Les Souhaits La Fontaine

qui font qu’au 3eme jour de son arrivée dans sa nouvelle maison, la mariée se rende à la fontaine du village avec une cruche d’eau pour accomplir un rituel qui devra la consacrer au rang de « tametuth » (femme mariée). Lors de son arrivée à la fontaine cette nouvelle mariée devra puiser de l’eau avec cette cruche et verser à boire à un enfant, principalement un garçon, symbole du nouveau né tant souhaité par sa nouvelle famille. Les faits et gestes de la nouvelle mariée seront épiés par des

à travers lui durant sa « fable », a montré au peuple qu’il ne tient pas compte du péril qui le menace. De plus courts passages peuvent aussi attirer l’attention du lecteur tels que le vers 9 « Il fit parler les morts », chose invraisemblable, La Fontaine utilise dans cette expression une hyperbole désignant la force et la violence avec laquelle l’orateur défend sa thèse ainsi qu’au vers 15 « Que fit le harangueur ? Il prit un autre tour ù*», vers qui annonce le changement de technique de l’orateur

Apologue : petit récit qui vise essentiellement à illustrer une leçon morale La fable est un court récit en vers ou en prose qui vise à enseigner une morale, dont La Laitière et le Pot au lait est typique. Jean de La Fontaine est un auteur français du courant classique. Il est notamment connu pour ses Fables , qui donnent des leçons de vie, et dont les personnages sont principalement des animaux. Publié en 1678 dans le livre VII des

 Collège « La Fontaine du Roy » 2, rue de Marnes 92410 Ville d’Avray GUILLOU Claire, 3ème4 4UATRE 3 rue de la Rochefoucauld Paris 9ème Date de remise au Professeur Principal : Note obtenue : Observations du correcteur : Collège « La Fontaine du Roy » 2, rue de Marnes 92410 Ville d’Avray

Henri Deplat 5 rue Fontaine 64000 PAU Tél.: 00-00-00-00-00 Fax: 00-00-00-00-00 E-mail@00000 Monsieur ,Pierre Sénéchal 45 ,rue Pasteur 64000 PAU Pau ,le 30 Mars 2001 À l’attention de Pierre lahut Objetde la demande : Candidature à un emploi d’ouvrier horticole Notre dernière rencontre, en août 1995, m’avait permis d’enrichir ma formation d’une expérience exceptionnelle, grâce à une année de stage passée sur le domaine de Chateau

langue française, la poésie a pour fonction d’enrichir le vocabulaire et donc d’enrichir la langue. Elle doit s’inspirer des meilleurs écrivains grecs et latins mais ne doit pas être une copie ou une imitations du travail de ces écrivains. Du Bellay souhaite faire de la langue française une langue élégante et digne. L’art poétique au XIXème siècle selon Paul Verlaine Pour Paul Verlaine la poésie doit être chantée. Le rythme des vers, la sonorité des mots et des rimes doit servir à mettre le poème

déplacements : « Lève-toi, et approchons-nous de cette fontaine », ses ordres sont d’ailleurs appuyés par l’impératif employé. C’est également lui qui détermine chaque geste et accessoire nécessaire à la mise en scène : « il lui pose sa chaîne sur le cou » (ligne 13) ; « il jette sa bague dans l’eau » (ligne 18). Mais le jeune homme remplit également une fonction d’acteur car joue le rôle de l’amoureux transi auprès de Rosette et qui souhaite passer sa vie à ses côtés. Camille est quant à elle spectatrice

dépérir et mourir. A l’endroit où on vient retirer son corps, on aperçoit des fleurs blanches portant aujourd’hui son nom. Narcisse est ici représenté comme un jeune homme richement vêtu, à genou, prenant appui sur les mains pour s’admirer dans la fontaine. La scène est plongée dans un violent clair-obscur, caractéristique du style du Caravage. ANALYSE : Narcisse cherche son reflet dans l’eau, il est en quête de son identité, mais l’image est floue, insaisissable. Narcisse ne peut se voir tel

Introduction: La Fontaine a écrit deux recueils de fables qui sont divisés en livres. Le premier a été publié en 1668, c’est une dédicace au Dauphin et le deuxième en 1678. La fable prête à l’animal les qualités et les défauts de l’homme et le monde animal crée par La Fontaine est la représentation de la société du 17ème siècle. Cela lui permet d’éviter la censure. La Fontaine peint l’homme de façon pessimiste et critique le roi et sa cour. Ici, il s’agit de Les Animaux malade de la peste

| |Je me dévouerai donc, s'il le faut: mais je pense | |Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi: | |Car on doit souhaiter, selon toute justice, | |Que le plus coupable périsse. | |- Sire, dit le renard, vous êtes trop bon roi;