Les Souffrances Du Jeune Werther Nature

appartiennent aux deux familles rivales. Une épidémie de peste empêche le messager du frère Laurent de porter sa lettre à Roméo, et seule la nouvelle de la mort de Juliette parvient jusqu'à lui. Il revient à Vérone résolu à mourir sur la tombe de sa jeune épouse. C'est là qu'il croise le comte Pâris, qui le provoque en duel et se fait tuer. Roméo entre dans la crypte et fait ses adieux à Juliette avant d’avaler une fiole de poison. Le frère Laurent découvre horrifié son corps sans vie. Juliette se réveille

les romantiques grâce à ces comédies romantiques , il fut l'un des premier. C'est un nouvelle art inconnu. Coethe est considéré comme l'un des premiers auteurs romantiques durant le XVIIe siècle, ces principales œuvres sont « Les Souffrances du jeune Werther (1774); Les Années d'apprentissage de Wilhelm Meister (1796); Les Affinités électives (1809); Pygmalion (1767); Prométhée (1774); Der König in Thule (1774). Ce mouvement en France est au début du XIXe siècle, correspond au début

forcément découverte sans ces difficultés. D’ailleurs, on trouve des exemples dans la vie de Goethe, l’auteur de cette phrase qui était destiné par son père à une vie de droit et qui suite à une déception amoureuse écrit son premier roman (les souffrances du jeune Werther) qui fit de lui un des auteurs les plus connus de l’époque. Quand on est face à des difficultés, ou des pierres qui entravent le chemin, plusieurs possibilités s’offrent à nous : soit on les évite, soit on enlève les pierres, soit on fonce

l'importance nouvelle accordée à la sensibilité. C'est le vicaire qui parle et s'adresse a un jeune protestant désorienté qui n'est autre qu'un double de Rousseau. |Rousseau, Les Rêveries, II|, 1782: Seconde couvre autobiographique de Rousseau, faisant suite aux Confessions, Les Rêveries sont divisées en dix « promenades » où le narrateur évoque sa passion d'herboriser et le plaisir qu'il éprouve au contact d'une nature en accord profond avec sa sensibilité. |Rousseau, Les Rêveries, V|, 1782: Rousseau

auteurs comme Victor Hugo (1802-1885), Alfred de Musset (1810-1857) et Alphonse de Lamartine (1790-1869). Il né en Angleterre au XVIIème , de l'adjectif romantic qui désigne un état d’âme en accord avec la nature. En Allemagne, c'est Goethe qui célèbre aussi l'osmose de l'homme et la nature. Au XVIIIème, le mot prend sa valeur péjorative, qui sous l’influence de l’anglais romantic qualifiait les paysages pittoresques. En 1810 Mme de Staël lui donne sa signification littéraire : ce qui s’écarte

rattachera à la nature, mais une nature déchainée (tempête, vents violents, arbres soufflés…). Un exemple avec Edward Young qui a écrit « Complaintes : Pensées nocturnes sur la vie, la mort et l’immortalité » très tourmenté et mélancolique. 1760 : Ossian, qui a écrit « Fragments de poésie ancienne recueilli dans les montagnes d’Ecosse et traduite du gaëlique et de l’Erse » bien que fausse (le véritable auteur s’appelle James Mac Pherson) introduira l’essentiel du romantisme (nature déchainée, brouillard

romantique dans sa quête pour s’échapper du monde dans lequel il se sent confiné. Le héros romantique est donc est un héros qui souffre, mais qui accepte cette souffrance, et parfois même, la recherche. Dans Les Souffrances du jeune Werther (1774) de Johann Wolfgang von Goethe, le personnage principal décrit par une antithèse, cette souffrance comme une source de bonheur, car elle lui fait entrevoir une autre dimension du monde qui l’entoure. Il commence à décrire un monde de rêveries, et le catégorise

au sein de la nature. De son coté, Diderot réclamait une poésie fondée sur la mélancolie des ruines, l’émotion des ténèbres et le silence de la nuit. Influencée par la littérature allemande ou anglaise, une génération d’écrivain expriment au début du XIV les passions qui agitent les plus secrètent partie du cœur. Mouvement littéraire qui l’a précédé : Le romantisme a été précédé par le rationalisme des Lumières qui évoquait l’exploration des passions et la communion avec une nature riche et mystérieuse

désir C.2. L'agressivité introjectée (Nietzsche) C.3. La nature conservatrice des pulsions (Freud) C.4. Le plaisir de se perdre D. L'indétermination du désir II. Le désir de l'autre A. Le désir mimétique (Spinoza) B. La structure triangulaire du désir (René Girard) C. Le désir du désir de l'autre (Hegel) III. Le désir est-il manque ou excès ? A. Le désir comme manque A.1. Le désir est manque (Platon) A.2. Le désir est souffrance (Schopenhauer) A.3. Le désir est second par rapport à la

kamikaze du désir 2.L'agressivité introjectée (Nietzsche) 3.La nature conservatrice des pulsions (Freud) 4.Le plaisir de se perdre 4.L'indétermination du désir 2.Le désir de l'autre 1.Le désir mimétique (Spinoza) 2.La structure triangulaire du désir (René Girard) 3.Le désir du désir de l'autre (Hegel) 3.Le désir est-il manque ou excès ? 1.Le désir comme manque 1.Le désir est manque (Platon) 2.Le désir est souffrance (Schopenhauer) 3.Le désir est second par rapport à la pensée