Les Vagues

produisent une harmonie phonique au sein du poème qui peut envoûter ou faciliter la mémorisation. Dans le poème, présent dans le corpus « Une nuit qu’on entendait la mer sans la voir », Victor Hugo use des rimes, pour mimer les mouvement perpétuel des vagues. Pour continuer, la poésie moderne du XX ème siècle, est écrite sans ponctuation, le sens du texte doit être trouvé plus logiquement dans une lecture à haute voix, comme ********. On sait ensuite, que de très nombreux poèmes sont mis en chanson, ou

I)Délocalisation , quelle ampleur? a) Différentes vagues de délocalisation Durant l’histoire contemporaine nous avons pu observer différentes vagues de délocalisation, celle-ci ont toutes une spécificité qui leur est propre. La première vague de délocalisation a commencé dès le début des années 1970. Les entreprises de la « triade », surtout américaines et japonaises, s'implantent alors en ASIE du Sud-Est. Ces premières délocalisations concernaient surtout les produits de grande consommation

deuxième strophe, l’océan est évoqué à travers les vagues différentes animalisations : «Crinière échevelée ainsi que des cavales, / Les vagues se tordant arrivent au galop » (vers 5 et 6). A travers ces métaphores et « ces animalisations » l’auteur évoque l’agitation de l’océan et du paysage ; il présente une nature sauvage, et « brutale », voire violente. Le champ lexical de la mer est également bien présent dans ce poème «clapotis, ilôt, vagues, flot» ce qui nous montre que l'eau est l'élément de

solitaire, le long d’une plage de sable fin, parsemé de coquillages, s’étendant à perte de vue. Ses habits bancs et vaporeux laissent voir sa silhouette fine et élancée. Sa chevelure coule en cascade sur ses épaules dorées, par le soleil d’été. Les vagues caressent ses pieds nus et l’écume dessine un chemin de ces auréoles brillantes. Le vent agite ses boucles brunes et la mer joue avec ses orteils. Elle marche sans but, vide ; ses pensées volant vers un paradis lointain et incertain. Ses yeux d’un

l’Océan Pacifique. Des vagues très importantes ont touché les îles Galapagos (Equateur), où les habitants ont reçu pour consigne de se regrouper en zone surélevée. Proche de Conception, des installations portuaires ont été gravement endommagées par un tsunami. Des bateaux de pêche ont rompu leurs amarres et se sont retrouvés dérivant en mer. Des alertes au raz-de-marée ont été diffusées dans tout le Pacifique, y compris dans l’Etat américain d’Hawaï, au Japon et en Russie où des vagues de 3 m étaient attendues

respiration rapide et étouffée de ses petites vagues ». Le soleil est présenté comme une espèce de monstre : »son grand souffle chaud », hostile, il est armé : « épée de lumière ». la lumière « gicle » sur l’acier du revolver, le soleil est muni de « cymbales » qui assourdissent le personnage. On retrouve encore à la fin du passage : »l’épée brûlante ». De la même façon, la personnification de la mer scande le passage :  le bruit des vagues est « paresseux », la mer « charrie un souffle

pouvons voir que le mot « océan » commence par une majuscule, l'écrivain veut sans doute donner plus de valeur à ce terme. Dans la deuxième strophe, l’océan est évoqué de façon implicite, à travers les vagues qui sont elles mêmes personnifiés : «Crinière échevelée ainsi que des cavales, Les vagues se tordant arrivent au galop » (vers 5 et 6). A travers ces métaphores l’auteur évoque l’agitation de l’océan et du paysage ;qui donne un aspect péjoratif au décor . Il présente une nature sauvage, et

faites le récit de cet événement de votre rédaction et impressions. Prologue. Une chaude journée venait de s’achever sur Honolulu. J’en avais profité avec ces vingt-neuf degrés pour aller surfer toute l’après-midi. Je me rappelle très bien des vagues : elles étaient immenses, un courant incroyable était présent aussi, mais je n’avais rien remarqué d’anormal au fait du climat qui entourait l’île d’Hawaii. Plus tard, dans la soirée, j’étais rentrée à mon appartement, poser ma planche de surf et

digues ou de môles sont souvent confrontés à des situations imprévisibles telles que la disparition de plages ou la formation de nouvelles barres de sables. En effet, à l’approche des rivages, et en réaction au déferlement, une partie de l’énergie des vagues alimente la formation de remous turbulents et laminaires qui donnent naissance, le long de la frange littorale, au déplacement de grandes quantités de masses d’eau. figure 1 : Port de Sidi Ifni ; quai îlot relié à la terre ferme par téléphérique

union car elle fait non seulement penser aux vagues de la mer mais aussi aux ondes musicales. Ayant le même initiale, elles ont la même forme. L'auteur construit son poème en alternant alexandrins et pentasyllabes créant ainsi le mouvement des vagues. Cette alternance métrique et les rimes croisées des trois premières strophes amplifient le mouvement décrit. Le rythme du vers 7 est irrégulier rappelant la force et accentuant l'amoncellement des vagues et donne un rythme musical accéléré : « J'escala/de