Les Théories Du Revenu Permanent

Revenu, consommation, épargne On peut constater des fortes inégalités de revenus, et une évolution de ces inégalités sur une longue période. il en ressort que les inégalité ne provienne pas uniquement du revenu professionnel. Ces inégalités sont aussi influencées par les mesures de l’état qui veut ou non les réduire. Les inégalité de revenu vont correspondre aux inégalités de consommation et d’épargne. I. Les revenus. Le PIB se définit comme la somme des valeurs ajutés. On distingue :

L’Ecole classique La monnaie ne sert qu’à réaliser les échanges et n’a aucune influence sur les variables réelles de l’économie. "La monnaie n’est qu’un voile " L’Ecole keynésienne Pour Keynes, la demande de monnaie est une fonction croissante du revenu courant. La demande de monnaie obéit à 3 motivations : motif de précaution motif de spéculation motif de transaction La demande de monnaie dépend également du taux d’intérêt. Pour Keynes, le taux d’intérêt se définit comme le prix de

l'ensemble des décisions individuelles. b. La macroéconomie La macroéconomie étudie les comportements collectifs et globaux et les relations qui s'établissent entre les variables économiques globales comme, par exemple, la production, la consommation, le revenu, l'inflation ou le chômage. Le support d'analyse privilégié des macroéconomistes est le circuit qui permet d'il¬lustrer les relations entre variables. c. la mésoéconomie : la mésoéconomie analyse les sous ensembles économiques à mi chemin entre

modèles. En économie contrairement à la physique, on ne peut pas faire d’expériences. Souvent c’est la venue de crises mal expliquées par une théorie qui fait que cette théorie est remise en cause et dépassée. Ainsi les crises des années 1930 et 1970 remettent en question les théories dominantes à ce moment là (théorie néo-classique avant les années 1930, théorie keynésienne de 1945 à 1970, cf fin du chapitre) Analyse positive versus analyse normative - point de vue positif : . . Exemples d’affirmations

Cours de théorie des cycles Introduction : La récurrence des crises économiques au XIXème siècle a depuis longtemps retenu l’attention des économistes. L’irrégularité de la conjoncture, l’alternance de mouvements à la hausse ou à la baisse des différentes variables (activité, emploi, profit, prix…) ont conduit les économistes à emprunter aux sciences exactes certaines expressions. On trouve ainsi fréquemment le terme de « cycle » pour désigner des mouvements se reproduisant avec une

(1998 -2002) - période de croissance faible (2003 - 2005) - période de croissance forte jusqu’en 2008 - période de croissance faible après 2008 Si on s’intéresse aux cycles court, il y a des explications diverses : - il y a ajustement permanent entre l’offre et la demande, Keynes « demande effective » Dès le 19ème siècle, Juglar : toute activité économique nécessite du crédit. - l’action des politiques économique : Kalecki met en évidence l’influence de la politique économique sur

matérialiste et dialectique de l’histoire, le marxisme contient les principes théoriques d’une praxis révolutionnaire -John Maynard KEYNES (Angleterre, 1883-1946) 1919 "Les conséquences économiques de la paix"  ; 1931 "Traité de la monnaie"  ; 1936. "Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie " Économiste et financier anglais. Élève d’Alfred Marshall, à Cambridge, il fut chargé à plusieurs reprises d’importantes missions par le gouvernement britannique. Délégué à la conférence de la

2010 Commerce International La détermination des taux de change à long terme PAUL Ugo Table des matières Introduction 3 I – La théorie de la parité de pouvoir d’achat 3 A) la loi du prix unique 4 B) la parité de pouvoir d’achat 4 C) PPA absolue et PPA relative 5 II – association de la monnaie et de la Ppa 6 A) l’équation fondamentale de l’approche monétaire 6 B) inflation continue, parité des taux d’intérêt et ppa 8 C) l’effet fisher 9 III –

années quarante et cinquante, apparemment remise en cause par la théorie du revenu permanent, la loi psychologique fondamentale de Keynes reste malgré tout l’une des pierres angulaires de la macroéconomie. « La con- sommation agrégée dépend essentiellement du revenu agrégé et la propen- sion marginale à consommer ce revenu est positive et inférieure à un. » La loi psychologique fondamentale constitue clairement une proposition théori- que qui restreint l’ensemble des possibles, dont la généralité

de la théorie économique se partagent principalement l’étude de la consommation : la tradition néoclassique et l’approche keynésienne. Si le terrain de prédilection de la première est la microéconomie, la seconde se situe par essence au plan macroéconomique. 1 - LA CONSOMMATION DANS LA PERSPECTIVE MICROECONOMIQUE a) La rationalité du consommateur. • Pour les néoclassiques étudier les déterminants de la consommation revient à analyser comment le consommateur affecte rationnellement son revenu à l’achat