Les Suppliantes

intro Ce document est un extrait d'une tragédie d’Euripide , les Suppliantes. Il s’agit d’un dialogue entre Thésée, héros athénien mythique et un Héraut thébain, messager d'une ville rivale d'Athènes. Euripide (480-406 avant Jésus Christ) est l’auteur de nombreuses tragédies, ce texte a été publié en 422 avant J-C Le pretexte de ce dialogue est politique, les deux intervenants comparent les institutions de leur cité d'origine. A cette époque la Grèce est divisée en cités indépendantes, possédant

Démodocos : De tous les hommes de la terre, les aèdes méritent les honneurs et le respect, car c’est la Muse, aimant la race des chanteurs, qui les inspire. 9 – Vers 546 – 547, p. 139 Ce sont des paroles du roi Alcinoos : Un hôte, un suppliant, c’est autant dire un frère pour l’homme qui n’est pas tout à fait sans raison. 10 – Vers 579 – 580, p. 140 Alcinoos évoque la chute de Troie : Ce sont les dieux qui l’ont choisi : ils ont filé la ruine De ces hommes pour qu’on les chante

travaillent pour la postérité »). Daniel va décrire la toile en disant : « [...] voici comment nous avons conçu le tableau...on verra sur la toile que le Mont Blanc [...] le Mont Blanc et vous ». Mais Daniel précise que de lui on ne verra que ses mains « suppliantes ». Hélas Perrichon ne se rend pas compte du ridicule du tableau. Pour exploiter la vanité de Perrichon, Daniel va utiliser le champs lexical de la gloire, des hyperboles et le registre héroique que Perrichon prend au premier degrès, ce qui

de salut! Jamais je ne vous accorderai la main de ma fille et je vous prie de retirer la vôtre de son épaule. BAPTISTE - (avec arrogance dans le regard) Soit ! Monsieur. Je retire ma main, mais je lui prends son cœur ! JEANNE- (en aparté, suppliant le public en joignant les mains) Oh ! Père ! Je ne puis refuser. Acceptez-le, faites-le pour moi, pour nous, pour mon bonheur ! Je vous en prie, renoncez à cette appartenance à la noblesse ! ORGON – (Dans un geste désespéré, il se frappe le ventre

suggère un chantage affectif implicite. En la faisant juge et maîtresse, elle devient soit la femme généreuse qui accorde ses faveurs, soit l’ingrate insensible. è Tartuffe joue donc avec la générosité d’Elmire. _Son langage se fait donc plus suppliant et plus humble que possible ; c’est par une antithèse que Tartuffe oppose au « tout de la bonté d’Elmire » v.955 le « rien de ses vains efforts » v.956 _Ce rabaissement est confirmé par l’anaphore « vous » aux vers 957-958 « en vous »-« de vous

incapables de répondre. En triomphant du sphinx, Œdipe a gagné le droit d'épouser la reine de la ville, Jocaste, et de monter sur le trône, remplaçant ainsi l'ancien roi et époux de Jocaste, Laïos, mort dans des circonstances mal connues. Pour les suppliants, Œdipe est le seul à pouvoir faire toute la lumière sur le fléau qui ravage la ville. Mais Œdipe avait prévenu la demande du prêtre et envoyé son beau-frère, Créon, se renseigner auprès de l'oracle de Delphes. À son retour, Créon explique que le

parvenues entières. On peut déterminer avec plus ou moins de précision la date des oeuvres suivantes: Alceste (-438), Médée (-431), Hippolyte (-428), les Héraclides (-430 à -427), Andromaque (vers -426), Hécube (vers -424), Héraclès (vers -424), les Suppliantes (-422), Ion (vers -418), les Troyennes (415), Iphigénie en Tauride (vers 414), Electre (-413), Hélène (-412), (La vraie Hélène aurait été enlevée par les Dieux, transportée dans le palais de Protée, en Egypte, tandis qu’un fantôme aurait été façonné

Pozzoli Michelangelo Commentaire de texte Ce document est un extrait d'une tragédie d’Euripide, les Suppliantes. Il s’agit d’un dialogue entre Thésée, héros athénien et un Héraut thébain, messager d'une ville adverse d'Athènes. Euripide (480-406 avant Jésus Christ). Les deux personnes comparent leur cités d'origine -le peuple gouverne ; « elle n’est pas au pouvoir d’un seul homme »: La démocratie athénienne repose essentiellement sur l'existence "d'une assemblée"

de voir mourir son fils, plutôt que de céder aux avances de Pyrrhus. L'acte III la lui montre très différente, parce qu'on croit alors la mort d'Astyanax imminente : scène 6, Andromaque s'humilie d'abord aux pieds de Pyrrhus (v. 915-916), le suppliant de sauver son fils, et scène 8, elle se laisse miner par des souvenirs hallucinatoires, sa volonté brisée, prononçant un discours envahi par des voix étrangères et butant sur des questions insolubles. Dans la première tirade,...

futur marque la certitude, la sérénité et la confiance. Il y a une affection légitime qui s’instaure. Phèdre est contente de sa soumission et elle accepte d'en appeler a la pitié. Elle reconnait sa dépendance affective pour le fléchir. Elle se fit suppliante « presse, pleure, gémis; plein lui Phèdre mourante. Allitération en ''p''. Elle est même prête a s'humilier, a perdre sa dignité pour 'avoir' Hippolyte. Elle se sait pitoyable. Elle a renoncée a son rôle de reine et abdiquer toute la conduite de