Les Sciences Criminelles Normatives

PHILOSOPHIE LA VIE A-T-ELLE UN SENS ? I) INTRODUCTION : Si la vie n’a pas de sens, à quoi bon vivre c’est-à-dire faire les efforts parfois extrêmes qu’elle nécessite ? À quoi bon aussi la donner ? Comment même expliquer que des criminels la prennent, puisque le mal qui est la négation du sens ne saurait s’attaquer à ce qui n’en a pas ? Or nous vivons, nous faisons des efforts et le mal existe. Chacun pense donc que la vie « vaut la peine » d’être vécue, comme si elle se trouvait depuis toujours

ignorons les desseins de Dieu. Par exemple, un homme perd sa maison dans un incendie. En réalité ce n'est pas un mal car, dans les ruines, il découvrira un trésor. De même un enfant meurt en bas âge mais, s'il avait vécu, il serait devenu un grand criminel. Ce n'est donc pas non plus un mal. On sait qu'après le tremblement de terre particulièrement meurtrier de Lisbonne, Voltaire renonce aux thèses de Leibnitz. Il n'est pas possible que tout soit pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles

relatifs à la bioéthique (euthanasie, mères porteuses, assistance médicale à la procréation, etc.). La bioéthique, rappelons-le, est une branche de l’éthique qui traite des questions biomédicales, c'est-à-dire des enjeux éthiques de la médecine, des sciences de la vie et des biotechnologies. Trois domaines particuliers intéressent cette discipline : le début de la vie, la fin de la vie et la gestion du corps humain. Mais toutes ces pratiques que la bioéthique analyse et problématise, sont encadrées par

d'adéquation déjà bien plus complexe que l'erreur de direction. On dira que la notion de possibilité d'une erreur d'adéquation absolue ou relative est fonction : • de la nature du problème en cause. Les questions qui se rattachent au domaine des sciences abusivement dites exactes, mais certainement rigoureuses, sont plus propres à déterminer vérité ou erreur de façon simple. Le cas de l'erreur en informatique est emblématique : toute erreur de procédure aboutit à un dysfonctionnement ou à un blocage

laïque C’est surtout à partir du 17ème siècle qu’il se développe. Sous l’influence de Grotices et Pufendor. Pour eux à la différence du droit naturel religieux il se découvre par la raison humaine. C’est donc plutôt un ensemble de règles qu’une science. A côté de ce droit rationnel il existe un droit volontaire fondé sur la volonté des peuples (contrat social de Rousseau) Qu’il s’agisse de droit naturel laïc ou religieux ils restent présents aujourd’hui notamment dans le courant de pensée libérale

(dépénaliser = on décide qu'une infraction n'en est plus une, elle devient tolérée). INTRODUCTION Qu'est-ce que le phénomène criminel ? Terminologie : Le droit criminel est synonyme de droit pénal. L'auteur d'une infraction (= l'auteur, le délinquant, l'agent), la criminalité (= la délinquance). Crime (sens large = infraction). CHAPITRE I – LE PHENOMENE CRIMINEL La criminalité a toujours existé, dans toutes les civilisations et lieux de la planète. Pendant très longtemps (jusqu'au XIXe

19 mai 1998 intégré dans le code civil aux articles1386-1 et suivants. Ce qu’on observe c’est que les directives avant leur transposition ont une influence sur la jurisprudence de la cour de cassation. Les directives non transposé ont une force normative avant même leur transposition. § 2 : Les sources jurisprudentielles : Sur le plan interne la jurisprudence de la cour de cassation est une source très importante quantitativement et qualificativement. Permis d’adapter le code civil à l’évolution

même dans chaque pays. Ex : Anders Breivik, le « tueur d'Oslo » vient d'être condamné à la peine maximale en Norvège soit 21 ans d'emprisonnement. S'il avait eu à comparaître face a la juridiction française, il aurait été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité incompressible soit une peine de 30 ans d'emprisonnement. (Le code pénal prévoit une peine maximale de 22 ans d'emprisonnement pour les crimes et infractions les plus graves. Une exception à la règle existe toutefois (instaurée en 1994

étatique doit tjs prévaloir. Section 2 : Le droit positif comme droit naturel objectivé Il faut nuancer la distinction de ces 2 droits. Il est légitime de considérer le droit positif comme l’objectivation du droit naturel CAD la consécration normative de l’exigence d’une justice intérieure à chaque conscience. En effet, Montesquieu demeure convaincu que le droit positif est simplement la conséquence du droit naturel et des principes moraux universels adaptés ds chaque pays à des conditions particulières

étatique doit tjs prévaloir. Section 2 : Le droit positif comme droit naturel objectivé   Il faut nuancer la distinction de ces 2 droits. Il est légitime de considérer le droit positif comme l’objectivation du droit naturel CAD la consécration normative de l’exigence d’une justice intérieure à chaque conscience. En effet, Montesquieu demeure convaincu que le droit positif est simplement la conséquence du droit naturel et des principes moraux universels adaptés ds chaque pays à des conditions particulières