Les Souhaits De La Fontaine

« Les Animaux malades de la peste » de Jean DE LA FONTAINE | | | |Un mal qui répand la terreur, |Ce pelé, ce galeux, d'où venoit tout leur mal. | |Mal que le Ciel en sa fureur |Sa peccadille fut jugée un cas pendable. | |Inventa pour punir les crimes de la terre, |Manger l'herbe d'autrui ! quel crime abominable ! | |La Peste

épisondes). COURT (( du Roman) Sous forme : Allégorique (les personnages symbolisant vices et vertus). Les vers en prose, qui vise à illustrer un précepte, une leçon, une morale. • Fable (( Fabula = récit mensonger. La morale des fables de La Fontaine peut-être explicite, ou simplement suggérée par le récit, (exemple : La Cigale et la Fourmi, Le chêne et le roseau, …). Quand elle est explicite, la morale n’est pas toujours placée à la fin de la fable : Le Loup et l’Agneau : « La raison du plus

une forme d’argumentation particulièrement efficace ? » L’apologue, bref récit imagé illustrant une morale, est pratiqué par de nombreux auteurs soucieux de convaincre leurs lecteurs en recourant à cette forme littéraire plaisante et efficace. La Fontaine y voit par exemple le moyen d’instruire sans lasser : « Une morale nue apporte de l‘ennui ; le conte fait passer le précepte avec lui », de même que Charles Perrault, qui prétend illustrer une morale à l’aide de ses contes, des « bagatelles » certes

forme d’argumentation particulièrement efficace ? » L’apologue, bref récit imagé illustrant une morale, est pratiqué par de nombreux auteurs soucieux de convaincre leurs lecteurs en recourant à cette forme littéraire plaisante et efficace. La Fontaine y voit par exemple le moyen d’instruire sans lasser : « Une morale nue apporte de l‘ennui ; le conte fait passer le précepte avec lui », de même que Charles Perrault, qui prétend illustrer une morale à l’aide de ses contes, des « bagatelles » certes

Fiche de présentation de la séance 3 Niveau : Tronc commun Activité : Lecture analytique Support : « Les obsèques de la lionne » de Jean de la Fontaine. Durée : 2h Compétences visées : -Etre capable de faire une lecture expressive -Reconnaitre les caractéristiques du genre de la fable -Initier les élèves à quelques éléments de la versification. -Comprendre la morale de

attirent le lecteur en le transportant dans un monde merveilleux. La fiction entraîne l'identification avec un des personnages. Il s'attache aux personnage et vibre avec émotion au gré de leurs aventures comme on s'attache au Loup avec Jean de La Fontaine. Les spectateurs pleurent au théâtre comme avec Dom Juan. C'est pourquoi quand le lecteur s'attache a un personnage, il adhère à sa conception du monde, il est donc inconsciemment sous son influence. L'influence peut être parfois si forte qu'elle

Explication « Les deux Pigeons », Les Fables, La Fontaine, 1668-1694 Introduction Dans cette fable, La Fontaine s’attache à montrer le sentiment tendre qui unit deux pigeons avant que l’un deux, cédant au bout de l’aventure, ne s’envole vers des horizons lointains. L’auteur relate les périls auxquels ce dernier manque de succomber et les effusions qui consacrent son retour au logis, avant de se livrer à une confidence empreinte de regrets. La Fontaine inverse sa pratique ordinaire puisque c’est

connivence par le rappel du traitement du même sujet dans une autre fable : Le Souriceau, le cochet et le chat ». La Fontaine évoque un lien avec son lecteur dans la durée : « Jadis », « à présent ». Complicité culturelle : « nous », »on connaît les premiers » : le lecteur connaît aussi Socrate, Esope et Marc-Aurèle, projection dans le texte d’un destinataire lettré. En bon classique, La Fontaine s’abrite derrière des auteurs antiques et puisent ses exemples dans sa culture : arguments d’autorité : Socrate

pas destinée à d’autre forme d’écrits que la comédie. La comédie a pour but principal la distraction du public. Or, dans Les Fables de la Fontaine par exemple, nous retrouvons une critique des hommes contemporains à l’auteur. L’allégorie ou la personnification dans ces fables permet à La fontaine de brosser le portrait des membres de la société qu’il souhaite ridiculiser. Dans le Corbeau et le Renard, il se moque des flatteurs, c’est à dire les courtisans qui ne tarissent pas d’éloge à l’égard du

le récit attractif et distrayant. Certains auteurs ont rendu leurs écrits moins ennuyeux par l’usage de la caricature comme par exemple la Fontaine et ses animaux représentatifs des caractères et personnages bien définis par leur dire et leurs faits. « Le Renard et le Bouc » tiré des Fables est notable par le goupil rusé et le crédule caprin. La Fontaine fait donc passer un message, dans cette fable celui de se méfier des individus que l’on rencontre et qui nous entoure, tout en distrayant son