lointain, et calme, et grave, elle a L’inflexion des voix chères qui se sont