Les Valseuses

de noblesse chez certains écrivains. L’argot de la coquille est le premier témoignage en France. Sur le siècle, l’argot évolue très rapidement: l’argot des années 30, des années 50 dans les films avec Jean Gabin, des années 70 dans le film « les valseuses », maintenant dans les années 90 dans « la haine » et dans « le ciel, les oiseaux et ta mère ». Dans le français des cités, l’argot est lié au français contemporain. On pratique l’argot dans certains cas. Ainsi, A. Boudard fabrique de l’argot avec

fluette Qu'on en demeure épanoui A la compagne de voyage Dont les yeux, charmant paysage Font paraître court le chemin Qu'on est seul, peut-être, à comprendre Et qu'on laisse pourtant descendre Sans avoir effleuré sa main A la fine et souple valseuse Qui vous sembla triste et nerveuse Par une nuit de carnaval Qui voulut rester inconnue Et qui n'est jamais revenue Tournoyer dans un autre bal A celles qui sont déjà prises Et qui, vivant des heures grises Près d'un être trop différent Vous ont

LANGAGE DES JEUNES Le rappel historique : Les argots existent dans toutes les langues du monde. Sur le siècle, l’argot évolue très rapidement: l’argot des années 30, des années 50 dans les films avec Jean Gabin, des années 70 dans le film « les valseuses », maintenant dans les années 90 dans « la haine » et dans « le ciel, les oiseaux et ta mère ». Dans le français des cités, l’argot est lié au français contemporain. Ce qui caractérise, l’argot contemporain est sa fonction identitaire afin de

Qu'on en demeure épanoui A la compagne de voyage  Dont les yeux, charmant paysage  Font paraître court le chemin  Qu'on est seul, peut-être, à comprendre  Et qu'on laisse pourtant descendre  Sans avoir effleuré sa main A la fine et souple valseuse  Qui vous sembla triste et nerveuse  Par une nuit de carnaval  Qui voulut rester inconnue  Et qui n'est jamais revenue  Tournoyer dans un autre bal A celles qui sont déjà prises  Et qui, vivant des heures grises  Près d'un être trop différent 

Qu'on en demeure épanoui A la compagne de voyage  Dont les yeux, charmant paysage  Font paraître court le chemin  Qu'on est seul, peut-être, à comprendre  Et qu'on laisse pourtant descendre  Sans avoir effleuré sa main A la fine et souple valseuse  Qui vous sembla triste et nerveuse  Par une nuit de carnaval  Qui voulut rester inconnue  Et qui n'est jamais revenue  Tournoyer dans un autre bal A celles qui sont déjà prises  Et qui, vivant des heures grises  Près d'un être trop différent 

etc), toujours enregistré par Jacques Canetti. Dès lors, elle ne cesse d'être sollicitée par de très grands réalisateurs : Luis Buñuel (Le Journal d'une femme de chambre), Tony Richardson (Mademoiselle, Le Marin de Gibraltar) Bertrand Blier (Les Valseuses), Elia Kazan (Le Dernier Nabab), André Téchiné (Souvenirs d'en France), Rainer Werner Fassbinder (Querelle), Michel Deville (Le Paltoquet), Theo Angelopoulos (Le Pas suspendu de la cigogne), Wim Wenders (Jusqu'au bout du monde, Par delà les nuages

Depuis 1967, il joue en France, avec les plus grands metteurs en scène : Au cinéma avec Audiard (Le cri du cormoran le soir au-dessus des jonques, Le drapeau noir flotte sur la marmitte), Deray (Un peu de soleil dans l’eau froide), Blier (Les Valseuses), Goretta (Pas si méchant que ça), Heyneman (La question), Verneuil (I comme Icare), Boisset (La femme flic), Monet (Clara et les chics types), Zidi (Inspecteur La Bavure), Granier-Deferre (Que les gros salaires lèvent le doigt), Korber (Les Bidochon)

“Anthony Zimmer”, met en scène Sophie Marceau et Yvan Attal, dans un thriller romantique. Une autre grande actrice, Monica Bellucci est à l’affiche de “Combien tu m’aimes ?” réalisé par le maître du dialogue français Bertrand Blier ( Buffet Froid, Les Valseuses...). Ces deux films sont distribués dans le monde entier et rencontrent un succès public en France. Cédric Kahn fera également parti du line up 2005 avec un film pour enfant ambitieux, « L’Avion ». C’est une nouvelle fois François Ozon qui achèvera

Qu'on en demeure épanoui. A la compagne de voyage Dont les yeux, charmant paysage Font paraître court le chemin; Qu'on est seul peut-être à comprendre, Et qu'on laisse pourtant descendre Sans avoir effleuré la main. À la fine et souple valseuse Qui vous sembla triste et nerveuse Par une nuit de carnaval Qui voulut rester inconnue Et qui n'est jamais revenue Tournoyer dans un autre bal Edvard Munch, a réalisé «La Madone» qui est l’une de ses oeuvres les plus célèbres après «Le

70 : il a une moustache, un blouson en cuir, des cheveux un peu longs avec une frange de côté grasse, et des chemises à motifs graphiques d’un bleu délavé. Son nez à la Depardieu renforce cette impression d’époque datée car il rappelle l’époque des Valseuses. Il balbutie, marmonne, dans un parlé populaire. [pic] [pic] [pic] Le jeu de Cassel donne l’impression d’une bête traquée, d’un homme perdu dans une entreprise, dans une société qu’il ne comprend pas : son regard est extrêmement mobile, fuyant