Les Sens Et La Connaissance

thème de la connaissance, Descartes tâche de répondre à la question de savoir quelles sont les conditions qui, pour un individu, rendent possible la connaissance. Par là, Descartes apporte une solution au problème que pose l'accès à la connaissance : est-elle réservée à une élite douée de talents particuliers ou bien est-elle, moyennant certaines conditions, accessible à tous ? Ce qu'il soutient ici, sa thèse, c'est qu'elle est accessible à tous d'une part parce que chacun dispose de bon sens mais à condition

œuvre d’art ? Tout d’abord il nous faudrait donner une définition de la culture et de l’art Le sens courant du mot culture est l’érudition de la terre, l’homme transforme la nature avec des techniques précises. Mais l’on dit aussi d’un individu qu’il est cultivé lorsqu’il possède une large culture c’est-à-dire beaucoup de connaissances. Quand un enfant née il est incomplet contrairement à l’animal qui possède un instinct, c’est

Si notre connaissance ne porte que sur les apparences, il est bien évident qu'il faille adopter une position sceptique: comme toutes nos connaissances dépendent de la sensibilité il faut douter.Les apparences sont le lieu de l'erreur et de l'illusion. Tantôt nous nous trompons sur les choses et les autres à cause des apparences, tantôt ce sont les autres qui se trompent sur nous. Nous sommes donc au moins deux fois victimes des apparences. Mais les apparences sont aussi le seul moyen d'entrer en

seulement pour faire avancer nos connaissances et nos savoirs. Toutefois, avec les textes religieux et l’avancement scientifique dans ce monde peut-on affirmer que la connaissance est nécessairement rationnelle? Une connaissance est ce qui est d’acquis présentement et ce qu’on dit en soi-même de vrai. Par le terme nécessairement, on entend que c’est obligatoirement et inévitablement. Et pour ce qui est de rationnelle, c’est tout ce qui provient de la logique et du bon sens et qu’on peut expliquer à quelqu’un

est d’usage de parler des cinq sens : la vue, l’ouïe, l’odorat, le goût et le toucher. Cette classification constitue une première approche de la perception du monde qui nous entoure; comme nous allons le voir, tout cela est bien plus complexe qu’il n’y parait, nos sens nous livrent-t-ils une perception entière de la réalité ? La perception est préalable à toute connaissance et comme l'indique son étymologie, percevoir consiste à collecter des données provenant des sens puis à produire des images mentales

Expliquez le texte suivant de Leibniz : �� Les sens1, quoique necessaires pour toutes nos connaissances actuelles2, ne sont point suffisants pour nous les donner toutes, puisque les sens ne donnent jamais que des exemples, c�fest-a-dire des verites particulieres ou individuelles. Or tous les exemples qui confirment une verite generale, de quelque nombre qu�fils soient, ne suffisent pas pour etablir la necessite universelle de cette meme verite, car il ne suit point3 que ce qui est arrive arrivera

problème du sujet. Comprendre implique généralement la saisie d'un sens. C'est ainsi qu'on distingue la notion de compréhension de celle d'explication. Sur ce point, vous pouvez lire attentivement le texte de Dilthey présent sous la rubrique " textes et citations ". La question que l'on vous pose n'est donc pas exactement celle de la connaissance de soi mais celle de la compréhension de soi. Se comprendre consisterait alors à saisir le sens de nos actes et de nos comportements. Vous pouvez alors montrer

L'être humain a tendance à considérer immédiatement ce qu'il voit comme étant une connaissance; c'est à dire qu'il juge par ses sens. or, il est souvent victime d'illusions. Il perçoit des choses qui n'ont rien à voir avec la réalité. Est-ce que réellement ce sont nos sens qui sont à l'origine de nos erreurs ? Ne serait ce pas une question de jugement précipité ? Selon Malebranche, nos sens ne nous trompe pas, c'est nous qui ne prenons pas le temps de juger ce que nous voyons. Alors que soutient-il

sont mus par leurs sens et par la loi du besoin, seul l’homme est capable de s’écarter de la nature et capable de d’affirmer dans sa liberté, ce qui peut le rend responsable de ses mérites et de ses fautes également. Dans la première partie du texte, Rousseau précise la différence entre la liberté et l’instinct, l’animal ne pouvant s’écarter de la loi que lui fixe la nature et pourvoyant à sa conservation. Dans la seconde partie,( tout animal a des idées car il a des sens ) Rousseau montre que

vie on à tendance à opposer la raison, ici médical, qui voudrait que l’on arrête des soins inutiles pour maintenir un patient en vie ; à la foi ou la morale. Il est en effet très difficile pour un être humain de ne faire appel que à sa morale, à ses sens ou à sa raison. Cependant la raison tient un rôle à part entière, elle peut être propre et/ou commune à chacun. Alors comment peut on la définir ? Qu’est ce que la raison ? Est-ce seulement être sage, raisonnable, ce cantonner à ce qui est logique