Les Tares De La Société

déjà dans un point de vue interne. Le texte s’ouvrant sur un dialogue avec l’emploi du style direct donne de la vivacité, l’effet du réel avec les paroles prononcées directement. L3-4, le roman réaliste a pour fonction d’expliquer les rouages de la société, expliquer son fonctionnement reposant sur l’argent. Paragraphe l6-11 : la fonction repose non plus sur le discours direct mais sur la description du personnage principal. Il est décrit physiquement et moralement, il est géné, timide, mal à l’aide

Stigmates. Les usages sociaux des handicaps. Extrait du chapitre 1. Stigmate et identité sociale Présentation rapide de l’auteur E. Goffman s’inscrit directement dans le courant de l’interactionnisme symbolique. L’interactionnisme considère que la société est un résultat des échanges interindividuels. L’interaction (c’est-à-dire l’échange social, la situation sociale ou chacun agit et se comporte en fonction de l’autre) constitue l’atome logique de l’activité sociale et doit rester l’objet principal

appuierons sur l’ouvrage Les nouveaux Contes d’Amadou Koumba, une production littéraire de Birago Diop (ancien ambassadeur du Sénégal en France) pour passer au crible plusieurs aspects de la société africaine. En effet, cet œuvre à caractère instructif décrit avec davantage d’objectivité l’état de la société africaine et dégage sans circonlocutions les spécificités du monde Noir. Cet ouvrage littéraire du vingtième siècle est un véritable vivier de la culture africaine où traditions, religions et

sa description, ou son point de vue au sens où il s’agit d’une opinion : le cas d’Etienne Lantier est particulièrement propice à cela. Voltaire prend aussi le Huron comme porte-parole, indirectement, puisqu’il nous le montre pensant, analysant la société du siècle de Louis XIV, parlant à des personnages proches de cette réalité, soit qu’ils aient véritablement existé, soit qu’ils soient le double littéraire de tel ou tel dignitaire de l’2glise ou de la royauté. Les exemples sont faciles à trouver :

sur Bel-Ami a) Quelle vision de la vie en société dans les années 1880 Maupassant nous donne-t-il ? b) Quels sont les vices et les qualités dominants ? c) Y’a-t-il des personnes plus lucides que d’autres ? Lesquelles ? Avec quelles conséquences ? a) Quelle vision de la vie en société dans les années 1880 Maupassant nous donne-t-il ? La vision de la vie en société de 1880 de Maupassant est très négative. Il nous présente une société corrompue par l’argent et le pouvoir qui n’accorde

est renvoyé pour avoir écrit des critiques sur l’Italie, il travaille pour l’Excelsior. Il voyage beaucoup, fait de nombreux reportages, part chercher une vérité dans les conflits ou les lieux où très peu osent aller. En 1925, il dénonce ensuite les tares de la psychiatrie à la Française avant d’enquêter sur le tour de France qu’il appelle «tour de souffrance». En 1932, le bateau qui le ramène en France prend feu et il meurt avec soixante-dix-sept passagers. Situer A cette époque la psychiatrie

seconds adopteront un point de vue objectif. Balzac est l’un des piliers du Réalisme. Ainsi la Comédie humaine, qui met en scène l’ensemble des classes sociales, sauf la classe ouvrière, montre que l’argent a une place fondamentale dans toute la société du XIXe siècle. Les autorités politiques voient dans le Réalisme une idée qui conduit à offenser la religion et à propager le désordre social. Quelques peintures  : April Love, d’Arthur Hugues Les canaux à Bruges, de Périclès

colonialisme. -D’autre part, quelques voix, peu nombreuses, s’élèvent contre le mouvement impérialiste. En France par exemple, une partie de l’opinion publique reste hostile à l’exploitation des indigènes. Jean Jaurès considère l’impérialisme comme «une des tares du système capitaliste qui est obligé d’opprimer pour survivre». Certains Georges Clemenceau trouvent l’impérialisme ruineux et coûteux. Pour les nationalistes comme Paul Déroulède, la colonisation détourne de l’essentiel qui doit être la reconquête

notion de « civilisation mondiale » qui figure, alors un « racisme à l’envers », péché originel de l’anthropologie. D’où il suit qu’il n’y a pas de développement possible à l’aune d’un régime d’une uniforme monotonie mais seulement au travers de sociétés et civilisation extraordinairement diversifiées -et non au titre de pluralité raciale ! -. Il semble, en effet, qu’il y ait une proportion infinitésimale de races humaines que de cultures Mais cette diversité de cultures vient-elle alors figurer

se déroulent. » Giono explique au lecteur, à travers le médecin rencontré par les héros que le choléra est une « maladie de grands fonds ; il ne se transmet pas par contagion mais par prosélytisme. » L’épidémie permet la révélation des tares cachées d’une société . La vraie cause du mal est la peur, la faiblesse humaine, l’excès des passions. Le choléra, c’est l’explosion, c’est l’illumination qui vient remplacer une vie terne par des moments d’exception et des occasions sublimes. En quelque sorte