Les Souffrances Du Jeune Werther Nature

l'amant). De retour à Francfort, il compose sa première comédie, Les Complices, qui évoque ses souvenirs de Leipzig. En 1770, il poursuit ses études de droit à Strasbourg, où il découvre Shakespeare, Homère, la profonde harmonie qui existe entre la nature et la création artistique, et la présence de Dieu dans l'évolution de l'Univers. L'influence de Jean-Jacques Rousseau est sensible dans les Poésies qu'il dédie à Frédérique Brion, un amour platonique. Très impressionné par le gothique de la cathédrale

auparavant. Je forme une entreprise qui n'eut jamais d'exemple et dont l'imitation n'aura point d'imitateur. Je veux montrer à mes semblables un homme dans toute la vérité de la nature ; et cet homme ce sera moi. Rousseau, Les Confessions, 1765-1770 De même, il célèbre la solitude de l'âme et offre une vision de la nature qui annonce les grands textes romantiques. « Les rives du lac de Bienne sont plus sauvages et romantiques que celles du lac de Genève, parce que les rochers et les bois y bordent

commises pendant sa jeunesse ? Ce roman méconnu, contient le talent littéraire de Flaubert. Il est à la hauteur des chefs-d’œuvre romantiques de son siècle tel que Paul et Virginie (Bernardin de Saint-Pierre), René (Chateaubriand), Les Souffrances du jeune Werther (Goethe) et Don Juan (Lord Byron). (Court résumer du plan) Dès les premières pages, on ressent l’importance de l’exaltation du « moi ». À tel point que le personnage principal et le narrateur sont mêlés de manière à ne faire qu’un. Novembre

Musset René, Atala, Chateaubriand Nerval Lamartine, Les méditations poétiques Hugo, Les contemplations Goethe, Les souffrances du jeune Werther = héros qui incarne le mal du siècle Refuse les règles classiques épuisées, veut donner une nouvelle place au poète. Cependant romantique assez classique quand même. Refuse un monde matérialiste, recherche de communion avec la nature. * La poésie engagée Victor Hugo : porteur des problèmes de la société, mage, visionnaire, fonction de parler pour

(Nietzsche) 8 3. La nature conservatrice des pulsions (Freud) 8 4. Le plaisir de se perdre 8 Conclusion : l’indétermination du désir 9 II. Le désir de l’autre 10 A. Le désir mimétique (Spinoza) 10 B. Le désir triangulaire (René Girard) 11 C. Le désir du désir de l’autre (Hegel) 12 III. Le désir est-il manque ou excès ? 13 A. Le désir comme manque 14 1. Le désir est manque (Platon) 14 2. Le désir est fuite de la souffrance (Schopenhauer) 15

Napoléon qui est au pouvoir puis c’est Louis-Philippe Ier au pouvoir. III- Caractéristiques du mouvement 1) Le romantisme revendique une sensibilité nouvelle reposant sur la glorification du sentiment, le goût pour le passé, le rêve et la nature. Il s'oppose ainsi au goût et à la tradition classique. Il y a un rejet du rationalisme et du classicisme. Ces principes visent à libérer la littérature. 2) Les objectifs du mouvement sont de transgresser les règles classiques, d’être de leur

siècle, Chateaubriand, dans Les mémoires d'outre tombe ou dans René, évoque déjà l'insatisfaction des futurs romantiques. Mais ceux ci voient plutôt Goethe (écrivain et poète allemand, 1749-1832) comme leur père spirituel et considèrent Les souffrances du jeune Werther (1774) et Les affinités électives (1809) comme de purs chefs d'oeuvres romantiques. 2. Définition Pour le définir, nous dirons donc, en somme, que le romantisme est un mouvement littéraire où domine le lyrisme, qui connut son

Cette liberté se manifeste dans les thèmes d'inspiration, mais aussi à travers les différents genres littéraires : le drame romantique, la poésie romantique et le lyrisme. Le Romantisme est caractérisé par : l'expression du « moi », le refuge dans la nature, la solitude et l'évasion dans le rêve. Plus précisément, plusieurs générations peuvent être distinguées. Celle des préromantiques, avec Rousseau, Bernardin de Saint-Pierre, Mme de Staël, Senancour, Benjamin Constant et Chateaubriand : la sensibilité

L’agressivité introjectée (Nietzsche) 8 3. La nature conservatrice des pulsions (Freud) 8 4. Le plaisir de se perdre 8 Conclusion : l’indétermination du désir 9 II. Le désir de l’autre 10 A. Le désir mimétique (Spinoza) 10 B. Le désir triangulaire (René Girard) 11 C. Le désir du désir de l’autre (Hegel) 12 III. Le désir est-il manque ou excès ? 13 A. Le désir comme manque 14 1. Le désir est manque (Platon) 14 2. Le désir est fuite de la souffrance (Schopenhauer) 15 3. Le désir est second par rapport

l’influence de Rousseau, qui laisse libre court à la sensibilité, aux élans du cœur et à l’appel de la nature (Julie ou la Nouvelle Héloïse, Les Rêveries du Promeneur Solitaire). Il fut d’ailleurs un des premiers à employer l’adjectif «romantique». Le romantisme est né en Angleterre et en Allemagne vers 1795, mais déjà une sensibilité nouvelle s’exprimait avec les œuvres de Rousseau ou le Werther de Goethe (1774). Au début du XIX siècle, en France, Chateaubriand et Mme de Staël annoncent aussi le