Les Vagues

tant qu’il y aura de l’eau sur terre, l’énergie hydraulique pourra être exploitée. Cependant, cette énergie nuit à l’environnement. Il faudra donc envisager une nouvelle source d’exploitation, comme l’énergie des vagues (20mW). –destruction de l’environnement et des actions humaines-vagues-ajout de turbines-plus écologique, moins gros-

légion d’honneur et du mérite maritime. Plisson était sous la direction du photographe de renom Yann Arthus-Bertrand (68ans). Présentation de l’œuvre : L’œuvre est issu de l’exposition L’énergie des vagues et des courants façonnent les côtes. La photographie représente la mer assez mouvementée et des vagues qui se soulèvent contre le phare de Kéréon. Description de l’œuvre : Sur cette photographie on peut voir une mer mouvementée qui va atteindre le sommet du phare de Kéréon. L’océan recouvre 70 %

Analytique: La solitude du poète romantique devant le tableau du monde 1- Les deux éléments essentiels que propose la présentation du tableau ici sont: "Souvent sur la montagne, à l'ombre du vieux chêne"l.1 ainsi que "Ici, gronde le fleuve aux vagues écumantes" l.5. L'ambiance environnante décrite ici ce déroule "au coucher du soleil" l.2. Je suppose que choix on été fait de manière a encrer le lecteur dans un paysage lui étant familier. Dans cette description, l'image d'un homme auprès d'un

il but sa boisson brulante qu'il le fit frissoner de plaisir, il pensa a sa famille qui lui manquaient énormement, après tout seule eux avaient toujours étaient la pour lui.* -Callie s'était rendue à la plage, pour admirer une fois de plus les vagues, ou bien, pourquoi pas, les surfeurs ? Oui, en réalité, elle venait admirer les surfeurs. Depuis sa rencontre avec Max, la belle brune s'obstinait à admirer les surfeurs, comme si en avoir parlé avait déclancher chez elle l'envie de découvrir ce monde

propres ; on peut donc supposer que l’écrivain veut lui donner une importance majeur a cet élément primordial du poème. Dans la deuxième strophe, l’océan est évoqué implicitement à travers les vagues qui sont elles mêmes personnifiés : «Crinière échevelée ainsi que des cavales, / Les vagues se tordant arrivent au galop » (vers 5 et 6). A travers ces métaphores et « ces animalisations » l’auteur évoque l’agitation de l’océan et du paysage ; il présente une nature sauvage, et « brutale », voir

jaillirent et le monde fut noyé. Alors Tunkashila se laissa dériver sur l’eau, assis sur sa tabatière, en fumant son calumet. Car tels étaient les objets sacrés dont il ne séparait jamais : sa tabatière et son calumet. Il se laissa porter par les vagues et le vent, de-ci de-là. Il n’y avait plus d’hommes, il n’y avait plus d’animaux, il n’y avait plus le moindre grain de terre sur cet océan silencieux. Seul, un oiseau survivait encore : Kangi, le corbeau. Mais il était fatigué. Il ne savait où se

(ricanement) Elizabeth  : Quoi ? Cap  : C’est absurde, j’sais même pas nager Elizabeth  : (Souffle) « Bravant la tempête, je parvins à rattraper le 1er puis le 2ème, hélas les vagues toujours plus grosses engloutirent le 3ème avant que je ne puisse l’atteindre. » Cap  : Attendez, attendez. Vous voulez dire qu’il s’est noyé ? Elizabeth  : Oui Cap  : J’ai laissé un enfant

régresser, de même que de nombreux glaciers européens (Les glaciers alpins ont presque perdu deux tiers de leur masse de 1850 à 2010), alors que le permafrost s'est réchauffée et que le manteau neigeux tend à diminuer5. Les crises climatiques (pics et vagues de chaleur, inondations, sécheresses) sont de plus en plus coûteuses en Europe, et inégalement réparties (notamment car les activités humaines sont croissantes dans les zones à risque ; zones qui devraient s'agrandir avec le dérèglement climatique)5

les pieds, et posa ses petites fesses pointues sur le roc solide. Le vent soufflait en formation symphonique, rasant les vagues, balayant les plages et remontant à pic le long des falaises pour venir soulever les cheveux noirs de l’enfant. Dans un accès de bonhomie, le vent s’emporta. Il gonfla ses joues au large et irrigua toute la côte de son haleine saline. Les crêtes des vagues se soulevèrent et une bruine blanche se vaporisa sur la lande. Le rire cristallin de l’enfant fusa, accompagnant le grain

pour la Vierge et éclairait la mer". Elle tient auprès des matelots le même rôle protecteur qu'un cierge dédié à la Vierge Marie.De plus les "glauques troupeaux " font également références a Hugo . En effet, Hugo utilise la métaphore " troupeaux de vagues " dans son poeme " Pasteur et Troupeaux" extrait Des Contemplations qui pourrait se rapporter aux troupeaux de rimbaud.Ensuite, le rythme des vers est en rapport avec la situation du bateau . En effet dans les deux premiers quatrains , le bateau navigue