Les Vieilles Goya

recherches d’allitérations. * 7ème poème : « Les effarés » Ce poème inspiré par les petits mendiants de Charleville accroupis un soir d'hiver devant le soupirail d'une boulangerie est un tableau de genre, croqué, dira plus tard Verlaine, avec le crayon de Goya ou de Murillo, quelque chose à la fois de « gentiment caricatural et de si cordial », une scène réaliste mais où semble passer aussi un lointain regret de la chaleur du sein, de la tendresse du foyer que Rimbaud enfant n’avait guère connue. Il y a

symphonie pastorale 1810 : naissance d'Alfred de Musset; naissance de Chopin et de Schumann ; Mme de Staël : de l'Allemagne 1811 : naissance de Liszt 1813 : naissance de Verdi et Wagner 1812 : Byron : Childe Harold 1814 : Chamisso : Peter Schlemihl ; Goya : La fusillade du 3 mai 1808 1814 le 6 avril, après l'échec catastrophique de la campagne puis de la retraite de Russie, Napoléon abdique et part à l'île d'Elbe 1815 le 1er mai, Napoléon revient pour les cent jours le 18 juin, Bataille de Waterloo

secrétaire du roi est la plus coûteuse, mais très recherchée. À partir de la deuxième moitié du XVIIIe siècle, les charges militaires permettent également d'accéder à la noblesse. Les parvenus de la "savonnette à vilains" sont vus d'un mauvais œil par la vieille noblesse. La Révolution : La Révolution française naît de l'accumulation de plusieurs facteurs importants : • Economie et finances o Crise financière, les finances du pays sont désastreuses en raison des guerres du XVIIIème siècle

noblesse d’âme conduit à la démesure. Le Hussard sur le toit * 1951 Une épopée bondissante qui serait radieuse, jeunesse, gaieté, courage, ambition, mouvement, si elle ne se déroulait sur fond de choléra, description, effroyables tableaux dignes de Goya. Le Bonheur fou 1957 Le même héros Angelo Pardi 1 dans une époque inventée où le récit télescope 75 ans d’histoire italienne et française : la passion, les intrigues, la mort et l’apaisement d’un dénouement heureux. * Le Hussard sur le toit

un grand dérèglement chez l'homme que de se plaire à se tromper lui-même. Ils ont tenté de corriger l'homme, mais sans conviction très forte que l'homme fût en fait capable de progrès personnel, à moins d'une conversion radicale qui enterrerait le vieil homme en lui. Plus que les romantiques qui souvent nient les limitations de l'homme et le projettent, tel un Icare, vers l'empyrée, plus que les auteurs d'autres pays où la pastorale et les rêves d'une Arcadie enjolivée ont eu plus forte prise sur

cette ville. Picasso y est admis en tant qu’élève à l’âge de 14 ans, comme il le sera deux ans plus tard, à l’Académie royale de Madrid. Il découvre ensuite la vie de bohème, notamment en fréquentant un cabaret artistique et littéraire de la vieille ville de Barcelone, Els Quatre Gats, où ses travaux sont exposés pour la première fois. Signant d'abord ses œuvres du nom de son père, Ruiz Blanco, il choisit finalement d'utiliser le nom de sa mère, Picasso, à partir de 1901. À cette époque, il fréquente

forgé. On constate aussi la hauteur décroissante des étages et le 1er (ou le 2e) étage est un étage noble. * Musique rococo ou style galant : en musique, le terme rococo a conservé son sens péjoratif car elle se dit en général de toute musique vieille, et hors de mode d’après le Dictionnaire de musique théorique et historique d’Escudier. On parle donc de style galant, entre la musique baroque et la musique classique, pour qualifier l’équivalent du style rococo dans l’histoire de la musique.

suivit de ma fille révèle bien que Mateo à conscience de cette différence. Cela rajoute à l’incompréhension, l’homme plus âgé est censé être la représentation de l’autorité. Ici cette autorité est bafouée, Concha se rit de lui, elle se moque de ce vieille homme qu’elle a manipulé, on retrouve de façon exagérée la figure du pantin, comme le jouet dont la petite fille s’est lassée. D’un autre côté le roman fait de constantes références à la conception théâtrale. Mateo annonce : « en suivant mon récit

son dernier de 1669, quelques semaines avant sa mort. Au fil du temps, nous le voyons vieillir, et se montrer sous des déguisements divers, depuis le jeune homme à l’air timide qui se peint à contre-jour alors qu’il vient d’avoir vingt ans, jusqu’au vieil homme fatigué, ridé, au nez bourgeonnant de 1669. En Espagne, on connaît plusieurs autoportraits de Murillo ou de Vélasquez, dont la frappante représentation au travail des Ménines (vers 1656, musée du Prado). Quant à Zurbarán, il s’est représenté

Watteau,  ce  carnaval  où  bien  des  cœurs  illustres, Comme des papillons, errent en flamboyant, Décors frais et léger éclairés par des lustres Qui versent la folie à ce bal tournoyant ; Goya, cauchemar plein de choses inconnues, De  fœtus  qu’on  fait  cuire  au  milieu  des  sabbats, De  vieilles  au  miroir  et  d’enfants  toutes  nues, Pour tenter les démons ajustant bien leurs bas ; Delacroix, lac de sang hanté des mauvais anges, Ombragé par un bois de sapins toujours vert, Où, sous