Les Souffrances Du Jeune Werther Nature

tous d’abords du romantisme allemand, où il est issu d’une réaction contre la rationalité et l’universalisme des lumières ainsi que l’hégémonie de la France. Roman majeur : Les Souffrances du jeune Werther, par Goethe. Extrait 1 Les pré-romantiques français : Jean-Jacques Rousseau ( Les confessions 1770), rapport à la nature, recherche du « moi » Les  « romanciers du moi » : Mme de Staël, Benjamin Constant, Etienne Pivert de Senancour, Châteaubriand L’égotisme est un mot qui définit bien les romanciers

XIX) poésie. Alphonse de Lamartine du recueil Médita° poétiques. Poète réfléchît sur ses faiblesses envers le tps. Lac= passerelle entre bonheur perdu et poète (lien entre passé et présent). Poème romantique car thèmes : -amour, expr° du « moi », nature, mélancolie, nostalgie. Le Horla : (1887-XIX) nvelle fantastique. Guy de Maupassant. Perso= homme dt on ne connait pas physique ms mental, sentiments … . Thème : folie. Cadre s-t : en face de la Seine. Commence un matin 8 mai. Passage du perso au

mort La structure kamikaze du désir L'agressivité introjectée (Nietzsche) La nature conservatrice des pulsions (Freud) Le plaisir de se perdre L'indétermination du désir Le désir de l'autre Le désir mimétique (Spinoza) La structure triangulaire du désir (René Girard) Le désir du désir de l'autre (Hegel) Le désir est-il manque ou excès ? Le désir comme manque Le désir est manque (Platon) Le désir est souffrance (Schopenhauer) Le désir est second par rapport à la pensée (Aristote) Le désir

leur reste en se satisfaisant par les passions lyriques et les aventures romanesques des livres. Quelques écrivains de la fin du XVIIIe siècle, William Blake et les écrivains allemands du Sturm und Drang, parmi lesquels le Goethe : Les Souffrances du jeune Werther (1774) et le Schiller, qui publie Les Brigands (1781), sont considérés comme des précurseurs du Romantisme. On peut aussi nommé Jean-Jacques Rousseau au XVIIIe siècle (avec Julie ou la Nouvelle Héloïse, les Rêveries du promeneur solitaire

comme les Nuits (1742) de Young, les Confessions (1781-88) et les Rêveries d'un promeneur solitaire (1782) de Jean-Jacques Rousseau ou le Werther (1774) de Goethe. Au tout début du 19e siècle, en France, Chateaubriand (1768-1848) et Mme de Staël (1766-1817) annoncent aussi le romantisme, l'un par son goût pour l'introspection et l'autre par sa curiosité envers la jeune littérature allemande, mais ce n'est que vers 1820 que le courant romantique s'impose en France. À partir de 1827, année où Hugo fonde

sentiments, ses états d’âmes ===> Culte du « Moi ». Cette jeunesse idéalise les grands hommes et en particulier Napoléon 1er. Cette jeunesse trouve dans la nature une traduction de ses états d’âmes (nature mélancolique de l’automne, nature éternelle face à l’homme éphémère, nature tourmentée et violente à l’image de leurs tourments intérieurs). La nature offre à l’homme un reflet de qui il est. Les romantiques expriment le désarroi de leur passion intérieur à travers le registre lyrique.

mais c’est avant tout un mouvement de contestation mené par la jeunesse. De nombreux romans vont émerger de ce mouvement, mais c’est le roman « Les souffrances du jeune Werther » de Goethe qui va le rendre immédiatement célèbre. Le mouvement s’inspire beaucoup de Jean-Jacques Rousseau et de William Shakespeare. Ses thèmes sont souvent rattachés à la nature qui apparaît comme forme de liberté et lieu privilégié pour toutes les émotions. Dès lors, trois grandes périodes vont rythmer le romantisme

signifie en français « Tempête et élan » est un mouvement à la fois politique et littéraire essentiellement allemand de la deuxième moitié du XVIIIème siècle. De nombreux romans vont apparaître avec ce mouvement, mais c’est le roman Les souffrances du jeune Werther de Goethe qui va le rendre immédiatement célèbre.  Nous le retrouverons en Angleterre (Byron, Coleridge, W. Scott) où le romantisme apparaît dans les dix dernières années du XVIIIème siècle notamment avec les œuvres de James Thompson

Sturm und Drang, parmi lesquels le Goethe des Souffrances du jeune Werther (1774) et le Schiller des Brigands (1781) sont considérés comme des précurseurs du Romantisme, des « préromantiques », pour reprendre un terme inventé par la critique au début du XXe siècle. Il y a déjà, en effet, dans les œuvres de Rousseau comme dans celles de Senancour, les premières expressions d'un des aspects les plus importants du romantisme : le sentiment de la nature, exprimé comme une extase fondée sur la ressemblance

auparavant. « Je forme une entreprise qui n'eut jamais d'exemple et dont l'imitation n'aura point d'imitateur. Je veux montrer à mes semblables un homme dans toute la vérité de la nature ; et cet homme ce sera moi. » (Rousseau, les Confessions) De même, il célèbre la solitude de l'âme et offre une vision de la nature qui annonce les grands textes romantiques. « Les rives du lac de Bienne sont plus sauvages et romantiques que celles du lac de Genève, parce que les rochers et les bois y bordent l'eau