Les Valeurs Defendues Par De Gaulle

instaure le triomphe du système majoritaire qui impose la nécessité de se désister et de créer des alliances en vue de la victoire. Mais avec qui fait-on alliance ? Le repère de gauche et de droite aidera ces choix. Au cours de cette période, les valeurs défendues par chaque camp vont évoluer. b) Les recompositions du clivage droite/gauche. Ces constructions intellectuelles vont se nourrir des débats. L’extinction de la querelle institutionnelle : De la révolution à 1880, le clivage se cristallise sur

franco-britannique était un projet très ambitieux mais en réalité, il semble que les parties prenantes à l’union l’ont considéré surtout comme une mesure circonstancielle. Dans l’esprit de Churchill, 1er ministre britannique, comme dans l’esprit de De Gaulle, présent à Londres les 15 et 16 juin, il s’agissait d’encourager le gvt français à continuer la lutte contre les allemands au coté des britanniques à l’aide de la flotte et de l’empire colonial français. Churchill considérait pour l’après guerre

L’indépendance, une idée nationaliste Il y a deux grandes sources aux revendications : l’affirmation d’une identité, et un désir de liberté, d’autonomie. Le sentiment nationaliste se fonde sur une histoire commune, des valeurs partagées (langue religion). Cette histoire et ces valeurs sont différentes de celles du colonisateur. Les mouvements indépendantistes construisent cette histoire commune comme une histoire artificielle, en cherchant à l’écrire, à l’enseigner, en en entretenant le souvenir par

Institutions administratives. La Constitution : Quelle est sa valeur juridique? Sa valeur politique et sociale est connue de longue date ; c'est le texte sacré et emblématique de la relation codifiée, organisée juridiquement entre les membres de la nation (peuple souverain) et l'état. Les philosophes du contrat ne disent cependant pas si la constitution est une norme au dessus des lois. Cela pose un ensemble de problèmes. A la fin du 18è, les premières constitutions écrites sont

prérogative présidentielle doit équilibrer la prérogative parlementaire, en d'autres termes le ministère doit disposer de la double confiance, non seulement parlementaire, mais aussi présidentielle (conforme à la constitution). A cette conception défendue par Mac Mahon s'oppose celle des républicains pour qui le centre unique du pouvoir doit résider dans la chambre des Députés, celle-ci étant en effet la seule émanation directe de la volonté nationale. Ils marquent ainsi leur préférence pour un système

Ainsi la nation est un principe d’?unification et un principe de différenciation. L’?aspect unification : comment cette idée d’?une nation va transformer l’?exercice du pouvoir politique ? Et comment cette nation va servir à l’?Etat pour protéger ses valeurs ?   Sous chapitre 1 : La transformation du pouvoir politique par l’?idée de nation La société politique n’?est pas forcément synonyme d’?Etat. Il y a des sociétés politiques qui ont été non étatique. Cette idée de nation va avoir des effets sur

au total, il y a coexistence d’une surinformation quantitative (= prolifération d’informations dont la masse est mal triée) qui engendre un sentiment d’insignifiance, et une sous information qualitative car ce qui compte vraiment n’est pas mis en valeur. * Les faits politiques ne sont pas neutres, donc il est très difficile d’être objectif. La manière dont on rend compte d’un évènement, va produire un évènement politique. D’où la question de l’objectivité des organes d’information, c’est

les peuples, les valeurs de liberté, la propriété collective des moyens de production, l'éducation populaire, ainsi que les valeurs de l'Evangile  sont les fondements d'une société idéale dans laquelle le recours au capital deviendra inutile. P.Buchez : (1776-1865) C’est un St simonien, fortement engagé dans la vie « associative » On trouve V.Hugo : (1802-1885) à qui on doit la formule « les états unis d’Europe ». Au milieu du XIXème siècle l’idée européenne est défendue par quelque auteur

définition = communauté d'individu identifié juridiquement et politiquement. Au sein de cette nation ces individus se sentent unies les uns aux autres par des liens matériels ou immatériels. Il existe deux approches de la définition de la nation défendue au XVIIIe et XIXe siècle: -une approche déterministe qui favorise l'ethnicité et provoque l'exclusion par la xénophobie -une approche volontariste qui se fonde sur l'assimilation et donc la citoyenneté au-delà des particularités. 1/ la thèse

parlement. En aout 1958 cette importance est présenté par Debré devant le conseil d'état, le président de la république est présenté comme la clé de voute du système. Le président de la République. Il jouit d'une condition renouvelé . De Gaulle : « je n'ai pas de prédécesseurs » . Conception inédite d'abord ce chef de l'état est autonome par rapport aux assemblées, car il n'est pas élus par les assemblées. Différence majeure par rapport aux précédentes républiques. Il redevient un acteur