Les Régimes Totalitaires Ressemblances Et Différences

cas, la nature du régime qui est soit parlementaire soit présidentiel, moniste ou dualiste. Dans cette division, il ne faut pas confondre un régime autoritaire et un régime totalitaire. Sur un plan strictement juridique, le concept de totalitarisme est un concept ayant pris naissance après la Seconde Guerre mondiale afin de qualifier certains des régimes politiques apparus entre temps. Il a été dégagé par deux auteurs, à savoir, Hannah Arendt et Raymond Aron pour définir les régimes nazis et staliniens

l’ordre du réel des choses : elles soumettent la vérité du discours au désirs de l’individu. La philosophie : consiste à soumettre les désirs individuels à une vérité unique et universelle. « tout déborde de liberté » le risque de la tyrannie régime démocratique : droit de satisfaire tous ses désirs, or il n’y a ni hierarchie, ni autorité sur les désirs.( anarchie, état non politique, les individus dans une insécurité permanente ne bénéficient plus de la protection de l’Etat. La peur donne aux

historiquement, que ce soit dans les sciences naturelles d’abord ou plus largement dans les sciences sociales qui nous intéressent plus particulièrement. Parmi les grands ancêtres comparatistes : Aristote et l’histoire de ses trois régimes (la royauté, l’aristocratie, la démocratie) qui forme une première typologie, une première œuvre de comparaison importante dans la vie politique. Pratiquer cette opération de comparaison, on peut décomposer ceci en trois points :

où chacun de ces phénomènes sans gravité apparente constitue pour les pulsions et les désirs une occasion de se manifester à notre insu. [pic]  La différence entre le normal et le pathologique est ainsi déplacée par Freud : classiquement, elle était qualitative, la maladie étant autre que la santé. Avec la psychanalyse, il apparaît que la différence n’est plus que quantitative : il y a, de la santé à la maladie (mentale), continuité et franchissement d’un simple seuil de développement au-delà duquel

°le modèle constructiviste : la nation est une construction. Il y a donc des humains qui la batîsse par un travail de construction politique. La nation est donc une entreprise humaine visant à générer de l’uniformité, de l’homogénéité donc de la ressemblance. Les mouvements nationalistes qui défendent une dimension constructiviste de la nation la construisent. 1) Définition nationale de la nation : France/Allemagne (XIXème-XXème siècle, 1870-1914) a) La conception allemande : la nation comme

pouvoir et sa dévolution. - Le Droit Constitutionnel, c’est du Droit. Mais d’abord faut il savoir ce qu’est le Droit. Le Droit, ce sont les règles du jeu de la vie en société. Selon Kelsen, il faut faire la différence entre l’être et le devoir être. Pour illustrer cette différence, il s’appuie sur le droit et la science. La science, et les scientifiques décrivent ce qui est, c'est-à-dire l’être. Mais le droit, n’est pas descriptif, il dit ce qui doit être. Autrement dit, il est prescriptif

Le juriste doit prendre conscience de cette unité profonde de notre système juridique aux fins de ne pas être qu’un simple technicien positiviste du droit qui accepterait indifféremment d’appliquer les lois de la république Weimar et les lois du régime nazi sous prétexte que ces textes portent le même nom de loi. Autre exemple, la déclaration du ministre de la justice des pays bas en 2007 déclarant que si une majorité de hollandais le décidait, il y aurait lieu d’appliquer la charria en hollande

distinguer ces deux types de régimes. Souvent les régimes autoritaires et totalitaire sont assimilés l’un à l’autre. Concernant ces derniers, le concept de totalitarisme a pris naissance après la seconde guerre pour qualifier les régimes nazis. Cette distinction a été opérée par deux auteurs : Arendt et Aron. La thèse de Mme Arendt consiste à prétendre qu’il existe une différence fondamentale entre les systèmes totalitaires et autoritaires. En effet, contrairement aux régimes autoritaires où certaines

populations provenant d’horizons variés (tels que par exemple la Canada, les États Unis, l’Australie, etc.), la conflictualité potentielle liée aux différences ethniques, culturelles et religieuses entre communautés amenées à cohabiter ne saurait être ignorée ou éludée. Au contraire, le défi consiste, pour ces sociétés, à intégrer harmonieusement ces différences de manière à promouvoir l’émergence d’un sentiment d’appartenance, d’un “ nous ” politique permettant que les grands principes de tolérance, de

observés et cela, historiquement, que ce soit dans les sciences naturelles d’abord ou plus largement dans les sciences sociales qui nous intéressent plus particulièrement. Parmi les grands ancêtres comparatistes : Aristote et l’histoire de ses trois régimes (la royauté, l’aristocratie, la démocratie) qui forme une première typologie, une première œuvre de comparaison importante dans la vie politique. Pratiquer cette opération de comparaison, on peut décomposer ceci en trois points : C’est d’abord