Les Souhaits ridicules

premier en sujet, le deuxième en objet. -En entrelaçant le "je" et le "on/nous/", il fait de sa conception une vérité générale, "on" ayant une valeur universelle. De plus, le présent est ici de vérité générale: "la constance n'est bonne que pour les ridicules". -DJ considère donc sa conception comme justifiée, valable pour le plus grand nombre. B) La construction de l'argumentation et les types de phrases. - La tirade de Dom Juan tourne autour de deux foyers argumentatifs opposés: une argumentation

le théâtre. Cette attention place le théâtre au rang de grand art. Le théatre est idolâtré non seulement par Paris mais aussi par les provinces. Il touche « nos princes, les grands et le peuple ». les mots « entretien, divertissement le plus doux, souhait, délices, plaisir, douceur » montrent que les qualités du théâtre sont mises en avant par les bons esprits. La valeur de divertissement du théâtre ne peut être remise en cause car les grands et les gouvernements lui apportent de l’attention. Cette

vient de faire son apparition : il se base sur le fait que « tout est pour le mieux » dans le meilleur des mondes, et c’est le concept de la théorie de Leibniz, que Voltaire souhaite détruire en confrontant les personnages de son conte à toute sorte de mésaventures malchanceuses, de maux dus à la guerre et au fanatisme. Il utilise les éléments d’un conte traditionnel qu’il détourne en conte philosophique, et dévoile ses intentions

si bien qu'on l'apercevait à peine » et son embarras (l.11) « l'air raisonnable et fort embarrassé » sont les attitudes typiques d'un nouvel élève. Ici décrites, elles rendent le passage plus familier au lecteur et donc plus réaliste. Comme l'a souhaité l'auteur, le nouvel élève est mis en avant en étant observé et détaillé par les autres élèves. Sa description est en effet faite par le narrateur. Nous apprenons que le nouveau avait « une quinzaine d'années environ » (l.9), qu'il était « plus haut

particulièrement je m’efforce de plaire. » Plaire est la condition sine qua non du succès d’une pièce. Divertir : dans l’avant pièce, Molière justifie les raisons pour lesquelles il met toujours en scène des marquis ridicules dans ses pièces. : « il faut toujours un marquis ridicule qui divertisse la compagnie » Dés lors, le marquis devient le motif de divertissement par excellence Instruire : peindre les mœurs : les pièces de Molière s’inscrivent dans son siècle mais pour autant, il ne fait

page 5 La création des Femmes savantes à la Comédie-Française………………..…….. page 7 Les Femmes savantes : de la comédie au savoir comique…………………..……. page 9 Un défi poétique………………………………………………………………………. page 10 De l’attaque privée à la satire du ridicule « une pièce à clefs »………..……….. page 11 Une comédie mondaine sur l’accession des femmes au savoir……………….….. page 12 La philosophie comme « racine du comique »……………………………………. page 13 Bibliographie………………………………………………………………………….. page 14 Annexe

pour l’époque du cocuage. Molière y fixe les mécanismes de la comédie morale déjà élaborés avec L’Ecole des maris, élaborant la satire du ridicule causé par les délires de l’imagination. Arnolphe, vieux garçon autoritaire et confortablement installé dans sa vie précautionneuse a arrêté quatorze ans auparavant sa décision d’épouser Agnès qu’il a modelée à ses souhaits, comme Pygmalion l’avait fait avant lui. Assez vite il se présente comme le « cocu présomptif » de la classification de Charles Fourier

qui présente les caractères de la fille polie, de bonne volonté, soumise peu à peu à l'autorité du professeur. Comment se dialogue montre la domination du professeur ? Ainsi, dans une première partie, nous montrerons en quoi le prof est un perso ridicule et le rapport de force qu’il a sur l’élève. Puis dans une deuxième partie l'aspect comique de la scène. Cet extrait montre un professeur qui a l’autorité absolue.En effet le professeur n’interrompt pas sont cour malgré les nombreuse remarque de

exaspérée », ici une gradation, par un évènement peu important en temps normal, elle surréagit constamment et ne sait point se tenir en public. Elle tente de cacher ses manières familières en s’exprimant « gracieusement », mais il suffit qu’elle souhaite que l’attention se porte sur son produit, sa fille, et elle « crie ». Elle juge « affreux » de devoir abandonner la

partie d’humanité ridicule que l’auteur souhaite mettre en exergue. Et toute pièce montre des personnages, qu’ils soient humains, objets ou animaux, aucune à ma connaissance ne déroge à la règle. Le théâtre, c’est un zoo de l’homme, présentant des spécimens originaux. Ridicule, le mot est lâché. Nous rejoignons ici Pagnol. Le rire se fait au détriment du moqué. Pour nous rendre supérieurs ou remettre gentiment en place les valeurs constitutives de la société. En effet, le ridicule né d’une inadéquation