Les Sincères Marivaux

vieux qui l'aura!), et la malédiction paternelle vient à la fin plutôt qu'au début. Cela ne prouve pas que les conventions sont inapplicables, car l'effet de cette pièce dépend en partie des attentes habituelles qui sont, justement, déjouées. Chez Marivaux, le vice moliéresque est souvent absent, ainsi que le père-obstacle, et tous les personnages sont sympathiques; dans Le Jeu de l'amour et du hasard le père renonce à son autorité et ne veut donner d'ordres que s'il les sait conformes à la volonté

CENTRES ÉTRANGERS SÉRIES TECHNOLOGIQUES Convaincre, persuader et délibérer 3 sujets 1   Objets d'étude : Théâtre, texte et représentation - Convaincre, persuader et délibérer. Corpus :  La déclaration d'amour Texte A - Marivaux : Le Jeu de l'amour et du hasard (1730), Acte III, scène 8 Texte B - Musset : On ne badine pas avec l'amour (1834), Acte III, scène 3 Texte C - Giraudoux : Intermezzo (1933), Acte III, scène 3.  I. Questions (6 points). Répondre aux deux questions : 1. En quoi la situation

Explication de texte n°1 : Acte I, scène 14La fausse confidenceIntroduction :Les fausses confidences est une comédie de Marivaux créée en 1737 pour les comédiens italiens (commedia dell’arte). Elle met en scène Dorante, un jeune homme charmant mais pauvre, et qui, de ce fait, va devoir monter un stratagème, avec la complicité de son ancien valet Dubois, afin de séduire celle qu’il aime : la riche veuve Araminte. Après avoir fait admettre Dorante en tant qu’intendant auprès d’Araminte

idéalisation de l’être aiméET – N°10 – Une Fortune dédaignée pour l’amour de Marton ?Fiche de RévisionLes Fausses Confidences – MarivauxIntroduction :Dialectique de l’œuvre : mariage d’amour vs mariage d’intérêt. Comédie d’intrigue - XVIIIème siècle – Marivaux – 2nd Préciosité. Rémy veut marier Marton et Dorante pour l’argent mais un meilleur parti s’offre à Dorante. Quiproquo car Remy pense que Dorante refuse ce projet par amour pour Marton, Dorante va entretenir le quiproquo, dénonciation des mariages

engagé, a mené une action publique, a risqué sa vie. Sa personnalité a suscité des images contradictoires : « Sceptique retiré dans sa tour d’ivoire, égoïste ou généreux, lâche ou courageux, ambitieux ou sage souriant, stoïcien ouépicurien, chrétien sincère ou libre-penseur masqué, catholique convaincu ou sympathisant de la Réforme, esprit serein ou mélancolique redoutant la folie ? Les portraits qu’on a donnés de Michel de Montaigne sont aussi divers que les interprétations des Essais. » La religion:

1840. Ce théâtre était tout à fait inconnu ou du moins oublié, lorsqu’en 1847 Mme Allan-Despréaux, qui avait joué à Saint-Pétersbourg, avec le plus grand succès, Un Caprice, le fit admettre à la Comédie-Française. Ce fut une révélation. « Depuis Marivaux, écrivait Théophile Gautier, il ne s’est rien produit à la Comédie-Française de si fin, de si délicat, de si doucement enjoué que ce chef-d’œuvre mignon enfoui dans les pages d’une revue et que les Russes de Saint-Pétersbourg, cette neigeuse Athènes

ou social. De même, le roman commence à devenir un genre apprécié et souvent utilisé par les auteurs. Ainsi, un sujet de société revient fréquemment au XVIIIème siècle : il s’agit de la position de la femme dans la société mondaine. De même que MARIVAUX dans ses pièces de théâtre, le militaire Choderlos de LACLOS écrit son premier roman épistolaire Les liaisons dangereuses où il met en scène une femme de la noblesse, très libertine et qui revendique sa liberté de choix et amoureuse, bien qu’auprès

1840. Ce théâtre était tout à fait inconnu ou du moins oublié, lorsqu’en 1847 Mme Allan-Despréaux, qui avait joué à Saint-Pétersbourg, avec le plus grand succès, Un Caprice, le fit admettre à la Comédie-Française. Ce fut une révélation. « Depuis Marivaux, écrivait Théophile Gautier, il ne s’est rien produit à la Comédie-Française de si fin, de si délicat, de si doucement enjoué que ce chef-d’œuvre mignon enfoui dans les pages d’une revue et que les Russes de Saint-Pétersbourg, cette neigeuse Athènes

début   des  Champs  magnétiques  de  Breton  et  Soupault.   Page 7 sur 8      4) Vérité   de   la   parole   théâtrale  :   Une   parole   mensongère   produit   la  vérité  (Marivaux)     Dubois   manipule,   ment,   mais   cela   permet   à   la   vérité   du   sentiment   amoureux   de   se   faire   jour   et   de   triompher.   Araminte   se  ment  à

L'obstacle que rencontre le projet de mariage d'Arnolphe à partir de cette didascalie consiste donc en une délicate et problématique rivalité amoureuse. L'affrontement entre le barbon et le jeune blondin se complique en plus de relations antérieures de sincère amitié. Le thème de la précaution inutile, base dramatique de L'École des femmes, est introduit. La souffrance d'Amolphe s'exprime en deux registres distincts : abasourdissement, consternation (bribes, apartés). Les confidences et le récit d'Horace