Les Types De Metonymie

donc amené à utiliser les figures de style les plus courantes : Comparaisons :Pierre est plus grand que Paul, deux comparés et un outil de comparaison (ici, la taille) Métaphores : Le soleil s’est noyé dans son sang qui se fige ( Baudelaire) Métonymies : Je bois un verre Oxymores : Cette obscure clarté qui tombe des étoiles. (Corneille) Hyperboles : Je meurs de faim Euphémismes :J’ai un petit creux Litotes : Va je ne hais point (Corneille) Antiphrases : Vous avez raté votre examen. Vous devez

se présente sous plusieurs formes : Blanquette, Angleterre, beurré, Duchesse. Les prunes : les reines claudes, la prune de Monsieur et la mirabelle. la fraise, la framboise, le cassis, la noisette, le raisin, et le melon. *La viande Plusieurs types de chair : la viande de veau, de bœuf, de mouton, de cochon et la viande de volaille. Sous l'hyperonyme volaille, on trouve l'oie, le canard, le poulet et le dindon. Le gibier comprend le chevreuil, l'alouette, le lièvre, le lapin et la perdrix.

défense d'une thèse ou de donner du poids à une réfutation. Elles participent à la valorisation aussi bien qu'à la dévalorisation.

 - Les figures d'analogie (comparaison, métaphore, allégorie, prosopopée, personnification) et de substitution (métonymie, antonomase) sont utilisées pour induire une image valorisante ou dévalorisante et permettent le transfert de l'assentiment ou du refus sur un autre plan.

 - Les figures d'amplification et d'insistance (hyperbole, anaphore, énumération, répétition

courante qui consiste à affirmer le contraire de ce que l’on veut faire entendre (antiphrase, l’hyperbole). Une Métaphore : ex : albatros → ces rois de l'azur. Une métaphore est filée ou continuée quand elle est développée dans un texte. Une Métonymie : La métonymie consiste à désigner un objet ou une idée par un autre terme que celui qui lui convient. La compréhension se fait grâce à une relation de cause à effet entre les deux notions (exemple : « boire la mort » pour « boire le poison »), ou de contenant

voire en phase terminale. Ses haïkus, souvent écrits sur une seule ligne, en minuscules, sont empreints de spiritualité et de désespoir et traitent des thèmes de la mort et de la nature. Sur le plan formel, le haïku de Boldman présente plusieurs types de tropes permettant de créer des images intenses et immédiates dans l’esprit du lecteur tout en favorisant cette « économie de moyens » caractéristique des haïkus, à la fois sous un aspect quantitatif (nombre limité de syllabes dans la mesure où le

Péripéties: C'est la suite de l'action et ce qui suit l'élément perturbateur Elément de résolution: Résolution du problème et amélioration de la situation Situation finale ou Chute: Fin soudaine (soit imprévisible, soit retour à la stabilité) 2 types de fin : Fin ouverte (qui pourrait continuer) Fin fermé (qui "signe" la fin définitive du texte) La fin de la nouvelle, dite aussi "chute", est un moment important, qui doit dérouter, surprendre quelque peu le lecteur (donc, fin pas trop prévisible)

présents tout au long de cette fresque). L’ambition de Balzac est d’être l’historien des meurs de son temps. I. Un certain regard A. Un lieu « Au dessus de » est un repère spatial. On utilise le lieu pour décrire les pensionnaires -> métonymie. B. Les pensionnaires « Les 7 pensionnaires externes », habitants, « habitués ». Toute une série de pensionnaires. La pension Vauquier s’inscrit dans un lieu plus vaste: Paris et ses quartiers; C. Point de vue globalement omniscient Le

ainsi elle débouche sur la classification des figures des styles sur la base des critères de signification. Aussi, aura-t-on, sur la base du critère de ressemblance, la métaphore, sur la base de contraste, l’ironie, sur la base de liaison, la métonymie et synecdoque. Pareillement, sur la base du critère de construction (ordre des mots ou changement d’ordre), on aura l’inversion, alors que sur la base du critère de déduction, on aura la répétition ou la synonymie. Tout en reconnaissant la

Macbeth est fondé sur des erreurs d’interprétation successives, et sur la confusion du littéral et du métaphorique. Les sorcières interviennent trois fois, et s’adressent à deux reprises à Macbeth, en induisant chaque fois des erreurs de différents types, et il convient de s’attarder sur chacune d’entre elles. — dans leur première intervention (I, 3) le discours des sorcières est marqué par la pression du temps, par l’opposition du présent de la réalité (Glamis), du présent encore obscur dont

sur la folie progressive d’Oreste. Puis nous allons nous centrer sur la progression de la folie d’Oreste en soulignant la montée progressive puis la descente aux enfers. Cette folie est mise en valeur par plusieurs procédés. La diversité des types de phrases met en valeur le bouleversement d’Oreste. La folie de s’adresser à des personnages absents est exprimée par les répliques sous forme de monologue. Les phrases interrogatives traduisent la surprise, l’incompréhension (en proie à des hallucinations)