Les Suppliantes

et les indépendantes en rouge. Renart, auquel tout moyen de fuite était interdit, sent qu'il ne peut éviter le sort dont on le menace qu'en s'humiliant devant son redoutable ennemi. Il tombe à genoux, la queue entre les jambes, et dit d'un ton suppliant: "Oncle, il est usage en cour de barons d'offrir et prendre l'amende de ce qu'on a méfait. Vous pensez que j'ai méfait, dites donc quelle amende vous exigez de moi, et Dieu aidant, je vous satisferai." Le roman de Renart. 3. Relève les propositions

portes», «les chaînes» et «la clef». Question 4 :Documents 3 et 4: A quoi voit-on que le chevalier est de rang inférieur à sa dame? Dans le poème de Thibault le Chansonnier, il s’adresse à une dame, en la vouvoyant, lui déclare son amour en la suppliant et en se décrivant comme prisonnier de ses sentiments pour elle. Sur l'image, le chevalier est plus bas que la dame, elle le domine et l’entoure de ses bras. Question 5 : Document 5: Comment Siegfried séduit-il Brunhild? Siegfried séduit

l'île, Ulysse ne résiste pas au plaisir de révéler son vrai nom pour railler Polyphème. Celui-ci, fou de rage, jette plusieurs rochers en direction du navire, et manque de peu de le broyer, puis réclame vengeance auprès de son père Poséidon, en le suppliant de faire en sorte qu'Ulysse ne rentre jamais au pays, ou bien, si le destin doit le lui permettre, qu'il ne rentre chez lui qu'après de longues souffrances, sur un vaisseau d'emprunt, privé de tous ses compagnons, et qu'il ne trouve chez lui que

nous analyserons l'appel à la tolérance. I. Une prière adressée à Dieu : -Le titre : " prière à Dieu " - s'adresse à Dieu " c'est à toi, Dieu " (l. 3 ). - Reprise anaphorique : reprise du pronom « toi » (3 premières lignes ). - Formules suppliantes : " s'il est permis à " (l.2 ). - Dieu et ses qualités : " Dieu de tous les êtres " (l.1 ) : Dieu universel pour tout le monde. " Dieu de tous les temps " (l. 2 ) : Dieu éternel. - Une demande d'aide : " fais que nous nous aidions mutuellement

Madame de faire un détour , qu’elle accepte . C’est alors que Monsieur amène Madame dans une ruelle isolé des regards indiscrets , ( Edouard jouant la scène ) sort son couteau et menace sa femme , qui s’est mise à genoux pleurant , gémissant , le suppliant d’arrêter et de lui épargner la vie . Celui ci refusant , assassine son épouse gisant dans son sang - Maintenant , si vous avez bien compris répétons je vous pris et voyons comme cela ira .

en Phéacie. Chants 6 à 8 Au bord de la rivière où elles sont allées lavés le linge. Nausicaa et ses suivantes tombent sur Ulysse qui n’a plus figure humaine. Les servantes prennent peur et s’enfuient. Seule Nausicaa reste et écoute la parole suppliante d’Ulysse. La jeune fille décide de lui apporter son aide( chants 6). Ulysse est ébloui par le faste du palais d’Alcinoos. Les Phéaciens, émus par le discours d’ulysse , lui offre leur hospitalité ( 8). Après une nuit de repos, Ulysse est l’invité

ce qu’il se passait alors qu’elle s’approchait de plus en plus prés. Elle vit un officier de police en uniforme, ainsi que le maire du village et beaucoup d’autres gens réunis à un endroit, tous immobiles. Elle s’avança, puis les regarda d’un air suppliant et baissa les yeux. Elle aurait voulu parler, mais aucun son ne pouvait sortir de sa bouche. Son visage devenait pâle et se crispait. Elle serrait les dents, ses poings, et leva alors les yeux au ciel. Elle fit un malaise, se retrouva au sol, comme

sevi, satum : semer, engendrer; is, ere, ui, sertum : unir, attacher sine, prép. : + Abl. : sans sponte, inv. : d'après la volonté de quelqu'un (mea, tua, sua -) stillo, as, are : tomber goutte à goutte sum, es, esse, fui : être supplex, plicis : suppliant suus, a, um : adj. : son; pronom : le sien, le leur tellus, uris, f. : la terre, sol, terrain, pays tepeo, es, ere : être tiède timeo, es, ere, timui : craindre tuba, ae, f. : la trompette turba, ae, f. : la foule, le désordre, le trouble, l'émoi

J-C). Les Perses (472 av. J-C) Les Sept Contre Thèbes (467 av. J-C) Les Suppliantes (464 av. J-C) L’Orestie (458 av. J-C) Promethée Enchaîné ( ? av. J-C) Euripide (480 av. J-C - 406 av. J-C). Alceste (438 av. J-C) Médée (431 av. J-C) Les Héraclides (430 av. J-C) Hippolyte Porte-Couronne (428 av. J-C) Andromaque (426 av. J-C) Hécube (424 av. J-C) La Folie d’Héraclès (424 av. J-C) Les Suppliantes (424 av. J-C) Ion (418 av. J-C) Les Troyennes (415 av. J-C) Iphigénie

service de la cité. Car il y a, dans le théâtre d'Eschyle, une vivante ardeur civique. Plus encore que dans Étéocle, elle rayonne chez Pélasgos, le roi qui assume, dans Les Suppliantes, la protection des jeunes filles poursuivies par leurs ravisseurs. Il a le respect des dieux et souhaite remplir son devoir envers les suppliantes ; mais il a aussi le souci de sa cité. Il ne veut pas la mettre en péril et, malgré les objurgations dont il est l'objet, il exige de la consulter. Aussi représente-t-il la