Les Souhaits La Fontaine

Pierre Corneille 1606-1684 Qu'est ce que le classicisme ? Dans l’histoire littéraire Française, l’époque classique se limite à la période du règne de Louis XIV. Cette période est illustrée par Molière, La Fontaine, Boileau, Racine, Bossuet et La Bruyère. Les caractéristiques du classicisme sont l'admiration des anciens (humanistes), la rigueur de la composition, la recherche de naturel et du vraisemblable, le goût de la juste mesure, la finesse de l’analyse

l'injustice avec « le loup et l'agneau » de La Fontaine qui dénonce la justice, contre la guerre avec « le dormeur du val » de Arthur Rimbaud. Les poètes du XX ème siècle comme Aragon et Paul Eluard sont particulièrement d'accord avec cette idée du devoir de s'engager. Le poète engagé est un peu comme le porte parole de la société , il est celui qui voit peut être mieux les inégalités et souffrances des hommes , en utilisant l’outil poétique , il souhaite amener le lecteur à une prise de conscience

ancien français. La Fontaine a alors écrit à son tour Les Deux Coqs qui est davantage accessible et simple à lire. Mais aussi dû au fait qu’elle soit écrite à une différente époque, la raison de cette écriture est différente. (Alinéa) De plus, la réécriture est un texte unique en soi. C’est une touche de nouveauté. En s’inspirant d’un même fond la réécriture a une forme différente. Prenons l’exemple de la fable en prose de Phèdre Le loup et l’agneau réécrit en vers par La Fontaine. Celle-ci étant

conteur, Jean de la Fontaine a surtout marqué l’histoire par ses Fables. Auteur prolifique, il a vécu de sa plume grâce à la vente de ses recueils mais également en se plaçant toute sa vie sous la protection financière de plusieurs protecteurs. Son œuvre fut alors très appréciée de la Cour de Louis XIV. Elle occupe aujourd’hui une place de choix dans le patrimoine culturel français et certains préceptes des fables font même partie de la sagesse populaire. En 1668, La Fontaine publie son premier recueil

de la Fontaine se concentre sur le fonctionnement de la société qu’il ne cesse de critiquer. Dans « La Cour du Lion », le roi et ses courtisans sont dénoncés car ils sont sans valeur : ils sont respectivement égoïste et hypocrites. On voit donc que a poésie doit décrire le monde tel qu’il est, tout en abordant des sujets noirs. En plus de se poser des questions, le poète est souvent déconnecté des réalités et incompris. Il ressent le besoin d’exprimer ses sentiments. Il souhaite pénétrer

paroles que… », « la Princesse lui promit sur lechamp », « Dès le lendemain, les noces furent faites » ; etcomme dans un conte, ce sont les noces qui concluent le récit.-La présence de la magie, qui passe par les souhaits : « si vousm’aimez assez pour souhaiter que cela soit », « je souhaite detout mon cœur… » ; e caractère redondant et quasi réversibledes propos échangés dans le dialogue donne un effet derépétition que l’on peut rapprocher de la formule magique3° Un narrateur présent et actif -le présent

Jean de LA FONTAINE (1621-1695) Fils d’un maître des eaux et forêts et d’une Françoise Pidoux de très bonne famille, il passa à Château-Thierry, ville somnolente de Champagne, une jeunese insouciante. À l’âge de vingt ans, il entra, à Paris, dans une des plus sévères congrégations religieuses, l’Oratoire. Cependant, au lieu de la Bible, il y lut “L’astrée” d’Honoré d’Urfé, roman pastoral peuplé de bergers amoureux qui était le best-seller de l’époque. À Paris, il découvrit les jolies femmes,

« La Laitière et le Pot au lait », VII, 10 « Le Curé et le Mort », VII, 11 Fables, La Fontaine Commentaire comparatif Eléments de l’introduction · La Fontaine, XVIIè siècle. Auteur français, célèbre en tant que fabuliste. · Fables, 1668-1694 ; 12 livres, dédiés à divers grands personnages (le Dauphin, Mme de Montespan…) ; portée morale et éducative, grâce à la transposition dans le monde animal. · Fables « La Laitière et le Pot au lait », « Le Curé et le Mort » ; successives, début du livre

TEXTE B : La Fontaine, Fables, Livre VII - Fable 1 « Les Animaux malades de la Peste » Un mal qui répand la terreur, Mal que le ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La Peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom), Capable d'enrichir en un jour l'Achéron, Faisait aux animaux la guerre. Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés : On n'en voyait point d'occupés A chercher le soutien d'une mourante vie ; Nul mets n'excitait leur envie, Ni Loups ni Renards n'épiaient

miroir, de l’attitude de Lindamor envers Galathée qui se montre aussi rude qu’Astrée avec lui alors qu’il en reste amoureux.Récit de Ligdamon et de Silvie. Leonide doit convaincre son amie de sauver Ligdamon de la mort en lui écrivant qu’elle ne la souhaite pas. Le débat est vif car Sylvie ne dit avoir rien fait pour attiser son amour sinon que d’exister. Au final, elle finit par envoyer une lettre le sommant de vivre. Suit le récit de Guyemant, lui aussi amoureux de Sylvie mais qui ne l’émeut pas non